Autre chemin faisant écho au chemin de Compostelle, celui-ci relie l’Europe de l’Est à l’Europe de l’Ouest de la Hongrie à Tours en passant par la Slovénie, l’Italie et la France sur 2500 km. Né à Szombathely, Saint Martin est mort à Candes-Saint-Martin en 397, près de l’Abbaye de Fontevraud ; son tombeau est déposé à Tours, dans la crypte de la basilique qui porte son nom. La Via sancti Martini développe plusieurs itinéraires qui s’organisent autour de 4 grands chemins empruntés par saint Martin pendant sa vie et éventuellement prolongés pour tenir compte de lieux martiniens particulièrement importants comme par exemple Utrecht avec sa cathédrale Saint Martin. Ils sont centrés sur Tours, lieu du tombeau de saint Martin. La Via sancti Martini est labellisée Itinéraire Culturel Européen du Conseil de l´Europe ICE. Son développement est porté en France par le Centre Culturel Européen Saint-Martin de Tours. Dans les Pays de la Loire, l´Association Loire Chemins de Saint-Martin s´est créée pour faire connaître les itinéraires qui rejoignent cette voie à Tours. En savoir plus. LES QUATRE GRANDS CHEMINS Le chemin de SzombathelyC’est le chemin que saint Martin a parcouru pour aller voir ses parents dans sa ville natale de Szombathely, en Hongrie traverse la France jusqu’au Col du Petit Saint Bernard, puis le nord de l’Italie, la Slovénie et l’ouest de la Hongrie. Une boucle passe en Visorando Le chemin de TrêvesC’est le chemin que saint Martin, devenu évêque de Tours, a parcouru pour aller à plusieurs reprises voir l’empereur à Trêves, aujourd’hui en Allemagne. Il passe par Chartres, Paris, Reims et le Visorando Le chemin d’UtrechtC’est le chemin qui permet de relier Tours à la ville d’Amiens, lieu de la célèbre scène du partage du manteau. Jusqu’à Paris, il emprunte le même parcours que celui de Trêves. Après Amiens, il part vers la Belgique et les Pays-Bas pour relier plusieurs grandes villes au patrimoine martinien Visorando Le chemin de SaragosseC’est le chemin qui part vers Bordeaux et Saragosse où saint Martin serait allé pour des réunions d’évêques. En partant de Tours, il prend le chemin de l’évêque jusqu’à Ligugé. Puis il passe par Cognac, Bordeaux et Pau, avant de traverser les Pyrénées au Col de la Pierre Saint VisorandoTronçon entre Cognac et Ligugé Lien Visorando LES ITINERAIRES EN PAYS DE LA LOIRE D’autres itinéraires se développent en Pays de la Loire pour rejoindre Tours et ces grands chemins. Nantes – Candes-Saint-MartinCe chemin part de Nantes au Passage Sainte Croix, site d’un ancien prieuré de Marmoutier, abbaye fondée par saint Martin près de Tours. Il suit en général le GR3, avec quelques variantes pour valoriser le patrimoine martinien. Ce chemin passe par Angers et Saumur et relie plus d’une quarantaine de lieux de patrimoine ayant un lien avec saint Martin. A Candes, prendre le lien du chemin de l’Eté de la saint Martin pour aller jusqu’à Visorando Mayenne – Le Mans – ToursCe chemin part de l’église et du quartier Saint-Martin de la ville de Mayenne et passe par une série de lieux de patrimoine martinien. En Sarthe, il passe par le Prieuré de Vivoin, ancien prieuré de Marmoutier et Le Visorando Sablé-sur Sarthe/Solesmes – ToursCe chemin part de l’Abbaye Saint-Pierre de Solesmes et passe par plusieurs lieux martiniens des vallées de la Sarthe et du Loir. Abbaye mère de celle de Ligugé, Solesmes est ainsi relié symboliquement à sa fille, puisqu’à partir de Tours, il est possible de rejoindre Ligugé par le chemin de l’ Visorando LA GRANDE BOUCLE DE 500 KM En Touraine Poitou, une boucle de 500 km relie 3 sites majeurs du patrimoine martinien Ligugé où saint Martin a créé la première abbaye d’Occident en 361, Tours où il a été évêque à partir de 371 et Candes-Saint-Martin où il est mort en 397. Cette boucle délimite un territoire appelé Terres de saint Martin ».Trois chemins forment cette grande boucle Le chemin de l’évêque de ToursC’est le chemin que saint Martin a parcouru pour rejoindre Tours où il est appelé par les Tourangeaux à devenir leur évêque en 371. Martin part alors de Ligugé, abbaye qu’il a fondée en Visorando Le chemin de l’Eté de la saint MartinC’est le chemin que saint Martin a fait à la fin de sa vie pour aller à Candes-Saint-Martin, une paroisse qu’il a fondée à la limite de son diocèse avec l’Anjou. Arrivé à Candes, il va y mourir le 8 novembre 397. Les tourangeaux ramènent son corps à Tours par la Loire. La légende raconte qu’au passage de son corps, les arbres fleurissent sur les berges c’est le fameux Eté de la saint Martin ».Lien Visorando Le chemin de LigugéPour fermer » la grande boucle, ce chemin relie Candes-Saint-Martin à Ligugé. Il passe notamment par Fontevrault-l’Abbaye, Loudun et Visorando AILLEURS EN FRANCE Dans les Hautes-AlpesUne boucle de 330 km a été créée pour relier les lieux de patrimoine martinien du département. Elle sera reliée au grand chemin de Szombathely par la vallé de l’ Villar-d’Arêne à Aspres-sur-BuechLien VisorandoDe Poligny à Le-Sauze-du-LacLien Visorando
Lensemble des Conseillers départementaux était réunis à l'Abbaye Royale de l'Epau le vendredi 19 octobre dans le cadre de la Décision Modificative n°1, séance plénière consacrée aux ajustements et modifications budgétaires relatives aux prévisions faites lors du Budget Primitif.
L'abbaye bénédictine de Marmoutier a été fondée en 372 par saint Martin. Au IXe siècle, elle fut ravagée par les Normands. Sa restauration débuta en 860. Le portail de la Crosse XIIIe siècle présente une porte en arc brisé à cinq voussures surmontée d'une galerie de défense. La tour des cloches 1070 est l'un des édifices qui échappa à la démolition du XIXe siècle. Ce clocher était surmonté d'une flèche de pierre XIIe siècle qui s'effondra en 1591. Cette flèche fut reconstruite en 1608 et, enfin, détruite par la foudre au XVIIIe siècle. Son enceinte rectangulaire du XIVe siècle a conservé quelques tours circulaires. Ce dessin représente l'abbaye de Marmoutier au XVIIe siècle. Sur le plateau dominant Marmoutier, dans la rue des Vignes, cette tour, appelée la tour du Hibou, a été construite entre 1330 et 1350 par Simon Le May. Mesurant environ 10 mètres de haut et 4,60 mètres de diamètre, elle représentait l'extrémité Nord-Ouest de l'enceinte entourant le lieu appelé Rougemont où se trouvaient le logis abbatial et les vignes de l'abbaye. Un arrêté du 29 septembre 1793 autorisa l'installation d'un télégraphe Chappe à son sommet. Elle fut momentanément appelée la tour du Télégraphe. L'église Saint-Symphorien, construite au XIIe siècle carré du transept et abside à trois pans, a été agrandie au XVe siècle nef de quatre travées et collatéraux et restaurée en 1869 et 1980. L'église primitive de 549 fut détruite en 858, reconstruite, elle a été encore ravagée en 903. Son portail Renaissance a été réalisé entre 1526 et 1531. Il comprend deux portes en bois possédant des panneaux sculptés qui représentent, à gauche, le martyre de saint Symphorien photo du haut et, à droite, saint Jérôme dans sa grotte, accompagné de son lion photo du bas. Son entourage est aussi sculpté dans la pierre. L'orgue de tribune de cette église a été commandé en 1885 au facteur Nantais Louis Debierre. L'ancien instrument, œuvre de Joseph Lapeyrère et Louis Bonn, avait été détruit par un incendie. Ce vitrail est signé par L. Lobin Tours, 1869. Deux autres verrières sont des réalisations de Florence 1902. Dans la rue Saint-Gatien, l'église Sainte-Radegonde, semi-troglodytique, bâtie au XIIe siècle chœur, abside, clocher, fut agrandie au XVIe siècle nef et restaurée au XIXe. Cette église a remplacé la chapelle Saint-Ouen Xe siècle. De l'édifice du XIIe siècle, il ne subsiste que le chœur voûté d'un berceau en plein cintre et l'abside semi-circulaire voûtée en cul-de-four. Quatre fenêtres les éclairent dont deux refaites. A l'extérieur, la corniche est ornée d'un damier et soutenue par une ligne de modillons sculptés. Au Nord du chœur, se trouve une chapelle souterraine. La nef a été refaite au XVIe siècle et restaurée au XIXe et couverte, alors, par deux travées de voûtes de brique. Le clocher est une tour carrée, épaulée par des contreforts plats. L'étage du beffroi, ouvert, à l'Est et à l'Ouest, par des fenêtres géminées en arc légèrement brisé, est couvert par un toit en bâtière. La partie troglodytique IIIe siècle de cette église est constituée par une grotte dans laquelle vivait et officiait saint Gatien, le premier évêque de Tours. Un bénitier en marbre blanc, de 1522, provient de l'abbaye de Marmoutier. Au 26 rue Saint-Gatien, deux plaques sculptées XVIe siècle, représentant des salamandres, se trouvent sur la façade de la même construction. Il s'agit de la salamandre héraldique, avec une langue et une queue terminées par un dard, posée sur des tisons. François Ier avait pris la salamandre comme emblème de ses ardeurs amoureuses avec la devise Nutrisco et extingo je l'entretiens et je l'éteins qui devait figurée, mais devenue illisible, sur ces plaques. La Grande-Bretèche abrite la communauté des sœurs dominicaines de la Présentation de Tours. La chapelle a été bâtie de 1853 à 1856. L'ancien Grand Séminaire renferme une communauté de pères capucins. Sa chapelle est visible depuis le rue Losserand. Avenue André-Maginot, l'église du Christ-Roi a été construite de 1926 pose de la première pierre le 18 avril à 1934 bénédiction et inauguration le 28 octobre selon les plans des architectes Motte-Poëlle et style jésuite, son ossature est en béton armé selon le système François Hennebique, poteau-poutre-plancher, qui permet de libérer beaucoup d'espace. Le béton est masqué par des moellons et des pierres de taille, sauf sur les deux fins clochers. Cette église possède un orgue. Proche de l'église du Christ-Roi, rue Pinguet-Guindon, le manoir privé de Pilorget a été construit en 1768 par Pierre Meusnier, architecte de l'hôtel Lefebvre de Montifray et du palais du commerce. Le rez-de-chaussée et l'étage présentent quatre fenêtres symétriques auxquelles correspondent quatre lucarnes. L'entrée centrale est surmontée d'un fronton triangulaire percé d'un oculus. A l'intérieur, on remarque un escalier avec des boiseries et une rampe en fer forgé. Des boiseries classées décorent le salon et la salle à manger. En 1781, ce manoir appartenait à Pierre Thenon, procureur au bailliage de Tours. Au XXe siècle, il devenait la propriété de la famille Motte qui a donné le terrain pour la construction de l'église. Au 8 rue de la Pierre, un couvent de Capucins a été créé en 1899. Transformé en hôpital pour aveugles de guerre lors de la Première Guerre mondiale, le couvent fut a nouveau occupé par les Capucins en 1925. La chapelle, achevée en 1931, est l’œuvre des architectes Auguste et Gustave Perret. Le couvent a été abandonné et vendu en chapelle présente de fins piliers cannelés et une voûte surbaissée en béton. Un lanterneau laisse passer une lumière bleutée dans la nef. Le chœur possède une peinture de Suzanne Masse vers 1950 représentant un miracle de saint François. La chapelle Notre-Dame de l'Europe primitivement appelée la chapelle du Mortier, rue du Maine, a été bâtie en 1972-1973. La première messe s'est déroulée le 29 avril au 53-57 rue de la Chapelle, la chapelle Saint-Martin a été inaugurée le 26 novembre 2017. Ses plans ont été dessinés par l'architecte Jean-Marie Duthilleul. La chapelle et la sacristie ont une surface de 200 m². La nef unique, en forme de mandorle, est surmontée par une charpente en bois couverte par des bardeaux en châtaigner de la Sarthe. Le clocher, de 20 mètres de haut, abrite trois cloches nommées Marie-François 68 kg, Martin-Bruno 98 kg et Barthélémy-Pierre-Xavier 141 kg. En face de cette chapelle, un logis privé à haut pignon XVIIe siècle, appelé le Clos Saint-Libert était, jadis, nommé le Clos Ribert. La construction joignant le logis à la tour carrée est récente. Au 64 rue Losserand, l'Hôtellerie Saint-Catherine date du XVe siècle. Son poteau cornier droit porte une statuette en bois représentant sainte Catherine d'Alexandrie protégée par un dais et appuyée sur la roue de son supplice. A l'arrière de l'auberge, rue Rochemardon, la façade de cette auberge présente des galeries en charpente superposées et une tourelle d'escalier. Aux 61-63 rue Losserand, cette maison à colombage a été édifiée au XVe siècle. Un peu plus loin à gauche de la photo, au n° 65, un logis semble être de la même époque ou du XVIe siècle. Au 2 rue du Cheval-Blanc, on remarque un logis du XVe siècle. Au 20 rue du Nouveau-Calvaire, cette maison en pierre à pans de bois et brique date du XVe siècle. Au 10 rue du Vieux-Calvaire, cette maison du XVIe siècle, en partie modernisée, présente un étage en encorbellement construit en colombage. Au 42 rue du Vieux-Calvaire, l'ancien couvent des Calvairiennes a été bâti au XVIIe siècle. Le 23 août 1635, par lettres patentes, ces religieuses furent autorisées à s'établir à Saint-Symphorien. Des bâtiments conventuels, il reste un logis principal élevé d'un étage et d'un comble avec lucarnes surmontées d'un fronton. Une aile en retour d'équerre se trouve à gauche de la cour. Au 8 rue du Pas-Notre-Dame, l'auberge de l'Oye XVIIe siècle servait aussi de relais de poste situé sur l'ancienne route de Normandie. Sa façade présente une sculpture représentant une oie. Au XVIIIe siècle, il y existait une chapelle domestique. Située entre le pont Wilson ou pont de pierre et l'avenue de La Tranchée, la place Choiseul propose encore quatre pavillons de l'octroi du XVIIIe siècle. Au 35 du quai Paul Bert, la Manufacture de Tissage des Trois Tours établissement Georges Le Manach était l'un des rares vestiges des soieries de Tours. Elle fut fondée en 1829 dans un ancien relais de poste du XVIIIe siècle. L'industrie de la soie tourangelle a été créée en 1470 sous l'impulsion de Louis XI et connue son apogée au XVIe siècle. Le château de La Croix-Montoire a été construit au XIXe siècle, selon les plans de l'architecte Jacquemin, pour la famille Petit de Vauzelles. Le paysagiste Eugène Bühler avait dessiné le parc. Il a remplacé une ancienne closerie. Cet édifice a été transformé en sanatorium en 1923. Au 45 avenue de la Tranchée, le château de Bellevue XIXe siècle a aussi remplacé une ancienne château de Beauséjour fin du XVIIe siècle est composé d'un corps de logis principal situé entre deux pavillons, aux angles à chaînages à refends. Les murs de l'étage sont en pierres de taille sur un rez-de-chaussée en moellons. Les ouvertures, à encadrements en pierre, sont disposées symétriquement avec des linteaux légèrement incurvés et des huisseries à petits carreaux. Des garde-corps en fer forgé remplacent les allèges à l'étage. Les toits d'ardoise à faible pente sont à deux égouts sur la partie centrale, à quatre versants sur les ailes. Ils couvrent un grenier perdu, sans aucune lucarne, où l'on peut accéder par une trappe. Sous une fenêtre du pavillon Est, une porte donne accès à une cave voûtée, presque carrée, d'environ 4 mètres de côté. A l'est de cet édifice une première construction a été ajoutée vers 1890, avec comble à lucarnes de pierre à fronton triangulaire. Une seconde est venue s'y accoler vers 1920 avec pignon aigu dominant l'ensemble. La chapelle est un petit bâtiment rectangulaire sous une toiture à quatre pans. La porte s'ouvre dans le mur Sud, totalement surmonté par un fronton triangulaire. La voûte en plâtre forme un tronc de pyramide reposant sur une corniche moulurée. La paroi Nord est occupée par un retable avec deux pilastres dorique soutenant un tympan triangulaire. Il y avait deux fenêtres latérales mais celle de l'Est a été murée. Au 71 rue de la Presle, Le Grand-Vaudour a été construit au XVIIe siècle sur des terres appartenant, jadis, à l'abbaye de Marmoutier. A la fin du XIXe siècle, un industriel, M. Besson, reprend en main cette exploitation agricole et modifie les bâtiments. Au 128 rue de la Presle, cette demeure privée, la Closerie La Mare, date des XVIIe et XVIIIe siècles. Elle est construite en pierre et en colombage. Au 46 rue Maurice-de-Tastes, la façade du Vieux-Logis XVIIIe siècle présente, au rez-de-chaussée, une entrée entourée par deux fenêtres et, à l'étage, trois fenêtres. Ses combles sont éclairés par deux lucarnes à fronton encadrant un œil-de-bœuf. A l'origine, cette demeure devait être, sans doute, la closerie du fief de Montsoudun. Au 49 rue Maurice-de-Tastes, le château privé du Grand-Montsoudun a été bâti sur un oppidum romain au XVIIIe siècle vers 1715 puis modifié au XIXe siècle. Il a eu plusieurs propriétaires parmi lesquels François Rolland et Émile Pilain constructeurs de voitures puis, en 1923, le comte Guth de Gerlicz qui avaient de nombreuses connaissances parmi les artistes du spectacle. Le manoir de Sapaillé est composé de deux bâtiments. Le logis à gauche a été reconstruit au XVe siècle sur des fondations du XIIIe siècle. Il possède une charpente en carène de navire. La grange à droite renferme une charpente du XVIe siècle. Sapaillé était un fief relevant de Tours. En 1020, il a été donné à l'abbaye de Marmoutier par Geoffroy de Châteaudun.. Place du Président-Coty, le monument aux morts de Saint-Symphorien commune rattachée à Tours en 1964 a été sculpté par François Sicard. Jadis, cet ouvrage se trouvait sur la place de la Tranchée, il a été déplacé en 1965. Le cimetière Lasalle le plus vaste de Tours, ouvert en 1856, renferme des sépultures remarquables comme celle de l'architecte Victor Laloux 1850-1937. Conçue par Laloux lui-même, elle a été sculptée par Henri Varenne. La tombe de l'aviateur Victor Lasalle, mort à Bir-Al-Amar, en Libye, le 15 décembre 1929, a été réalisée par Georges Delpérier. Cette tombe est celle du cheminot François Boileau décédé lors d'un accident de chemins de fer à Dissay-sous-Courcillon, dans la Sarthe, le 30 mars 1878. La locomotive PO730 qu'il conduisait fut précipitée, avec les wagons du convoi, dans le Loir en crue suite à la destruction d'une arche d'un pont. C'est cet accident que le sculpteur Coussin a représenté. La grange dîmeresse XVe siècle du Colombier, dit aussi Le Grand-Colombier, possède, à l'ouest, une porte qui s'ouvre sous un pigeonnier à colombage. A côté, se trouve un autre pigeonnier, carré celui-là . Un pigeonnier carré est présent à Tours Nord, dans la rue du Maine. Près de la place du Président-Coty, le petit et sympathique jardin Colbert-La Source procure un moment de quiétude à l'ombre de ses arbres et arbustes. Dans la rue de la Source, on peut découvrir cet ancien puits. A voir Le manoir des Rochettes début du XVIIIe siècle.Le manoir de Colombier ou Grand-Colombier date de la fin du XVIIIe siècle. Lieux-dits Beauregard, Beau-Séjour, Beau-Site, Beau-Verger, Belmont, Carcassonne, Châtenay, Chausson, Clos-Saint-Libert, Europe, Île-Aucard, La Chambrerie, La Chevalerie, La Croix-Montoire, La Croix-Pasquier, La Grande-Bretèche, La Grande-Île-Aucard, La Mare, La Martinière, La Milletière, La Petite-Arche, La Plauderie, La Presle, La Tranchée, Le Champ-Chardon, Le Colombier, Le Grand-Montsoudun, Le Grand-Vaudour, Le Mai-Fleuri, Le Mortier, Le Pas-Notre-Dame, Le Petit-Châtenay, Le Petit-Montsoudun, Les Bordiers, Les Douets, Les Rochettes, Les Tourettes, Marmoutier, Monconseil, Pilorget, Rougemont, Sapaillet, Saint-Symphorien, Sainte-Radegonde
Aufil des textes. Discours de J.P. Marat du jeudi 8 novembre 1792. En réponse aux accusations d’agitateur. 31 mai. « On m’accuse d’être un agitateur, un perturbateur du repos public. Vaines clameurs, répétées par des citoyens crédules, d’après les ennemis de la révolution. Madame Roland insultée par le Père Duchesne.
Date d'édition 1971 Anciens ou d'occasion Couverture rigide A propos de cet article Paris, Jacques Delmas & Cie, 1971; in-4 226 x 300 mm, 152 pp., reliure d'éditeur pleine toile, coloris blanc, dos lisse, sous jaquette illustrée. Introduction du duc de La Force. Textes duc de La Force, chanoine Baret, comte d'Hebray et Cordonnier. Très nombreuses illustrations en noir et blanc et quelques-unes en couleurs. Très bon état. N° de réf. du vendeur H2383 Poser une question au libraire Détails bibliographiques Titre Églises et abbayes de la Sarthe. Date d'édition 1971 Reliure Hardcover Etat de la jaquette Dust Jacket Included Description de la librairie CRÉÉE EN 1996, LA LIBRAIRIE ALPHABETS VIENT D'EMMÉNAGER DANS SES NOUVEAUX LOCAUX EN PLEIN COEUR DE NANCY, ELLE PROPOSE ÉDITIONS ANCIENNES ET BIBLIOPHILIE, BEAUX-ARTS, LITTÉRATURE, SCIENCES HUMAINES, HISTOIRE ET RÉGIONALISME. Visitez la page d’accueil du vendeur Conditions de vente A PARTIR DE 50 ¿ ENVOI D'UNE PHOTO SUR E-MAIL SUR SIMPLE DEMANDE. Conditions de livraison Orders usually ship within 2 business days. Shipping costs are based on books weighing LB, or 1 KG. If your book order is heavy or oversized, we may contact you to let you know extra shipping is required. A PARTIR DE 80 ¿ ENVOI EN RECOMMANDE UNIQUEMENT. Afficher le catalogue du vendeur Modes de paiement acceptés par le vendeur Chèque En espèce Traite bancaire Virement bancaire
Cartulairede la Roë. Le cartulaire de la Roë du XII e siècle est écrit en latin ; il n'existe pas de traduction en français. C'est un recueil des chartes (du latin carta), c'est-à -dire des actes les plus importants relatifs à la fondation, à la dotation et aux privilèges de l'abbaye ; il en comporte 244, allant de 1096 à 1190 environ. M me Marie Hamon-Jugnet en a fait l'édition
Sortir Nantes Divers Sortez ! Soirées Concerts Expos Spectacles Salons Bonnes Adresses Rechercher Quand ? Sortez ! - Journées du Patrimoine 2022 DATE Dimanche 16 septembre 2018 LIEU Archives départementales de la sarthe Le Mans 72000 ATTENTION événement terminé ! Evénement proposé via OpenAgendaVisite des coulisses » des Archives parcours commentés dans les locaux non accessibles au public et présentation de documents exceptionnels Visite des coulisses »des Archives parcours commentés dans les locaux non accessibles au public et présentation de documents exceptionnels. Une sélection des nouvelles acquisitions sera présentée à tous. [Source Ministère de la Culture] Archives départementales de la sarthe - En savoir plus sur le lieu plus d'informations sur le site Internet des Archives départementales de la Sarthe Journées Européennes du Patrimoine 2018 Thèmes Archives Adresse Archives départementales de la sarthe; 9, rue Christian Pineau, Le Mans, 72100 Evénement proposé dans le cadre des Journées du Patrimoine 2018 Source Ministère de la Culture et de la Communication / Plus d'idées sorties pour les Journées Européennes du Patrimoine 2022 Le Programme des Journées du Patrimoine à Le Mans 72000Le Programme des Journées du Patrimoine - Sarthe 72Le Programme des Journées du Patrimoine à Nantes et sa région Pays de la LoireLe programme par thème Premières ouvertures, Ouvertures exceptionnelles, Sur réservation, Enfants / famille, Lieux de pouvoir Contact ? Url Quand ? Horaires Visites commentées des coulisses des Archives départementales de la Sarthe - Journées du Patrimoine 2018 Dimanche 16 septembre 2018 Quoi ? Visites commentées des coulisses des Archives départementales de la Sarthe - Journées du Patrimoine 2018 c'est quel genre d'événement ?Divers - Sortez ! Divers Archives départementales de la sarthe / Sortez ! Archives départementales de la sarthe / Divers Le Mans 72000 / Sortez ! Le Mans 72000 Adresse Où ? Archives départementales de la sarthe 9, rue Christian Pineau, 72100 Le Mans72000 Evénement annoncé par LE PARISIEN ETUDIANT le mardi 21 août 2018 Modifier votre annonce d'événement Signaler un abus / une erreur Autres Sortez ! le même jour Du 15 au 16 septembre 2018 Espace Saint-Fiacre, un projet phare pour le... Sortez ! L’Espace Saint-Fiacre se compose de deux bâtiments dont une halle polyvalente de 3500 m2 et une salle festive de 900... Parc Saint-Fiacre - Château-Gontier 53200 Du 15 au 16 septembre 2018 Visite de la rotonde ferroviaire de Montabon Château... Sortez ! Ancien de dépôt de Château du Loir 72500 Inscrite au titre des monuments historiques en 2010 Construite en... Route de Nogent, chemin des marais - Montabon 72500 Du 15 au 16 septembre 2018 Découverte de la Maison et jardins de Georges... Sortez ! Visite libre de la maison et des jardins de Georges Clemenceau Georges Clemenceau se retire de la vie politique et... - GRATUIT Maison de Georges Clemenceau - Saint-Vincent-sur-Jard 85520 Dimanche 16 septembre 2018 Journée des Savoir-Faire Secrets - Journées du... Sortez ! Le dimanche 16 septembre 2018, dans le cadre des journées du patrimoine, le Château de Piedouault entre Jallais et... Château de Piédouault - Jallais 49510 Du 15 au 16 septembre 2018 visite d'un chateau d'eau - chateau... Sortez ! découvrir la réhabilitation d'un chateau d'eau déconseillé aux personnes qui on le vertige. la monté... chateau d'eau le sable - Daon 53200 Du 15 au 16 septembre 2018 Visite du bateau "le Hope" - Ponton numéro... Sortez ! L'association SUROIT vous fait embarquez sur le "Hope", casayeur construit en 1943. Bateau de pêche... Ponton numéro 9 port de plaisance de Saint Gilles Croix de Vie - Saint-Gilles-Croix-de-Vie 85800 Du 15 au 16 septembre 2018 Visite guidée du bâtiment administratif... Sortez ! Un patrimoine en partage le bâtiment administratif Jean-Baptiste Daviais. Un tout jeune édifice, jalon du... bâtiment administratif Daviais - Nantes 44000 Du 15 au 16 septembre 2018 Logis de la Cendrerye - Journées du Patrimoine 2018 Sortez ! Accueil par les propriétaires. Découverte des extérieurs et des intérieurs plafonds de bois polychrome des XVe –... Logis de la Cendrerye - Saumur 49400 Du 15 au 16 septembre 2018 Le patrimoine Fougerollais - Fougerolles-du-Plessis -... Sortez ! 7 lieux à visiter, atelier du sabot, chapelles, église, lavoir, stèle, parc 7 lieux à visiter L’association... Château de Goué - Fougerolles-du-Plessis 53190 Du 15 au 16 septembre 2018 Rythme et partage des jours dans la campagne du Maine... Sortez ! Fondé au XIIe s, et reconstruit au XVe s, le prieuré qui dépendait de l'abbaye de la Couture du Mans... Prieure saint-symphorien en saosnois - Marolles-les-Braults 72260 Du 14 au 16 septembre 2018 Journées du ¨Patrimoine au Château du Lude -... Sortez ! Cette année, le Lude se met à l'heure de la Renaissance, avec les animations proposées par l'association... Château du lude - Le Lude 72800 Du 15 au 16 septembre 2018 La Maison de la Pêche - Maison de la Pêche -... Sortez ! Visite du Musée "Maison de la Pêche" à La Turballe La visite de l'exposition du musée, vous... Maison de la Pêche - La Turballe 44420 Du 15 au 16 septembre 2018 Moulin de Kerbroué - Journées du Patrimoine 2018 Sortez ! Visite du Moulin de Kerbroué Anciennement appelé 'moulin de Maincrom' la pierre courbe, nom de la... Moulin de kerbroue - La Turballe 44420 Du 15 au 16 septembre 2018 Oeuvre éphémère et participative - Journées du... Sortez ! L'équipe de la Maison du Potier vous invite à sa table. Créez un ou plusieurs objets pour faire de cette table... La Maison du Potier - Montrevault-sur-Èvre 49270 Sortez ! - Plus d'événements Devenez Fan du Parisien Etudiant sur Facebook Sur Twitter P_etudiant parisiensortie Le Parisien Etudiant sur InstagramMaviedetudiant
Egliseset abbayes de la Sarthe[Texte imprimé] / Introduction : M. le Duc de La Force ; Textes : M. le Duc de La Force, M. le Chanoine Baret, M. le Comte d
Toutes les grandes religions connaissent le monachisme, un choix de vie qui porte certains croyants à renoncer à la vie de famille, au moins temporairement, pour magnifier leur foi en collectivité, par la dévotion et la charité. Cette pratique structure par exemple la société contemporaine en Thaïlande, pays profondément bouddhiste. Mais elle a aussi structuré l'Égypte chrétienne des premiers siècles et plus encore l'Europe médiévale. Les monastères apparaissent alors comme des pôles de stabilité et des organisations économiques innovantes dans une société instable et pauvre. Leur fonction sociale, chanter la louange de Dieu opus Dei en latin, est perçue comme vitale par la communauté des fidèles. Ermites et cénobites des origines Les premiers siècles de la chrétienté voient la multiplication en Égypte des ermites du mot grec eremos qui désigne le désert ou anachorètes du grec ana, à l'écart, et khorein, se retirer. Ils auraient été jusqu'à cinq cent mille ! Leur modèle est saint Antoine, considéré de façon un peu abusive comme le Père des moines d'Occident et d'Orient ». Un contemporain moins prestigieux, saint Pacôme, inaugure en 315 la vie communautaire ou cénobitique du mot grec keinobios qui désigne ceux qui vivent ensemble et s'oppose à anachorète en haute Égypte, où il rassemble jusqu'à 1 300 moines. Le monastère est ceint d'une clôture qui le protège des pillards. Il vit en autarcie et se suffit à lui-même avec une organisation calquée sur les villae romaines grandes exploitations agricoles. Le monachisme pénètre à la même époque en Occident, où saint Martin fonde un premier monastère à Ligugé, près de Tours, vers 363. Mais il y a encore beaucoup d'ermites qui hantent les clairières et des moines gyrovagues » qui errent deçà delà en quête d'un maître spirituel qui les satisfasse. Le premier qui va réunir les suffrages est saint Benoît de Nursie, fondateur de l'abbaye du Mont-Cassin, entre Rome et Naples. La révolution bénédictine Saint Benoît écrit une règle inspirée de ses prédécesseurs mais qui s'en distingue par le souci de l'équilibre. Loin de toute extravagance, il prône une discipline saine fondée sur la prière et le travail manuel orare et laborare et garantie par une stricte obéissance à l'abbé, lequel est élu à vie. Il précise qu'à la mort de l'abbé, les moines se réunissent en chapitre pour choisir celui qui est le mieux apte à lui succéder. Il précise seulement qu'il doit être choisi par la part la plus saine des moines sanior pars en latin. Il n'est pas encore d'élection au sens que nous lui connaissons, les premières communautés étant trop restreintes pour s'y prêter. On peut plutôt parler de cooptation comme cela se fait au sein du Conseil européen des chefs d'État pour désigner le futur président de la Commission... C'est seulement au XIIIe siècle qu'émergera l'élection sur le principe un homme/une voix, avec désignation du nouvel abbé à la majorité maior pars. Ainsi peut-on porter au crédit des moines bénédictins l'invention de la démocratie élective, ou plutôt sa redécouverte après qu'elle fut tombée en déshérence suite à la ruine d'Athènes et de la Grèce antique. Saint Benoît bouscule aussi les préjugés sociaux en exigeant des moines qu'ils se suffisent à eux-mêmes par le travail, lequel est ordinairement le lot des esclaves et des femmes dans les sociétés antiques. Ainsi les moines vont-ils à leur corps défendant valoriser le travail et en particulier le travail manuel, pour le plus grand bénéfice de tous. Sa règle s'impose grâce au soutien actif de Charlemagne et de son fils Louis le Pieux. La société féodale d'Europe occidentale se structure très vite autour des monastères bénédictins, généralement fondés à l'initiative d'un riche et puissant seigneur. Il n'y a pas de famille aristocratique qui n'aspire à placer au moins l'un de ses rejetons dans un monastère de bonne réputation pour qu'il s'instruise et assure le salut commun par ses prières. Ces enfants confiés aux monastères sont désignés sous le nom d'oblats du latin oblatus, offert ». La règle bénédictine a été au départ conçue pour les hommes mais les femmes ne tardent pas à réclamer des aménagements pour elles-mêmes. Peu à peu, elles obtiendront le droit de se consacrer elles aussi à l'opus Dei, comme à l'abbaye de Fontevraud. Les moines au travail Stables et plutôt bien organisés, les monastères vivent en autarcie, grâce au travail des moines mais aussi des paysans et des serfs qui vivent sur leurs terres. Ils exploitent la terre et disposent de tous les ateliers artisanaux nécessaires aux besoins de la communauté. Ils contribuent ainsi à la mise en valeur du territoire, précédemment mis à mal par les invasions et la disparition des institutions romaines. Par leur puissance économique, ils dominent de manière écrasante la société féodale dès l'époque carolingienne. Par leur activité intellectuelle, ils contribuent aussi à la résurrection de la culture antique et de la culture tout court. Pour prier Dieu comme il convient, les abbés et les moines ont le souci en effet de revenir aux sources et pour cela de se plonger dans la lecture des ouvrages antiques. Ainsi redécouvrent-ils le latin, passablement oublié aux temps mérovingiens, jusqu'à créer un latin médiéval qui va devenir pour de longs siècles la langue de communication de l'Europe lettrée. C'est dans les monastères que se maintient un semblant d'instruction. L'école de l'abbaye de Fontenelle aujourd'hui Saint-Wandrille de Fontenelle, en Normandie aurait ainsi compté jusqu'à 300 élèves. Mais les livres demeurent rares et l'on n'en dénombre jamais plus de 500 dans les bibliothèques monastiques. Aussi les monastères, à l'époque carolingienne, se dotent-ils d'un scriptorium où les moines les plus aptes recopient assidûment les manuscrits, dans des conditions physiques très éprouvantes. La révolution clunisienne Le tournant survient au début du Xe siècle avec la création d'un monastère à Cluny, dans une lande proche de Mâcon, à l'initiative du duc d'Aquitaine. Sans que nul s'en doute, il va devenir très vite le coeur et l'âme d'une réforme en profondeur de l'Église et de la société féodale, grâce à son privilège de ne plus dépendre du seigneur ou de l'évêque du lieu mais seulement du pape qui siège à Rome. Ainsi va-t-il moraliser le clergé mais aussi contenir les pulsions guerrières des féodaux et les orienter vers le service de la veuve et l'orphelin ». Cluny, très vite saturée par l'afflux de vocations, implante dans toute l'Europe des abbayes-filles » dont l'abbé demeure sous l'autorité de celui de Cluny. Après l'An Mil, on compte ainsi un total de 1450 communautés clunisiennes monastères et prieurés rassemblant dix mille moines, non compris bien sûr le personnel laïc et les oblats. Mais la congrégation clunisienne porte aussi la plus grande attention à la liturgie. Les offices gagnent en somptuosité à travers les chants dits grégoriens » et la décoration des églises selon le style dit roman ». Au XIIe siècle montent cependant de toutes parts des critiques à l'égard des clunisiens auxquels on reproche leur relâchement, leur goût croissant du luxe, leur tendance à délaisser le travail au profit des offices, bref, leur prise de distance avec la règle bénédictine. Deux siècles après la fondation de Cluny, ces critiques vont susciter la création d'une congrégation rivale, l'ordre de Cîteaux. La réforme cistercienne Les cisterciens, avec plus de succès que les autres, restaurent la règle bénédictine dans sa pureté originelle en rendant toute sa place à l'humilité, à la pauvreté et au travail, y compris le travail agricole. Ils réduisent la décoration des églises et la liturgie à l'essentiel la contemplation de Dieu... en y ajoutant toutefois la dévotion à la Vierge. Leur rayonnement va être plus rapide et plus étendu que celui de Cluny, plus bref également. Cela grâce au charisme exceptionnel de saint Bernard de Clairvaux. Cîteaux et ses quatre filles », toutes bourguignonnes à l'exception de Clairvaux la champenoise, étendent partout leurs ramifications. À la différence des clunisiens, les cisterciens veulent se suffire à eux-mêmes et ne faire appel ni à des serfs ni à la dîme, impôt d'Église auquel sont assujettis les paysans. Aussi confient-ils les travaux des champs et des ateliers à des frères convers ou converts du latin conversus, converti. Issus le plus souvent de la paysannerie, ils sont tonsurés comme les moines mais portent la barbe et surtout ne participent pas à la liturgie. Ils ont seulement le devoir d'assister à la messe dominicale. La liturgie est le domaine réservé des moines de choeur, généralement issus de la petite ou moyenne noblesse comme saint Bernard. C'est aux moines de choeur aussi que revient la copie de manuscrits. D'autre part, quand cela est nécessaire, les convers qui dirigent les granges », autrement dit les exploitations agricoles, peuvent faire à des travailleurs extérieurs, quitte à leur verser une rémunération fixe et régulière. C'est la naissance du salariat moderne. Innovateurs, organisés et diligents, les cisterciens vont magistralement valoriser les ressources de la terre partout en Occident, qu'il s'agisse d'irriguer, drainer, défricher, exploiter le sous-sol... Ils améliorent par croisement les espèces animales et végétales, développent le labour profond et l'assolement triennal, enfin font reculer la jachère. Mort et renaissance Mais dès le XIIIe siècle, avec le développement des villes et de l'économie marchande, les monastères de tous ordres vont se marginaliser irrésistiblement. Ainsi vont-ils dès le début du XIIIe siècle renoncer totalement à la copie de manuscrits, celle-ci étant reprise par des ateliers laïcs. Plus grave, ils vont être concurrencées par les ordres mendiants, tels les dominicains et les franciscains, qui fuient les solitudes » et parcourent les villes, au plus près des fidèles. Les ravages de la guerre de Cent Ans XIVe siècle puis la Réforme et la sécularisation des monastères par les princes luthériens d'Allemagne XVIe siècle vont accélérer le déclin des ordres monastiques... Publié ou mis à jour le 2020-02-05 155956
Ledébat d'orientations budgétaires 2016 se tient aujourd'hui, lundi 18 janvier, pour le Conseil départemental de la Sarthe. Cette séance publique, tenue à l'Abbaye de l'Epau, a pour but d'échanger entre conseillers départementaux sur ce que sera l'action pour l'année 201 6.. A cet effet, le Groupe a présenté 17 propositions fortes pour les Sarthois.
Error 403 Guru Meditation XID 855604348 Varnish cache server
0 0 votes appréciez-vous ce message ? Article pouvant être lu en 2 minutes hors éléments audio ou vidéoPATRIMOINE RELIGIEUX – ABBAYE – COMMÉMORATION Visite dans l’abbaye de Solesmes à Sablé-sur-Sarthe Sarthe qui célèbre cette année le 1000è anniversaire de sa fondation Lire L’abbaye de Solesmes veut ouvrir les visiteurs à sa prière – La Croix 25 avril 2010 Sur les bords de la Sarthe, ce haut lieu de la spiritualité bénédictine célèbre jusqu’au 12 octobre l’année jubilaire de son millénaire Sourire lumineux et voix paisible, Dom Philippe Dupont ne craint pas le paradoxe De ce millième anniversaire de l’abbaye de Solesmes, nous espérons qu’il nous aide à relire l’histoire de notre communauté et à retrouver les valeurs qui fondent notre vie monastique. Qu’il nous permette d’affirmer davantage encore notre spécificité au quotidien, car c’est bien cela que les gens attendent de nous que nous soyons des moines ! » Pourtant, le père abbé de Solesmes n’ignore pas que les festivités liées au millénaire risquent de susciter un afflux de visiteurs au bord de la Sarthe, à deux pas de Sablé, le fief du premier ministre François Fillon, très attaché lui aussi à l’abbaye Saint-Pierre. D’ailleurs, le conseil général de la Sarthe a bien compris les retombées économiques et touristiques qu’il pouvait escompter du tourisme religieux, qui a attiré 500 000 personnes en 2009. Les pouvoirs publics départementaux soutiennent la promotion de l’anniversaire de Solesmes en espérant doubler la fréquentation de l’abbaye. L’an dernier, 58 000 visiteurs s’y sont rendus, au cœur d’un circuit qui compte aussi la cathédrale Saint-Julien du Mans 283 613 visiteurs, le sanctuaire Notre-Dame du Chêne 70 000 et l’abbaye de l’Épau 15 000. Lire la suite Lire aussi Solesmes célèbre en 2010 le millénaire de sa fondation Cluny 2010 Vosges Une abbaye en cours de restauration [googleMap name= »Abbaye de Solesmes » description= »abbaye de Solesmes »]1, Place Dom Guéranger 72300 SOLESMES[/googleMap] Ces articles devraient également vous intéresser 512 visites sur cette page - compteur installé sur le site le 22 juillet 2014 1 visites aujourd'hui 0 0 votes appréciez-vous ce message ? Navigation de l’article
Abbayede Sénanque et ses lavandes Abbaye de Vaux de Cernay en vallée de Chevreuse Abbaye de Paimpont en Bretagne Abbaye de Saint Martin en Picardie Abbaye de Saint Georges en Normandie Abbaye de Thoronet dans le Var Abbaye de Tamié dans le massif des Bauges Abbaye de Chatelier – Île de Ré Abbaye de Longpont près de Soissons Abbayes d’hier et d’aujourd’hui
Notre abbaye L’histoire de l’abbaye Sainte Anne de KergonanLes bâtiments de l’abbayeLes projets de rénovationNotre congrégation le fondateur et toutes les abbayes fondéesEn bref Ordre monastique de saint Benoît Fondation en 1897 Abbaye mère Saint-Pierre de Solesmes Nombre de moines aujourd'hui 21L'histoire de l'abbaye Sainte-Anne de KergonanEn 1897, dix moines bénédictins venus de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes sous la conduite de dom Paulin Joumier 1854-1917 s’établissent à Kergonan sur la paroisse de Plouharnel, à proximité de Carnac dans le Morbihan. Une maison de prière, de style néoroman, se fonde ainsi sur le granit breton, et sa louange liturgique s’accorde à la houle de l’océan tout quelques grandes étapes qui ont marquées l’histoire du monastère En 1901, la loi sur les associations exclut les communautés religieuses et les moines trouvent refuge en Belgique. Les bâtiments de l’abbaye, confisqués par l’État, sont mis en vente, mais des amis fidèles les rachètent et les mettent à la disposition d’une école de jeunes 1914, la communauté de Sainte-Anne de Kergonan devient Abbaye autonome et dom Joseph Marsille est alors élu premier Abbé de Kergonan. En 1920, il conduit les moines pour rentrer d’exil et la communauté se réinstalle dans les bâtiments de monastère, proche du mur de l’Atlantique », est réquisitionné en 1942 par les forces d’occupation. Les moines trouvent alors refuge à la Chartreuse d’Auray 56, puis la communauté s’installe en 1943 au château des Nétumières près de Vitré 35. En 1946, les moines rentrent de ce second exil et retrouvent des bâtiments à restaurer suite aux dommages de la 1968, le troisième abbé de Kergonan, dom Marcel Blazy lance le chantier de l’église abbatiale, qui est consacrée en 1975 par Mgr Pierre-Auguste Boussard 1917-1997, alors évêque de Laurent de Trogoff 1967 - Actuellement Prieur administrateur de l’abbayeLe dimanche 26 août 2018, le TRP abbé de Solesmes est venu nommer et installer au nom du Saint-Siège le TRP Dom Laurent de Trogoff, désigné par le décret romain du 11 août précédent, comme Supérieur de l’abbaye pour deux années suite à la démission du père abbé dom Philippe Piron. Né à Vannes en 1967, il a suivi sa scolarité à Carnac puis Vannes. Il entre à 22 ans au monastère, fait profession simple le 1 novembre 1991 puis profession solennelle le 7 octobre 1995. Il est ordonné prêtre le 16 avril 2001 par Mgr Pierre Raffin, évêque de Metz. Lui sont confiés à l’abbaye des secteurs relatifs à la technique, l’informatique et l’enseignement. Il s’intéresse aux langues sémitiques et à l’exégèse rabbinique. En 2017 il obtient un master en théologie dans lequel il étudie le premier père chrétien de langue arabe Théodore Abu Qurrah IXe siècle. Il commence en novembre 2017 un doctorat poursuivant ainsi son travail de Philippe Piron 1953 - Cinquième abbé de KergonanDom Philippe Piron est né à Nantes en 1953. Après des études de commerce, il travaille pendant six ans comme inspecteur dans une compagnie d’assurance. Il entre à Kergonan en 1984. Il fait profession simple le 8 septembre 1986 et profession solennelle le 15 août 1989. Il est ordonné prêtre le 21 août 1993 par Mgr Émile Marcus, évêque de Nantes. Il reçoit des responsabilités dans les domaines de l’économat, de l’infirmerie et du chant. En 1996, il est nommé prieur claustral, charge qu’il a exercée jusqu’à son élection abbatiale, le 24 novembre 2001. Il reçoit la bénédiction abbatiale des mains de Mgr Robert Le Gall le 2 février 2002. Sa devise abbatiale, Dilatato corde » — d’un cÅ“ur dilaté — est une expression empruntée au Prologue de la Règle de saint Benoît. Il a été Président de la Conférence monastique de France de 2004 à 2007. Il a présenté sa démission en tant qu’abbé de Kergonan au père abbé de Solesmes, qui l’a acceptée le 17 mars 2018. Dom Robert Le Gall 1946 - Quatrième abbé de KergonanDom Robert Le Gall est né à Saint-Hilaire du Harcouët 50 en 1946. Après son baccalauréat, il commence des études en Lettres supérieures puis entre à l’abbaye où il a fait son noviciat. Il prononce ses premiers voeux monastiques en décembre 1965 et commence des études de philosophie à l’abbaye, avant de poursuivre ses études théologiques à l’abbaye de Solesmes, puis à l’Université de Fribourg en Suisse. Dom Robert Le Gall est ordonné prêtre le 24 août 1974. En 1983, il est élu quatrième abbé de Kergonan. En 2001, il est nommé évêque de Mende 48 puis archevêque de Toulouse en 2006. Mgr Robert Le Gall a publié de nombreux articles et livres sur la liturgie et la spiritualité biblique. Il a aussi écrit un livre de dialogues avec un lama tibétain. Il est président de la Commission épiscopale pour la liturgie et la pastorale sacramentelle. À Rome, il est membre de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des Marcel Blazy 1902-1994Troisième abbé de KergonanDom Marcel Blazy naît à Mauzac en Dordogne en mai 1902. Il passe son enfance à Périgueux, puis entre à Polytechnique en 1921. À la sortie de l’école, il choisit l’artillerie. Il sera pendant trois ans lieutenant au Maroc. En 1930, il entre à l’abbaye de Solesmes et y reçoit la formation classique. De 1938 à 1940, il participe à la fondation du monastère de Las Condes à Santiago du Chili. Rappelé en France pour la guerre, il rejoint Solesmes à l’armistice de juin 1940. Il y sera hôtelier puis professeur de philosophie. Quand dom Demazure démissionne, l’abbé de Solesmes le nomme Prieur administrateur de Kergonan en juin 1962. Un an plus tard, il est élu abbé et reçoit la bénédiction abbatiale à Sainte-Anne d’Auray le 22 août 1963. Il va conduire la communauté pendant vingt années. Il opère l’adaptation liturgique de l’après-concile adoption du missel de Paul VI et de la concélébration, tout en conservant la langue latine et le chant grégorien. Aussi, il mène le chantier de construction de l’église abbatiale, qui sera consacrée le 4 octobre 1975. En mai 1983, il donne sa démission et a la joie de voir son Prieur, dom Robert Le Gall, lui succéder. Il vivra encore douze années paisibles et sereines au monastère. Il s’endort dans le Seigneur le 18 décembre 1994, après quelques mois de Henri Demazure 1882-1974Deuxième abbé de KergonanDom Henri Demazure est né dans les Vosges en 1882 dans une famille de maîtres de forges alliés à l’aristocratie locale. Après des études à Sciences Po, il semble avoir géré sa fortune personnelle, contribuant peut-être à la fondation d’une affaire commerciale en Roumanie. Puis il fit la grande guerre. Il rentre au monastère de Kergonan, tout juste revenu d’exil, au printemps 1921. A la fin de ses études, il est nommé adjoint du cellérier. À la mort de dom Marsille, en 1933, il est élu abbé. Il reçoit la bénédiction abbatiale le 15 janvier 1934. Il conduira la communauté à travers les aléas de la seconde guerre mondiale et de ses exils successifs de la Chartreuse d’Auray et des Nétumières. Il démissionne en 1962. Il passe alors quelques années à l’abbaye de Clervaux au Luxembourg, puis rentre à Kergonan où il sera rappelé à Dieu en Joseph Marsille 1852-1933Né dans une famille de Lorient Bretagne, Joseph Marsille devint prêtre dans le diocèse de Vannes en 1879, avant d’entrer à l’abbaye St Pierre de Solesmes la même année. il prononça ses vÅ“ux simples le 8 mai 1881, dans les mains de dom Couturier, deuxième abbé de Solesmes, puis ses vÅ“ux solennels le 8 mai 1884. Dès 1881, il secondait le maître des novices comme zélateur. Il vint à Kergonan parmi les fondateurs en 1897. De 1901 à 1906, il accompagna nos sÅ“urs de St Michel dans leur exil en Angleterre, avant de nous rejoindre en notre exil en Belgique. Le 2 mai 1908, il fut élu prieur conventuel de notre monastère, puis élu abbé le 26 juillet 1914, quand celui-ci devint une abbaye. Il travailla efficacement pour protéger nos bâtiments pendant notre exil, et eut la joie de ramener la communauté à Kergonan en 1920. Il fut abbé jusqu’à sa mort, le 20 novembre bâtiments de l'abbaye Sainte-Anne de KergonanLes projets de rénovationLa bibliothèque point vert Les besoins sont estimés à 4 000 m linéaires de rayonnage pour 120 000 volumes. Avec les nécessaires annexes, cela représente environ 1 000 m². Première estimation 1 220 000 €. Hôtellerie Saint-Placide point jaune Cette tranche de travaux permet de réaliser pour les hôtes 8 chambres supplémentaires, une bibliothèque, une salle de réunion, un oratoire et avec en plus le bureau, le parloir et la cellule du Père Hôtelier. Première estimation 1 200 000 €. Maison d’accueil Kerjo point rouge Cette maison d’accueil pour les personnes sans domicile fixe comportera 3 chambres et une pièce commune, soit environ 100 m². Notre congrégationPortrait réalisé par Claude-Ferdinand Gaillard 1834–1887, publié en 1878. Dom Prosper Guéranger 1805-1875​Fondateur de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes et de notre congrégationIl naît à Sablé-sur-Sarthe le 4 avril 1805, étudie au Collège d’Angers puis entre au Séminaire du Mans. Il s’y lie d’amitié avec l’abbé Bouvier, futur évêque du Mans, commence la découverte des Pères de l’Église, s’intéresse au mennaisianisme. Tout jeune prêtre, il est choisi par son évêque comme secrétaire particulier et nommé Chanoine. Cette charge lui laisse du temps pour poursuivre de vastes lectures notamment en histoire de l’Église, liturgie, droit canonique. Hostile au jansénisme et au gallicanisme de l’ancien régime, il est favorable à une influence plus directe de Rome sur la vie de l’Église en France. De retour au Mans après avoir échappé à la révolution de juillet 1830, il devient aumônier de la Visitation. Il découvre alors la liturgie romaine qu’il commence à célébrer. Une grâce divine particulière l’initie au mystère de l’Immaculée Conception. Il prépare le projet d’une restauration de l’ordre bénédictin en France dont il attend un renouveau du culte liturgique et des études ecclésiastiques dans l’esprit ultramontain. L’ancien prieuré mauriste de Solesmes 72 est racheté en 1833 et dom Guéranger s’y installe avec quelques confrères. Très vite les vocations arrivent. En 1837, il est nommé par Rome supérieur de la nouvelle Congrégation bénédictine de France, héritière des anciennes congrégations de Cluny, de Saint-Maur et des Saints Vanne et Hydulphe. Solesmes est érigé au rang d’abbaye. Dom Guéranger en est le premier abbé. Il en fera un centre de vie spirituelle et liturgique. Sous son impulsion, les travaux de redécouverte du chant grégorien sont lancés. Plusieurs maisons monastiques sont fondées en France — Ligugé, Marseille, Acey, Paris. Une maison de moniales est établie à Solesmes l’abbaye Sainte-Cécile, dont il confie la direction à sa fille spirituelle, Madame Cécile Bruyère. Des contacts avec les pays étrangers — Angleterre, Allemagne, Belgique, Suisse — portent au loin dans le monde bénédictin l’influence de Solesmes. Dom Guéranger étudie les sources de la liturgie et, sous son influence ardente, et parfois combative, tous les diocèses de France abandonnent les liturgies gallicanes de l’époque moderne pour revenir à l’unique missel romain. Il donne accès à la saveur spirituelle de la liturgie dans son Å“uvre principale L’Année Liturgique, véritable initiation à la vie chrétienne et mystique à partir de la liturgie. Théologien cultivé et profond, dom Guéranger produit des Å“uvres importantes un mémoire sur l’Immaculée Conception prépare la proclamation de ce dogme par Pie IX en 1854 ; un traité sur la Monarchie pontificale accompagne les débats du concile du Vatican. Dom Guéranger meurt à Solesmes le 30 janvier monastères de notre congrégation​Saint-Pierre de Solesmes SartheSainte-Anne de Kergonan MorbihanFontgombault Indre Ligugé VienneGanagobie Haute-ProvenceSaint-Wandrille Seine-MaritimeSaint-Paul de Wisques Pas-de-CalaisSainte-Marie ParisDonezan AriègeTriors DrômeRandol Puy-de-DômeClervaux LuxembourgVaals Pays-BasPalendriai LituanieSilos EspagneValle de los CaÃdos EspagneLeyre EspagneMadrid EspagneQuarr AngleterreSaint-Benoît-du-Lac QuébecClear Creek USAMont-des-Oliviers MartiniqueKeur Moussa SénégalSéguéya GuinéeSainte-Cécile de Solesmes SartheSaint-Michel de Kergonan MorbihanNotre-Dame de Wisques Pas-de-CalaisSainte-Marie des Anges MartiniqueSaint-Jean-Baptiste de Keur Guilaye SénégalSainte-Cécile de Ryde AngleterreSainte-Marie des Deux-Montagnes CanadaCoeur Immaculé de Marie de Westfield USASous l’impulsion de Dom Guéranger, les moines de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes sont partis fonder d’autres monastères. À la suite des lois anticléricales de la fin du 19ème siècle, les communautés monastiques françaises furent amenées à fonder à l’étranger. Pour cette raison, notre congrégation a pris le nom de Congrégation de Solesmes. Elle compte aujourd’hui 24 monastères de moines, et 8 monastères de moniales, réparties en Europe, en Afrique, en Amérique du Nord et aux Antilles. Découvrez aussiQbsf.