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1° Pierre Mouësan, écuyer, seigneur du Pierre Mirouër, vivait en 1350. Il fut employé dans l'association de la noblesse de l'Évèché de Saint-Brieuc pour la garde du duché de Bretagne en 1379. Il semble avoir eu pour fils 1° Guillemot, qui suit ;2° Roland Mouësan, seigneur de Saint-Quihouaye en Saint-Quihouët, qui tua en 1385 Jean, baron de Beaumanoir, qu'il soupçonnait d'avoir abusé d'une de ses parentes. Il n'eut qu'une fille Isabelle Mouësan, de Saint-Quihouaye,qui épousa vers 1415 Eon de la Rivière, auquel elle porta Saint-Quihouaye3° Jean Mouësan, écuyer, seigneur de Ranlastre, officier de Jugon en 1398 ; il parut comme écuyer, et l'un des cent quarante six hommes d'armes de la Compagnie du sire de Gâvre, à la montre de Guy de Gàvre faite le 22 mars 1426. Il avait reçu, le 4 mars 1398, des lettres de Jean, duc de Bretagne et comte de Richemont, lui signifiant que l'abbaye de Bosquen étant de fondation ducale, ses vassaux du village de Ranlastre, en Plessis-Jugon, étaient exempts du guet au château de Jugon » 4° Pierre II Mouësan, abbé de Pornic du 1er mars 1387 à sa mort en octobre Alain Mouësan, qui rendit hommage au. vicomte de Rohan, pour terres en Loudéac en Renaud Mouësan, qui vivait en 1420, père de A. Guillaume Mouësan, qui possédait une terre noble en Pluherlin, dont il fit aveu en 1451 à Jamet de Talhouët, seigneur de Talhouët ;B. Guillemette Mouësan, citée dans cet aveu de Dom Guillaume Moysan, abbé, tabellion de la Cour de Dol en 1389. II° Guillemot Mouësan, écuyer, seigneur du Mirouër. Il ratifia à Lamballe, le 28 avril 1381, le traité de Guérande, en même temps que soixante dix gentilshommes de l'évèché de Saint-Brieuc, entre autres Olivier de Vauclerc, Jean de Trémereuc, Bertrand de Goyon, etc. Il fut fait prisonnier en 1391. Il parut comme seigneur du Mirouër, en la Bouillye R. eut Ill° Guillaume II Mouësan, écuyer, seigneur du Mirouër. Il fut représenté par son fils Mathurin Mouësan, à une Montre des Nobles de l'Évêché de St Brieuc, sous la Bouillye, en eut 1° Mathurin Mouësan, écuyer, seigneur du Mirouër, qui parut comme écuyer à des Montres, en 1469, 1477 et 1469 ; et comme seigneur du Mirouër, en la Bouillye, Réf. 1480. Il ne semble pas avoir eu de Olivier qui suit IV°. Olivier Mouësan, écuyer, seigneur du Mirouër, de la Haye-Mouësan. de la Reigneraye, du Moulin-Garnier. Il épousa vers 1460 Thomine Félin, fille de feu Thomas Félin, sr de la Reigneraye voir les villages d'Eréac, page n° 11, de la Haye, du Grand-Jouan, en Éréac, qui lui porta la Reigneraye, où son fils parut en 1513. Il fit bâtir en Trémorel une maison dite le Moulin-Garnier. Olivier Mouësan, sgr de la Haye-Mouësan, en Yllifaut, et natif de Plancoët, demeurant à la maison du Moulin-Garnier qu'il a fait bâtir ». Cette famille Félin s'éteignit au commencement du XVIe siècle voir Montres nobiliaires de la paroisse d'Eréac en 1513, fondue en Mouësan, Grignon et de la Palluelle. Thomas Félin avait été anobli par le duc de Bretagne vers 1445 voir Anoblissement de Thomas Felin de la paroisse d'Ereac et de son manoir du Grangan. ; il avait épousé Dlle le Chevré voir La famille Chevré des Fosses, Dme du Chastellier voir les villages d'Eréac, page n° 4 . Olivier Mouësan parut comme écuyer en 1469, à une Montre sous Pludune. Il mourut en 1513, laissant 1° Gilles, qui suit ;2° Isabelle Mouësan, qui épousa vers 1508 Jean de Bréhant, Sgr de la Plesse, de l'illustre famille de ce nom, et veuf en premières noces de Jeanne Collas, dont Bertranne de Bréhant, de de la Plesse, qui signe aux Registres paroissiaux de la Bouillye en -1523 et 1539. V° Gilles Mouësan, écuyer, seigneur du Mirouër, de la Reigneraye, de la Haye. Il parut sous la Bouillye et sous Éréac, à la Réformation de 1513 Gilles Mouësan, qui dit ètre nob. à raison de feu Olivier Mouësan, son père, qui fut marié à Thomine Félin, laquelle estait de bas estat ; et en est fils ledit Gilles ; et était ledit Olivier natif de Plancoët, et se disait nob. - Le dit Gilles s'est toujours tenu exempt ». Il eut 1° Jean II Mouësan, écuyer, seigneur du Mirouër, des Fresches, de la Villeneuve, qui parut sous la Bouillye, avec son père, en 1513, sous Ruca en 1554 et en 1560, sous Guingamp en 15551. Il fut parrain à la Bouillye, le 11 octobre 1545 de Jacques de la Motte, fils de Julien et de Marguerite de Bréhant, sgr et de du Saint-Esprit, Marguerite de Bréhant, fille du premier lit de Jean, sgr de la Plesse, et demi-soeur de Bertranne de Bréhant, nièce de Jean Mouësan. Il épousa Olive de la Fruglaye, dame des Fresches et de la Villeneuve, en Ruca ; dont il eut A. Jean III Mouësan, écuyer, sgr du Mirouër, qui épousa Mathurine, dame du Bignon en Saint-Denoual, dont Clément Mouësan, écuyer, sr du Mirouër, du Bignon, en 1569, mort sans postérité en 1610;B. Hélène Mouësan, dame de la Villeneuve, qui épousa vers 1555 Guillaume Martin, sr de la Villemaugier, dont a. Guillaume Martin, sgr de la Villemaugier, et b. Ruellan Martin. sgr du Mirouër, qui épousa, vers 1580, Louise de Visdelou, fille de Jean, chevalier, sgr de la Goublaye voir La Goublaye en Saint-Alban., de l'Hostellerie, de la Ville-Théard, dont Delle Mousëan, de du Fresche, qui épousa, vers 1550, N... de Bédée, dont Bertrand Mouësan, qui suit VI° Bertrand Mouësan,écuyer, seigneur du Bourgneuf, de la Costière. C'est à lui que remontent les cinq générations nobles reconnues par la Réformation de 1670. Il était, en 1521, époux de Marie de la Chouël. de du Bourgneuf, fille de Jean, sgr de la Villeaufraye du Bourgneuf, et de Marguerite de Lenclos, qui lui avait porté le Bourgneuf en Saint-Potan, où elle mourut en 1563. Il passa un acte en 1538 ; parut aux montres de la noblesse du ressort de Lamballe en 1570 et en 1580 ; et mourut vers eut 1° Michel Mouësan, sgr de la Costière, du Bourgneuf, qui partagea noblement son frère puîné, à la mort de leur mère en 1573, et lui donna la Costière. Il est déclaré dans ce partage que leurs ancêtres avaient toujours partagé noblement, suivant l'assise du comte Geoffroy.Tit. De la famille. Il épousa Christophe de Melesse, d'une ancienne famille de l'Évèché de Rennes, qui produisit un chevalier croisé en 1248, et portait D'or à la bande fuselée de sable ». Il ne laissa pas de Morice Mouësan; qui suit VIl° Morice Mouësan, écuyer, seigneur de la Costière. Il fut partagé par son frère, en 1563, de la Costière, en Planguenoual, où il demeura ; il y passa des actes en 1566, 1576, 1586 et 1588; et il y mourut en 1610. Il avait épousé, 1° vers 1570, Marie-Jeanne de Cornillé, de de la Motte, en Torcé, fille de Antoine de Cornilléi, écuyer, sr de la Bichetière, et de Geffeline de Champagne 2° Jacquemine eut sept enfants 1° Amaury Mouësan, écuyer, seigneur de la Costière qui parut dans un acte en 1583 et mourut sans alliance ;2° François, qui suit ;3° Jean IV Mouësan, qui fut partagé par son frère aîné, François, en 1611, et reçut de lui un prêt de 50 £ en 1624 ; il mourut sans postérité ;4° Pierre Mouësan, qui demeurait au Grenier, en St Alban, chez son frère, François, lors du partage de 1611 ; il ne laissa pas de postérité ;5° Jeanne Mouësan, qui était, en 1611, épouse de Jean VI de Visdelou, écuyer, sr de la Villethéard, en la Bouillye voir La tour de Ville-Théart à La Bouillie dont elle ne semble pas avoir eu de postérité ; 6° Marie Mouësan, épouse en 1611 de Julien Hallenaut, écuyer, sr de la Ville-Colvé en Plélo; nous ignorons sa postérité ;7° Françoise Mouësan, épouse en 1611 de François François Ier Mouësan, écuyer, seigneur de la Costière, du Grenier. Après la mort de son père, il partagea noblement en 1611 ses frères et ses soeurs II demeurait alors au Grenier, en Saint-Alban, qui lui avait été apporté par sa femme, Isabelle Herbert du Grenier, du Chauchix, en St Alban, qu'il avait épousée en 1603. Il mourut en 1631, laissant 1° François II, qui suit ;2° Catherine Mouësan, qui épousa René de la Motte, écuyer, sgr de Kerdavy, fils de Louis sgr du Saint-Esprit, de Ménitte, et de Raoulette de la Cellek. Ils demeurèrent à la Houëgnardière, en la Mézière, où ils moururent, elle, en 1677, et lui le 10 septembre 1695, laissant Marguerite Mouësan, qui épousa, vers 1635, Jean Bertho, écuyer, Sgr de Vauvert, fils de Jean,sgr de Vauvert, et de Marguerite Cottes, de de la Barre, dont Jean Bertho, sr de l'Escoublière, maintenu en François II Mouësan, écuyer, seigneur de la Costière, du Grenier, de la Villirouët, de la Grand'Maison, de la Ville-ès-Guiheux. Né en 1605, il passa bail pour le Grenier en 1641 ; il fit, en 1647, un échange avec Jean du Coudray, seigneur de Chef-du-Bois et de l'Epine. Il mourut avant 1663. Il avait épousé, le 16 janvier 1631, Renée-Anne Bische, de de la Villirouët, fille de Gilles, écuyer, Sr de la Villirouët, de la Brosse, et de Marguerite Mochet, de de Chef-du-Bois ; qui lui porta la seigneurie de la Villirouët en Plédéliac, où il alla demeurer. Ils eurent cinq enfants 1° Georges Mouësan, écuyer, seigneur de la Villirouët, de la Costière, lieutenant des gardes du château du Guildo voir le château de Gilles de Bretagne au Guildo & l'abbaye de Saint Jacut de la Mer - Hunaudaye, Le Guildo, Boquen - Le château du Guildo par Jean-Baptiste-François Delaporte -, en 1665 ; né à la Villirouët en 1633, il épousa en novembre 1680, Jacquemine de la Guérande, fille et héritière de feu Marc de la Guérande, écuyer, sgr de la Guyomarais, du Quengo, et de Marguerite de la Fruglaye. Il mourut en juillet 1684. Il n'eut que deux filles Jacquemine et Marguerite, qui moururent sans alliances. Sa veuve épousa, en secondes noces, Louis Le Normand, ecuyer, sgr des Naux, mort en 1686, et en troisièmes noces, Brunet, sgr du Guillier voir Quelques notes sur les possesseurs de la terre du Guilliers en Plédéliac, de la Morinais, mort en 1689. Il parut à la Réformation et fut maintenu par arrèt du 10 juillet 1670 M. le Jacobin, rapporteur Georges Mouésan, sgr de la Ville-Irouez, demeurant au bourg de Plédéliac, évêché de St-Brieux, déclaré noble d'extraction sous Rennes ; porte d'azur à la fleur de lys d'argent et trois molettes d'éperon de même, deux en chef et une en pointe. »2° Anne Mouësan, dame du Closneuf, qui épousa 1° François Volance, écuyer, sgr de la Conte, en Maroué, dont postérité ; 2° ? Alain Guisnel, sgr de l'Espine, en Ruca, dont Guillaume G., né à St-Malo, le ler mars 1681, Alain Guisnel épousa en secondes noces, à Châteauneuf, en 1690, Madeleine Paré,3° Françoise Mouësan, dame du Val, de la Ville-ès-Guiheux, qui épousa Ambroise Fournier, écuyer, sgr des Granges, dont elle était veuve en 1691 ;4° Jean V, qui suit ;5° Toussainte Mouësan, qui épousa Bernard Martin, écuyer, et parut, comme sa veuve, en 1723. X° Jean V Mouësan, écuyer, seigneur de la Costière, de la Villirouët. Né au château de la Villirouët, en Plédéliac, le 14 avril 1654, il hérita de son frère ainé, Georges, en 1684. Il parut à la Réformation et fut maintenu par arrêt du 9 août 1670, M. Huart, rapporteur Jean Moisan, fils mineur de feu François, sgr de la Costière et de Renée Biche, demeurant paroisse de Plédéliac, évêché de Saint-Brieuc, déclaré noble d'extraction sous Rennes ; porte d'azur à la fleur de lys d'argent et trois molettes d'éperon de même, deux en chef et une en pointe. » Il épousa, le 16 mai 1679, Anne-Françoise de la Celle fille de Jean-Baptiste, écuyer, de la Mettrie, de Ménitte, et de Catherine-Bertranne .de la Motte, du Saint-Esprit, petite-fille de Pierre de la Celle, sgr de la Sécardais, et de Julienne Léziart. Ils eurent 1° Jacquemine Mouësan, dame de la Martinais, née le 16 mars 1680, elle épousa le 20 octobre 1703, son cousin, Pélasge-François .de Fontlebon, écuyer,sgr de Chef-du-Bois,. de la Lande, du Fay, fils de Jacques, Sgr de la Lande, de la Touche, de Caragat, de Chef-du-Bois et de Françoise du Coudray celle-ci fille de Jean, sgr de l'Espine, et de Anne Bische, de de Chef-du-Bois, qui, elle même, était fille de Gilles Bische, sgr de la Villirouët, et de Marguerité Mochet. Son mari mourut en 1717, laissant quatre enfants. Sa veuve mourut en 1757 ;2° Jean VI Mouësan, écuyer, seigneur de la Villirouët, de la Costière, né en 1682, sous-lieutenant de Grenadiers au Régiment de Carman, en 1709, puis capitaine au Régiment de Lannion par brevet du 10 septembre 1711, démissionnaire en 1715. Il était, en 1709, en garnison à l'île d'Oléron, et en 1713 à Abbeville; ce fut là qu'il épousa, le 18 mai 1713, Marguerite Bruant, veuve de Adrien de Lenclerc ; elle mourut sans postérité le 16 juillet 1714. Il donna alors sa démission et alla demeurer à la Villirouët et à Moncontour. Il épousa en secondes noces, en 1720, Marguerite le Normand, de Lourmel. II acheta des la Motte, le 28 avril 1721, une chapelle avec enfeu prohibitif, située dans l'église paroissiale de Plédéliac, et dite chapelle de Ménitte », placée sous le patronage de St-Fiacre et de de Pitié. Ce fut là qu'il fut inhumé le 23 décembre 1751. Il ne laissait pas de postérité. Sa veuve lui survécut longtemps, et ne mourut qu'en 1793 ;3° Jacques-Louis-Marie, qui suit ;4° François Mouësan, écuyer, seigneur de la Costière, qui mourut avant 1731, ne laissant pas de postérité de son mariage avec dlle Doudart ; 5° Thomasse Mouësan, née à la Villirouët, le 29 août 1693, qui épousa vers 1720, Jacques Volance, écuyer, sgr de la Pénière, dont elle n'eut qu'une fille Anne Volance, de de la Pénière, qui épousa 1° vers 1746, Louis-Toussaint de Launay, écuyer, sgr de la Salle ; 2° en 1753, François de la Planche, écuyer. Elle ne laissa pas de Jacques-Louis-Marie Mouësan, écuyer, seigneur de la Villemorin, de la Villebasse, du Guécot, du Chastelet voir Quelques notes sur la famille de Couespelle et ses possessions en Saint-Trimoël, Landéhen, Saint-Glen, Plestan,Trébry et Saint Rieul, de la Martinais. Né le 9 février 1687, il épousa à St Glen, le 20 janvier 1729, Charlotte-Renée du Chastel, fille aînée de feu François, chevalier, sgr de la Villebasse, de la Martinais, de Frémeur, et de Fleurianne de la Rouës, de du Guécot, du Chastelet. Elle était veuve de Jean-Marie le Paige, écuyer sgr des Aulneaux, qui était mort en Mars 1726, ne laissant qu une fille, Charlotte-Françoise le Paige, qui mourut fille au Guécot le 4 septembre 1790, et dont les Mouësan de la Villirouët héritèrent. Cette alliance en porta de fort illustres aux Mouësan, Charlotte-Renée du Chastel étant petite-fille de Jeanne d'Estuer, dame de la Villebasse, qui descendait directement des Stuart, Maison royale d'Ecosse, dont les d'Estuer portaient les armes. Ce fut également par suite de ce mariage que les Mouësan reçurent les seigneuries on terres nobles de la Villebasse, de la Villemorin, de la Martinais, du Guécot et de Peillac. Jacques Mouësan habita avec sa femme à Collinée et au Guécot où il mourut le 3 septembre 1745 ; il fut inhumé dans l'Église de St-Glen. Sa veuve fut inhumée dans le même enfeu en 1756. Leurs enfants furent 1° Jeanne-Claude Mouësan de la Martinais, née au Guécot, le 7 mars 1730, morte fille en 1778 2° Jean-Augustin, qui suit ;3° Marie-Louise Mouësan de la Villebasse et du Chastelet, née au Guécot en 1735, elle ne se maria pas ; elle fut emprisonnée à Lamballe, avec sa nièce la comtesse de la Villirouët, en 1793 ; elle mourut à Lamballe, le 26 décembre 1814, âgée de quatre-vingts ans. Elle avait servi, pour ainsi dire de mère à son neveu et à ses petits-neveux et petites Jean-Augustin Mouësan, chevalier et comte de la Villirouët, seigneur de Launay-Barthélémy, de Ménitte, de la Villechevalier, du Mené, du Guécot, de Beauregard, du Peillac, de la Guyomarais, de la Villemorin, des Courtus-Gébert, du Baslin, du Crapon, du Grenier, de la Villebrosset. Né au Guécot, le 11 mars 1734 ; à la mort de son oncle, Jean VI Mouësan de la Villirouët, en 1751, il hérita de la seigneurie de la Villirouët, devint chef de nom et d'armes », et porta le titre de comte », qui lui est donnédans son contrat de mariage en 1752, et dans son acte de décès en 1773 ; ce titre est également rappelé dans le contrat de mariage de son fils, en 1787. Il acheta, le 29 novembre 1715, la Guyomarais en Plédéliac, des demoiselles de la Motte. Il habita le château de la Villirouët, où il mourut, n'étant âgé que de quarante ans, le 5 mai 1773, il fut inhumé dans la Il avait épousé, le 4 juillet 1752, Françoise de Fontlebont, de de la Ville chevalier, du Fay, sa cousine, fille de Jean-Baptiste François, écuyer, sgr du Chef-du-Bois,de la Lande, Fall, et de Françoise-Marguerite-Marie de Trémereuc, de de la Villechevalier, de la Villeneuve, de la Villecochard, laquelle avait épousé en secondes noces, en 1740, François Urvoy, chevalier, sgr de Closmadeuc. Elle était petite-fille de Jacquemine Mouësan de la Martinais, et née en Plédéliac le 8 février 1732. Elle porta à son mari la seigneurie de la Villechevalier. La comtesse de la Villirouët, devenue veuve, le 5 mai 1773, continua à habiter avec ses enfants le château de la Villirouët,où elle mourut, le 29 février 1793 ; elle fut inhumée près de son mari dans l'enfeu de la Villirouët, en l'église de Plédéliac. Ses biens et ceux de son mari, estimés rapporter de rentes, furent partagés le 2 Frimaire an III 22 novembre 1794, entre ses deux fils survivants. Ils avaient eu quatre enfants 1° Jean-Baptiste-Mathurin-Marie, qui suit ;2° Françoise Mouësan de la Villirouët, née à la Villirouët, en 1757, elle y mourut fille en 1773 ;3° Victor-Sévère-Joseph-Marie Mouësan de la Villirouët, châtelain de la Villirouët, né à la Villirouët, le 4 mars 1760, -il épousa, au château de Pendenhouët, en Broons voir histoire de Broons, page n° 13, en 1787, Françoise-Emilie Julienne Béchu de Lohéac, née en 1761, fille de Bertrand-Emile Béchu, de Lohéac, conseiller au Parlement, maître des Eaux et Forêt de Bosquen,et de Antoinette Rouault, de de la Vallais et du Moulinroûl. A la mort de Bertrand Béchu, en 1791, ses terres furent partagées entre ses trois enfants survivants le Moulinroûl, en Soudan, évèché de Nantes, échut à son fils, Bertrand-René, grand-père de Madame Regnault de Bouttemont, née Varin de la Brunelière; Lohéac, à son autre fils Jérôme ; Mme de la Villirouët reçut le Bignon et la Renais, en Conquereul, la Noë, en Gaël, et l'Escoublière, en Eréac. A la mort de sa mère, en 1793, Victor de la Villirouët se fit attribuer la seigneurie de la Villirouët, qui jusque là avait toujours appartenu, par préciput et hors-part, à l'aîné de la famille ; il eut également Launay-Barthélémy, le Haut-Ménitte, le Crapon, le Grenier et la Villebresset. Il mourut à la Villirouët en 1805, et sa veuve en 1833. Ils ne laissèrent que deux filles ; A. Marie-Anne Mouësan de la Villirouët, née en 1788, elle épousa, en 1812, Charles-Marie-Jean-Baptiste Le Vicomte de la Villegourio, qui périt dans la retraite de Russie peu après son mariage. Sa veuve mourut à la Villirouët en 1868. Elle n'avait eu qu'une fille Anne-Marie Le Vicomte, née en 1813, qui épousa, en 1834, René-Balthazard de Ricouard, comte d'Hérouville, né à Paris, le 30 mai 1803, fils d'Alexandre, comte d'Hérouvitle, mousquetaire en 1773, officier de cavalerie au Régiment de Brisse, jusqu'en 1791, officier à l'armée des Princes de 1792 à 1794, puis lieutenant-colonel de la division de Hédé à l'armée royale de Bretagne, chevalier de Saint-Louis, et de Marie-Jacquette de la Haye-Saint-Hilaire. Madame d'Hérouville mourut, veuve, en 1875, laissant trois enfants 1° Alexandre de Ricouard, coyyite d'Hér-ouDille, néen 1836, il a épousé, en 1864, Louise d'Auxais, qui est veuve et habite le château de la Vicomte, en Plédéliac, avec ses deux enfants ; Marie, née en 1868, et Louis, né en 1872 ;2° Marie-Caroline de R. d'Iférouville, née en 1839, qui a épousé, vers 1862, Paul-Armand Maufras du Chastellier, avec lequel elle demeure au château de Kernuz Finistère. Ils ont trois enfants a. Pauline ;b. Arrnand. Officier d'infanterie, qui a épousé, el Poitiers, le 20 octobre 1897, Laurence de Marnec Anna, qui a épousé, le 15 février 1897, le baron Pierre de Lacger-Camplong, officier d'infanterie;3° Louise-Anne-Marie de R. d'Hérouville, née en 1843, qui a épousé, en 1866, Amédée Rolland, comte de Rengervé, mort en 1879, dont a. René, né en 1868 ; b. Marie,née en 1873 ; c. Eugène, né en 1876 ;d. Yvon, né en Victoire Mouësan de la Villirouët, née en 1790, elle eut en lot, à la mort de sa mère, en 1833, le manoir de la Villirouët. Elle épousa vers 1806, César de la Noë des Salles, fils de Jules-César Félix, et de Rose-Amélie de Langan voir les villages d'Eréac, page n°6. Il était né en Éréac, en 1767. Sa mère était fille de de Langan, Mis du Bois-Février et de Jeanne-Michelle Larcher, de du Bois-du-Loup, en Augan. César de la Noë mourut en février 1837 ; sa veuve mourut en 1875. Ils laissaient deux fils et une fille 1° César de la Noë des Salles, né en 1807, qui épousa en 1848, Cécile Bouan de la Ville-Éven ; il est mort en 1857 ; sa femme est morte en 1860, laissant César, né en 1855, qui a épousé, en 1879, Marguerite de Petitville, dont Ernest et Marie-Antoinette ;2° Alix de la Noë des Salles, qui a épousé, en 1838, Eugène Rolland de Rengervé, châtelain de la Pommeraye, en Messac, où elle mourut trois mois après son mariage. Son mari épousa, en secondes noces, Mlle du Gaspern, dont il n'eut pas de postérité. La Pommeraye appartient actuellement à ses neveux, fils du Cte Amédée de Rengervé et de Louise d' Auguste de la Noë des Salles, né en 1815, il épousa,en 1842, Amélie Bésuchet, née en 1815, fils d'Aimé et de Emilie Béchu de Lohéac, et morte au château de Basse-Ardenne en St-Maugan, le 20 juin 1897. Son mari était mort en 1855, ne laissant qu'une fille Alice de la Noë des Salles, née en 1843, qui épousa en 1866, Jules, vicomte du Pontavice ; elle mourut en 1868. Son mari hérita, en 1875, du manoir de la Villirouët, où il demeure avec son fils unique Roger, vte du Pontavice, né en 1867, qui a épousé en 1893 Anne Rolland du Noclay, dont a. Alice, née en 1893, b. Jean, né en Charles-François-Jean-Amateur Mouësan dit le Chevalier de la Villirouët», Chevalier de Saint-Jean de Jérusalem, Page de S. A. E. Grand-Maître de l'Ordre, Mgr Emmanuel de Rohan, puis Cadet-Gentilhomme dans le régiment d'Infanterie de Marine du Vicomte de Boisse né au château de la Villirouët le 30 mars 1763, il fournit, le 29 juillet 1779, les preuves de trente deux quartiers de noblesse, dites Preuves rigoureuses », réclamées pour ètre proposé comme Chevalier de Malte, et il fut admis dans l'Ordre par brevet du 18 septembre 1779. Reçu, le 20 avril 1781, comme Cadet-Gentilhomme dans le régiment d'Infanterie de Marine commandé par le Vicomte de Boisse, il périt, noyé, à Angers en 1784. XII° Jean-Baptiste-Mathurin-Marie Mouësan, Comte de la Villirouët, chevalier, chef de nom et d'armes, châtelain et seigneur de la Villirouët, du Guécot, de la Villebasse,de Trébressa, du Baslin, du Châstelet, de la Villechevalier, de la Villemorin, de Beauregard, du Plat, de Maradan, de Quistinic, de Kermadec, de Kervéhel, officier au régiment de Condé-Infanterie, capitaine à l'Armée Royale, chevalier de Saint-Louis et du Lys. Né au château de la Villirouët, il fut baptisé dans l'Église de Plédéliac le 13 novembre 1754 acte ci-dessus. Il fut nommé, le ter mai 1773, lieutenant au régiment provincial de Rennes, puis, le 13 octobre 1776, sous-lieutenant au régiment de Condé-Infanterie. Lors de la Révolution, il émigra, en 1792, à l'Armée des Princes, et fit la campagne des Pays-Bas. Puis, à la dissolution de l'armée des Princes, en 1793, il vint à Jersey, comme capitaine de l'Armée Royale. Rentré en France, en 1797, il se cacha à Nantouillet et à Paris; arrèté le 14 janvier 1799 sous inculpation d'émigration, il fut emprisonné à l'Abbaye ; jugé par une Commission Militaire, le 23 mars 1799, ce fut sa femme qui présenta elle-même sa défense et obtint son acquittement. Il revint alors habiter Nantouillet jusqu'en 1810, époque à laquelle il retourna à Lamballe. Il fut nommé chevalier de l'Ordre du Lys, et chevalier de la Légion d'Honneur, par brevet du 13 juillet 1813. Il mourut à Lamballe, le 12 mars 1845, âgé de 90 ans. Il avait épousé, en l'église Toussaint de Rennes, le 12 juin 1787, Marie-Victoire de Lambilly, née le 27 avril 1767, fille de Pierre-Laurent, marquis de Lambilly, vicomte du Broutay, baron de Kergroix, et de Jacquette-Françoise de la Forest d'Armaillé. Après une existence dont nous avons raconté les douloureux et glorieux épisodes, la comtesse de la Villirouët mourut à Lamballe, le 12 juillet 1813. Elle avait eu trois enfants 1° Charlemagne, qui suit ;2° Victoire-Renée-Gabrielle Mouësan de la Villirouët, née le 7 octobre 1790, elle fut connue, étant petite, sous le surnom de Pouponne ». Elle demeura avec sa mère à Lamballe, puis, pendant la Révolution à Nantouillet jusqu'en 1810; elle revint alors à Lamballe, où elle eut la douleur de perdre sa mère en 1813, et, où elle épousa, le 21 octobre 1816, Henry-Anne-Christophe-Simon, comte de la Haye-Saint-Hilaire, né à la Haye-Saint-Hilaire vers 1769, fils de Louis-François, comte de la Haye-Saint-Hilaire, et de Marie-Thérèze-Elisabeth de Gasté. Peu de temps après leur mariage, le comte et la comtesse de Saint-Hilaire achetèrent le château de Chaudeboeuf, en Saint-Sauveur-des-Landes, où ils se fixèrent. Cette seigneurie, haute-justice et châtellenie. appartint primitivement aux Pinel, qui y paraissent dès le IXe siècle ; elle fut érigée en châtellenie en leur faveur, en 1595 ; des Pinel elle vint aux Porée du Parc, en 1650, puis, par acquêt, aux Saint-Hilaire en 1819. L'enfeu de cette seigneurie était dans l'église de Saint-Sauveur des Landes, où l'on voit encore plusieurs pierres tombales aux armes des Pinel et portant les millésimes de et 1574; près du château était aussi une chapelle privée sous le vocable de Saint-Joseph. Le comte de Saint-Hilaire mourut à Rennes, le 7 avril 1825, sans laisser de postérité. Sa veuve continua d'habiter le château de Chaudeboeuf ; puis elle vécut les dernières années de sa vie à Rennes, où elle mourut, le 28 octobre 1869, âgée de 78 ans. Elle avait, à la mort de son père, en 1845, hérité des terres du Guécot, du Chastelet, et des fermes en Locminé. Par son testament, en date de 1863, elle laissait toutes les propriétés et les valeurs mobilières qui lui venaient de son mari à son neveu, le comte Louis de Saint-Hilaire ; le Chastelet vint à sa soeur Césarine, le Guécot et les fermes en Locminé à son frère Charlemagne. Elle fondait dans son château de Chaudeboeuf un hospice libre de vieillards, sous la direction de neuf religieuses de l'ordre de Rillet,hospice qui abrite aujourd'hui une centaine de malades. Elle fut inhumée dans la chapelle de Césarine-Marie-Mouësan de la Villirouët, née à Lamballe le 10 avril 1792, elle fut connue. étant petite sous le surnom de Mimi ». Elle ne se maria pas et demeura constamment avec son père. A la mort de celui-ci, en 1845, elle hérita de la Villechevalier, de Trébressan, du Baslin ; puis à la mort de sa soeur, en 1869, du Chastelet. Elle demeura à la Villechevalier et à Lamballe. Elle fit bâtir près de cette ville une maison de campagne qu'elle appela l'Hermitage » ; cette maison fut vendue en 1873; et, suivant ses volontés, le produit de cette vente, fut porté par son neveu, Paul de la Villirouët, à Notre Saint-Père le Pape Pie IX. Elle passa à Rennes les dernières années de sa vie ; elle y mourut le 22 octobre 1875, et fut inhumée dans le cimetière de cette ville. XIVe Charlemagne-François-Jean-Baptiste- Marie Mouësan, comte de la Villirouët, châtelain de la Touraille, élève, puis professeur au collège de Juilly, inspecteur des Postes, démissionnaire en 1830. Né à Lamballe, le 24 juin 1789, il demeura dans cette ville jusqu'en 1797, époque à laquelle il rejoignit son père le citoyen Guenier à Nantouillet. Il entra au mois de novembre 1798 comme élève au collège de Juilly, sous la direction des Oratoriens ; de 1809 à 1818, il fut professeur d'histoire, puis de langues et de mathématiques, à ce collège; en 1810, il avait été inscrit comme auditeur au Conseil d'État, mais il n'en remplit pas les fonctions. En 1818, il fut choisi comme secrétaire particulier par M. Le Bouthillier de Rance, alors préfet de Strasbourg. En octobre 1820, il fut nommé contrôleur des Postes à St-Brieuc; et, le 21 février 1823, il fut attaché à l'armée d'Espagne comme inspecteur des Postes. Il fit, à ce titre, toute cette glorieuse campagne qui rétablit sur son trône le roi Ferdinand VII; puis il fut nommé inspecteur des Postes de seconde classe avec 6500f d'appointements. Il occupait ce poste quand survint la Révolution de 1830 ; il n'hésita pas alors à faire tout son devoir, et il donna sa démission, abandonnant à l'âge de quarante ans une position honorable et avantageuse. Il revint en Bretagne, où il habita alternativement, avec sa femme et ses enfants, le château de la Touraille. en Augan, Rennes et Lamballe. Il avait épousé, en l'église Saint-Sauveur de Rennes, le 28 avril 1824, Aglaé-Marie-Auguste Le Doùarain de Lemo, née à Vannes le 6 novembre 1799, fille unique de Jacques-Marie-Joseph le Doùarain, comte le Doùarain de Lemo, ex-page du roi, ex-colonel à l'armée catholique et royale de Bretagne, conseiller général du Morbihan, maire d'Augan, châtelain de Lemo et de la Touraille,chevalier de Saint-Louis,et de feue Aglaé-Sophie-Marie-Victoire Desgrées du Lou. Cette alliance en apporta de fort illustres à la famille Mouësan, les Doùarain descendant de la famille souveraine de Bretagne. Le comte de la Villirouët posséda, par suite d'héritages successifs la Villechevalier, la Villemorin, le Peillac, le Baslin, Trébressan, le Guécot, le Chastelet, dans les Côtes-du-Nord ; l'hôtel Kéranroy à Lamballe, qu'il vendit en 1852 ; Kermadec, Kervéhel et Quistinic, dans le pays de Locminé. La comtesse de la Villirouët reçut également par héritages les châteaux de la Touraille et de Lemo, les fermes des Marchix, de Coduent, du Charbon, de la Villejégu, de la Marre, du Binio, de la Rabine, de la Bossardais, de la Petite-Roche, en Augan et en Campénéac; des Abbayes et de la Renaudaye, en St-Etienne-de-Montluc. La comtesse de la Villirouët mourut à Rennes le 8 décembre 1872. âgée de 73 ans, et elle fut inhumée dans le cimetière d'Augan; son mari mourut également à Rennes le 26 juillet 1874, âgé de 85 ans, et fut inhumé près de sa femme. Nous avons dit ce qu'il fut au point de vue de la science, de la société, de la religion et de la famille. Il laissait trois enfants 1° Maria-Joséphine-Jeanne Mouësan de la Villirouët, née à Rennes, le 27 février 1825. Elle ne se maria pas et se consacra entièrement à ses parents. Elle fut vice-présidente des Filles de Marie » et présidente de la Congrégation des Demoiselles de Rennes. Après une vie, toute de bonnes oeuvres et de vertu, elle mourut à Rennes le 2 décembre 1889, âgée de 65 ans, et laissant une réputation universelle de sainteté ; elle fut inhumée dans le cimetière d' Aglaé-Marie-Victoire-Pauline Mouësan de la Villirouët. Née à Rennes le 6 janvier 1827, elle fut élevée par ses parents qu'elle ne quitta jamais. Elle a épousé en l'église Saint-Sauveur de Rennes, le 28 avril 1852, Edouard-Jean Fournier de Bellevùe. plus tard comte et marquis deBellevùe, né au Domaine, en St-Méloir-des-Ondes, le 5 février 1821, troisième fils de Jean-Jacques-Louis, comte de Bellevue, conseiller général d'Ille-ct-Vilaine et maire de St-Méloir-des-Ondes, mort au château de la Chipaudière en Paramé, le 8 novembre 1869, âgé de 92 ans et de feue Louise-Blaize de Maisonneuve, belle-soeur du fameux corsaire Robert Surcouf. Après leur mariage, Mr et Mme de Bellevue habitèrent avec leurs parents, tantôt le château de la Touraille, tantôt Rennes. A la mort du comte de la Villirouët, en 1874, ils eurent en lot le château de la Touraille, où ils demeurent. Ils ont eu huit enfants, dont quatre seulement vivent encore 1° François-Xavier-Marie-Anne-Joseph Fournier,comte de Bellevüe, capitaine de dragons territoriaux, conseiller général de la Loire-Inférieure, né à la Touraille, le 4 juillet 1854, élève au collège de St Vincent de Rennes, bachelier ès-lettres en 1872, entré avec le no 1 comme cavalier-élève à l'École de cavalerie de Saumur, le 27 septembre 1874, sorti de cette École avec le n° 1, comme maréchal-des-logis au 24e Dragons, le 27 mai 1876 ; nommé sous lieutenant au 25e Dragons, le 5 mai 1881, démissionnaire le 20 juillet 1883, capitaine de cavalerie territoriale au 11e corps en avril 1887, conseiller municipal de Soudan en 1893, conseiller général du canton de Châteaubriant, le 28 juillet 1895 et le 21 juillet 1901. Il a épousé, en l'église Saint-Germain de Rennes, le 19 juin 1883, Gabrielle-Marie-Léopoldine Regnault de Bouttemont, née à Rennes, le 3 mars 1861, fille unique de feu Léopold Regnault de Bouttemont, et de Pauline Varin de la Brunelière. Ils demeurent tantôt au château de la Touraille, tantôt au château du Moulinroûl, en Soudan, tantôt à Rennes ;2° Marie Fournier de Bellevùe, religieuse Augustine Hospitalière à l'hôpital de Rennes, Mère Anne-de-Jésus, née à la Touraille, le 6 janvier 1856, elle est entrée à la communauté des Augustines en 1884 ;3° Jean Fournier de Bellevùe, prêtre, licencié en théologie, directeur au Grand Séminaire de Vannes, né à la Touraille, le 8 avril 1861, ordonné prètre le 26 décembre 1885, professeur de philosophie aux Carmes de Ploërmel en 1886, professeur de dogme au Grand Séminaire de Vannes, depuis 1889 ;4° Claire Fournier de Bellevùe, née le 5 août 1865,à la Touraille, où elle demeure avec ses Paul-Marie-Joseph, qui suit XVe Paul Marie-Joseph Mouësan, comte de la Villirouët, châtelain de Lemo. Né à Rennes, le 27 janvier 1829 ; il a fait ses études au collège de Redon, tenu par les P. Eudistes. Il a épousé 1° a Grazay Mayenne, le 9 octobre 1853, Angèle de Baglion de la Dufferie, née à Aubigné Sarthe, le 4 novembre 1832, fille de Charles, comte de Baglion de la Dufferie et de Euphémie de Sarcé. Elle mourut au château de Grazay Mayenne, le 15 octobre 1852, ne laissant qu'une fille, dont l'article viendra. Il épousa en secondes noces, au château de Castel-Launay, en Touraine, le 12 septembre 1859, Anne-Marie de la Rüe du Can, née à Nantes en 1838, fille de Octave, baron de la Rue du Gant,et de Antoinette Espivent de Perranî, et qui était sa cousine issue de germains, sa grand'mère maternelle étant Anne-Marie Desgrées du Loù. Elle mourut à Rennes le 17 juillet 1865, en donnant le jour à sa seconde fille. En 1867, après la bataille de Mentana, Monsieur Paul de la Villirouët, entraîné par son dévouement au Saint-Siège, partit pour Rome et s'engagea comme zouave pontifical. Il passat six mois dans cette armée d'élite. Après la mort de ses parents, il eut, en lot, en 1874, le château de Lemo, avec les métairies qui l'entourent. En 1876, il fit faire des réparations considérables au vieux château de Lemo, où il vint se fixer avec ses trois filles en 1877. Il a été nommé en 1871, maire de la commune d'Augan ; révoqué en 1880 pour causes politiques, il fut réélu en 1882, et il occupa cette place jusqu'en 1900. Le comte de la Villirouët habite le château de Lemo avec sa fille et son gendre M. et Mme de la Chevasnerie ; en lui s'éteint le nom des Mouësan de la Villiroüet, après plus de six siècles d'existence. De son premier mariage avec Mademoiselle de Baglion de la Dufferie, il n'a eu qu'une fille Angèle-Marie-Thérèse Mouësan de la Villirouët, née au château de Grazay Mayenne, le 9 octobre 1854 ; elle a épousé au château de Lemo, le 6 juillet 1886, son cousin issu de germains, Henry, vicomte de Baglion de la Dufferie, né en 1855, fils de Octave, Comte de Baglion de la Dufferie, châtelain de la Motte-Usson, en Martigné Mayenne, et de Dorothée de Longueval d'Haraucourt. Après leur mariage, le vicomte et la vicomtesse de Baglion allèrent habiter leur château de Grazay, où il demeurent avec leurs enfants 1° Thérèse de Baglion de la Dufferie, née au château de Lemo, le 28 avril 1888 ;2° Madeleine de Baglion, née au château de la Cour de Grazay, le 2 octobre 1890 ;3° Henry de Baglion, né le 15 octobre 1891. Le comte de la Villirouët a eu, de son second mariage avec mademoiselle de la Riie du Can, deux. Filles 1° Anne-Marie Mouësan de la Villirouët, née au château de la Touraille, le 20 septembre 1861 ; elle a épousé au château de Lemo, le 10 janvier 1895, Pierre Libault de la Chevasneriet, né au château de Kerdavy, en Herbignac, le 12 avril 1863, fils de feu Arthur, chevalier de Saint-Ferdinand d'Espagne, et de demoiselle Adèle de Chomart de Kerdavy, celle-ci fille de Gustave de Chomart, et deEmilie de Tréméac. Ils demeurent au château de Lemo avec leur fille Marie- Thérèse, née à Augan, le 10 juin Jeanne Mouësan de la Villirouët, née à Rennes, le 6 juillet 1865, elle est morte célibataire au château de Grazay, le 4 Mai 1894, et est inhumée dans le cimetière d'Augan Entrela fête du travail, le 8 mai et l’Ascension, le mois de mai nous gâte en jours fériés.Tant d’occasions de partir quelques jours pour reprendre de l’énergie avant les vacances d
Autre chemin faisant écho au chemin de Compostelle, celui-ci relie l’Europe de l’Est à l’Europe de l’Ouest de la Hongrie à Tours en passant par la Slovénie, l’Italie et la France sur 2500 km. Né à Szombathely, Saint Martin est mort à Candes-Saint-Martin en 397, près de l’Abbaye de Fontevraud ; son tombeau est déposé à Tours, dans la crypte de la basilique qui porte son nom. La Via sancti Martini développe plusieurs itinéraires qui s’organisent autour de 4 grands chemins empruntés par saint Martin pendant sa vie et éventuellement prolongés pour tenir compte de lieux martiniens particulièrement importants comme par exemple Utrecht avec sa cathédrale Saint Martin. Ils sont centrés sur Tours, lieu du tombeau de saint Martin. La Via sancti Martini est labellisée Itinéraire Culturel Européen du Conseil de l´Europe ICE. Son développement est porté en France par le Centre Culturel Européen Saint-Martin de Tours. Dans les Pays de la Loire, l´Association Loire Chemins de Saint-Martin s´est créée pour faire connaître les itinéraires qui rejoignent cette voie à Tours. En savoir plus. LES QUATRE GRANDS CHEMINS Le chemin de SzombathelyC’est le chemin que saint Martin a parcouru pour aller voir ses parents dans sa ville natale de Szombathely, en Hongrie traverse la France jusqu’au Col du Petit Saint Bernard, puis le nord de l’Italie, la Slovénie et l’ouest de la Hongrie. Une boucle passe en Visorando Le chemin de TrêvesC’est le chemin que saint Martin, devenu évêque de Tours, a parcouru pour aller à plusieurs reprises voir l’empereur à Trêves, aujourd’hui en Allemagne. Il passe par Chartres, Paris, Reims et le Visorando Le chemin d’UtrechtC’est le chemin qui permet de relier Tours à la ville d’Amiens, lieu de la célèbre scène du partage du manteau. Jusqu’à Paris, il emprunte le même parcours que celui de Trêves. Après Amiens, il part vers la Belgique et les Pays-Bas pour relier plusieurs grandes villes au patrimoine martinien Visorando Le chemin de SaragosseC’est le chemin qui part vers Bordeaux et Saragosse où saint Martin serait allé pour des réunions d’évêques. En partant de Tours, il prend le chemin de l’évêque jusqu’à Ligugé. Puis il passe par Cognac, Bordeaux et Pau, avant de traverser les Pyrénées au Col de la Pierre Saint VisorandoTronçon entre Cognac et Ligugé Lien Visorando LES ITINERAIRES EN PAYS DE LA LOIRE D’autres itinéraires se développent en Pays de la Loire pour rejoindre Tours et ces grands chemins. Nantes – Candes-Saint-MartinCe chemin part de Nantes au Passage Sainte Croix, site d’un ancien prieuré de Marmoutier, abbaye fondée par saint Martin près de Tours. Il suit en général le GR3, avec quelques variantes pour valoriser le patrimoine martinien. Ce chemin passe par Angers et Saumur et relie plus d’une quarantaine de lieux de patrimoine ayant un lien avec saint Martin. A Candes, prendre le lien du chemin de l’Eté de la saint Martin pour aller jusqu’à Visorando Mayenne – Le Mans – ToursCe chemin part de l’église et du quartier Saint-Martin de la ville de Mayenne et passe par une série de lieux de patrimoine martinien. En Sarthe, il passe par le Prieuré de Vivoin, ancien prieuré de Marmoutier et Le Visorando Sablé-sur Sarthe/Solesmes – ToursCe chemin part de l’Abbaye Saint-Pierre de Solesmes et passe par plusieurs lieux martiniens des vallées de la Sarthe et du Loir. Abbaye mère de celle de Ligugé, Solesmes est ainsi relié symboliquement à sa fille, puisqu’à partir de Tours, il est possible de rejoindre Ligugé par le chemin de l’ Visorando LA GRANDE BOUCLE DE 500 KM En Touraine Poitou, une boucle de 500 km relie 3 sites majeurs du patrimoine martinien Ligugé où saint Martin a créé la première abbaye d’Occident en 361, Tours où il a été évêque à partir de 371 et Candes-Saint-Martin où il est mort en 397. Cette boucle délimite un territoire appelé Terres de saint Martin ».Trois chemins forment cette grande boucle Le chemin de l’évêque de ToursC’est le chemin que saint Martin a parcouru pour rejoindre Tours où il est appelé par les Tourangeaux à devenir leur évêque en 371. Martin part alors de Ligugé, abbaye qu’il a fondée en Visorando Le chemin de l’Eté de la saint MartinC’est le chemin que saint Martin a fait à la fin de sa vie pour aller à Candes-Saint-Martin, une paroisse qu’il a fondée à la limite de son diocèse avec l’Anjou. Arrivé à Candes, il va y mourir le 8 novembre 397. Les tourangeaux ramènent son corps à Tours par la Loire. La légende raconte qu’au passage de son corps, les arbres fleurissent sur les berges c’est le fameux Eté de la saint Martin ».Lien Visorando Le chemin de LigugéPour fermer » la grande boucle, ce chemin relie Candes-Saint-Martin à Ligugé. Il passe notamment par Fontevrault-l’Abbaye, Loudun et Visorando AILLEURS EN FRANCE Dans les Hautes-AlpesUne boucle de 330 km a été créée pour relier les lieux de patrimoine martinien du département. Elle sera reliée au grand chemin de Szombathely par la vallé de l’ Villar-d’Arêne à Aspres-sur-BuechLien VisorandoDe Poligny à Le-Sauze-du-LacLien Visorando
Lettres Deuxième successeur de dom Guéranger à la tête de l' abbaye de Solesmes, dom Paul Delatte (1848-1937) a marqué de façon profonde et durable l'histoire de ce monastère. Par son enseignement très sûr et sa ferme autorité, il a favorisé et développé dans sa communauté et dans congrégation un idéal monastique authentique et
Biographie de Nicole Hémard Elle est née le 19 octobre 1936 à Eaubonne Val d’Oise. Son père, Jean-Etienne HÉMARD, après des études à l’Institut Van der Keylen à Bruxelles, installa son atelier à Eaubonne et il travailla alors comme décorateur aux studios de cinéma ÉCLAIR. Sa mère, Fernande JOURDAIN, était pianiste. Après son Brevet Supérieur en 1925, fut très attirée par les Lettres. Nicole est la cadette d’une fratrie de 5 filles. Elle baigne donc dès l’enfance dans le milieu artistique. A 3 ans, en 1939, son père est mobilisé, mais, suite à la naissance de jumelles à son foyer, il est démobilisé car père alors de 4 enfants. La fermeture des studios de cinéma, du fait de la guerre, vont venir chambouler la vie familiale. En janvier 1940, suite aux bombardements, il faut évacuer la région parisienne c’est l’exode vers le mont Saint-Michel. Un camion allemand envoie leur voiture dans un fossé, et un attelage de deux puissants boeufs sous leur joug permet de l’en sortir. Commence une période d’errance qui amène la famille à Brive. Puis en 1942 à la Baule puis à Saint-Nazaire. Lors des bombardements de Nantes, la maison est touchée. La famille sort miraculeusement indemne des décombres. Ces premiers souvenirs d’enfance confrontée à la mort marquent de façon indélébile la petite Nicole, en lui donnant une hypersensibilité à la fragilité de la vie et une insondable confiance en la Providence ! Après la libération, la famille HÉMARD arrive à Berck-sur-Mer en 1946, puis en 1947 à Wimereux, rue Saint Maurice. Le père, en possession d’une carte de réfugié, travaille alors comme chef de centre de l’entreprise parisienne à la reconstruction du port de Boulogne. Il faut subvenir aux besoin de la famille en ces temps difficiles… Dès 1947, la petite Nicole s’engage dans le scoutisme, fortement marquée par le climat familial Elle aime évoquer un gène chrétien » transmis par son grand-père paternel, adorateur perpétuel du Sacré-Cœur de Montmartre ! Très tôt, entraînée par la tradition familiale, elle entend l’appel de la création artistique, mais cette passion est tempérée par la volonté parentale. Aussi mène-t-elle de front des études de Lettres classiques et des cours à l’école de Beaux-Arts de Boulogne-sur-Mer, où elle est élève d’Augustin DEMIZÈLE et de Maurice BARBEZAT, tous deux directeurs de l’établissement. Elle se passionne pour la géométrie et le dessin. En plus elle apprend à jouer du violon sur le violon paternel !. Les ressources familiales ne permettant pas de subvenir aux frais de scolarité dans l’Enseignement privé, sur les conseils de Monseigneur LEVE, supérieur de la Providence, Nicole entre au Collège ANGELLIER à Boulogne-sur-mer, pour suivre des études de Lettres classiques. En 1949, un camp de Guides dans les Pyrénées-Orientales lui fait découvrir la pureté de l’Art Roman. En 1950, un camp itinérant vers Rome lui permet la découverte de la statuaire antique. En 1952, le Henry DELPIERRE est nommé curé de Wimereux. Il arrive dans une paroisse où suite aux dégâts liés à la guerre tout est reconstruire M. MERLIN, architecte-adjoint à Boulogne-sur-Mer est chargé de la reconstruction de l’église dommages de guerre. Le Delpierre, ancien moine bénédictin de Wisques dépendant de l’Abbaye de Solemnes, fait partie de la NEF », groupement d’Artistes Chrétiens rassemblés autour de DOM BELLOT. Il entreprend de réaménager l’espace liturgique de son église. Il fait appel à Claude GRUER sculpteur à Solemnes, Henry LHOTELLIER secrétaire de la NEF », Maurice ROCHER ayant effectué une retraite à Solemnes, et Jean LAMBERT-RUCKI. Pendant ce temps, entre 1954 et 1955, elle participe aux Routes Internationales de la Paix en Allemagne et en Autriche, jusqu’à Vienne. L’occasion d’une immersion dans la sculpture baroque. En 1955, Nicole obtient son Baccalauréat de Philosophie, elle est alors recrutée comme Enseignante de Lettre classiques 6°, 5°, 4° à l’Institut Privé Nazareth, avec, en contrepartie, l’engagement de poursuivre ses études de Lettres Classiques à la Catho, à Lille, en vue d’obtenir le Propédeutique ». Elle habite alors rue Saint Maurice menant de front enseignement et activité artistiques. En 1957, Nicole rencontre Claude GRUER, sculpteur, qui vient poser le chemin de croix de l’église paroissiale de Wimereux. Ses goûts créatifs se précisant, elle voit en cet artiste un mode d’expression qui lui correspond et elle décide de prendre une année sabbatique pour parfaire sa formation artistique et suivre les cours de Claude GRUER dans son atelier dans la Sarthe, à Solesmes. Elle y découvre les techniques de sculptures en terre cuite terre réfractaire. Sa première oeuvre une statue de Saint Jacques. En 1958, elle revient à Wimereux, où elle reprend enseignement, études et activité artistique. Tandis qu’elle enseigne les lettres classiques, elle occupe ses loisirs à modeler la terre, sculpter le bois et la pierre. Elle retrouve le Père DELPIERRE, cet ancien moine-sculpteur, trop occupé par sa paroisse pour avoir le temps de pratiquer ses activités artistiques. Il retrouve en elle une main créatrice » dans l’esprit de sa conception de l’art. Il faut bien des petites mains », dit-elle humblement. C’est lui qui va initier Nicole à l’Art Sacré. Elle créera alors un magnifique baiser de paix » ou osculatoire en ivoire massif, cintré, pour la liturgie de l’église de Wimereux. Le 8 décembre 1958, fête de l’Immaculée Conception, elle est consacrée Oblate Bénédictine de l’Abbaye de Saint-Paul de Wisques, sous l’abbatiat de DOM AUGUSTIN SAVATON. En 1966, elle abandonne ses études pour se consacrer totalement à l’Art Sacré. Elle établit son atelier dans un jardin rue Pierre-Ange Romain, puis déménage pour la rue Saint Armand atelier en bas et appartement à l’étage. Elle travaille beaucoup dans les communautés religieuses et les églises, notamment celle de Wimereux auprès du Père Delpierre, pour adapter l’espace liturgiques à l’esprit de Vatican II. Autres cordes à son arc » la décoration des cierges pascals, tâche qu’elle assure pendant de nombreuses années, et la musique, avec la direction de la chorale paroissiale de Wimereux. Ne possédant pas de four assez grand pour la cuisson de ses œuvres, elle passe un accord avec les Poteries de Colembert », mais celles-ci font faillite en 1978. Dès lors elle transfère son atelier à INXENT, dans la vallée de la Course, où elle fait l’acquisition d’un grand four » électrique lui permettant la cuisson de ses œuvres. C’est dans cet atelier qu’elle réalisera sa grande oeuvre » le Chemin de Résurrection de Sainte Catherine-lès-Arras. En 1981, le DELPIERRE quitte Wimereux pour se retirer dans l’ermitage Subiaco qu’il a fait construire à Inxent. Cliquer sur l’icône ci-dessous pour ouvrir l’article consacré à Subiaco Depuis le 7 octobre 2001, suite au décès du DELPIERRE, elle assure en ermite la pérennité du quasi-prieuré de Subiaco, où elle vit retirée, humblement, loin des projecteurs. Mais, comme aimait à le répéter le Delpierre un jour les pierres parleront ! » Luc Je vous le dis, s’ils se taisent, les pierres crieront ! » Et maintenant, les pierres parlent ! Car entre ses mains, les pierres ont été chargées d’un message celui que sa foi et son art lui ont permis de transmettre, pour crier la Bonne Nouvelle à la face du monde. Or ses œuvres sont disséminées maintenant sur différents continents. Un Christ Ressuscité est même exposé dans un musée scandinave après avoir quitté un couvent désaffecté de bénédictines ! Et maintenant, le monde voit ses œuvres de pierre 5 tonnes de pierre et de terre sont passées entre ses mains en près de 60 ans !, et le monde entend son message qui fait écho direct à sa quête contemporaine de sens et d’esthétique. Des chercheur en art se posent maintenant des questions mais qui a donc bien pu sculpter ces œuvres si caractéristiques ? » Monseigneur Barbarin commente son oeuvre. Des amateurs d’art sacré viennent l’interroger, en suivant les petits cailloux » qu’elle a semé derrière elle. Les projecteurs se tournent actuellement vers elle, l’obligeant à sortir quelque peu de l’ombre. Ainsi, retirée dans son ermitage, loin du monde, elle n’a jamais été aussi présente dans le monde, par sa prière, et par son Art ! Nicole Hémard est décédée le 7 mars 2018 à 81 ans des suites d’un AVC. ci-dessous, photo de ses funérailles le 14 mars 2018 en l’église d’INXENT Pour voir une biographie des deux personnes qui ont beaucoup compté dans son activité artistique, cliquer sur les vignettes suivantes. Semaineinternationale des Archives 2022. Le Printemps des rillettes ! La guerre franco-prussienne en Sarthe (1870-1871) La guerre franco-prussienne en Sarthe (1870-1871) Ressources numériques autour de la guerre de 1870-1871 en Sarthe. Article du journal La Sarthe, 16 juillet 1870. Lettre d'un soldat breton de passage au Mans, 6 septembre 1870. Le Mans – Le programme d’animations pour l’été 10 juin 2022 Grand Ouest, SartheC’est les vacances d’été ! Nous vous proposons de venir en famille ou avec vos amis pour expérimenter, apprendre et manipuler tout en s’amusant au cours de ces vacances ! La Science en bas de chez toi Comme chaque année, nos animateurs-rices... onrecrute un animateur-trice médiateur-trice scientifique en CDD à Le Mans/Laval 10 juin 2022 Mayenne, Offre d'emploi, Sarthe– Offre d’emploi – L’association des petits débrouillards Grand Ouest » recrute, pour son antenne Sarthe / Mayenne 1 CDD à temps partiel d’animateur-trice médiateur-trice scientifique Télécharger l’offre Le mouvement associatif des petits... Le Mans – Retour sur le Passeport Développement Durable 2022 10 mai 2022 Grand Ouest, SartheDe mars à mai, l’équipe des Petits Débrouillards du Mans a proposé dans les écoles primaires et les écoles maternelles d’Alençon des animations autour du développement durable. Au programme découvrir les différents types d’énergies ; énergie... Le Mans – Retour sur le village des sciences 2021 14 octobre 2021 Grand Ouest, SartheCe week-end du 9 et 10 octobre notre équipe est intervenue à l’Abbaye de l’Epau au Village des sciences dans le cadre de la Fête de la science. Nous avons proposé des animations sur le thème de la paléontologie et de l’archéologie en voyageant à... Nuit Européenne des – Antenne Sarthe 11 octobre 2021 Grand Ouest, SartheLe vendredi 24 septembre, Les Petits Débrouillards ont participé à la 12è édition mancelle de la Nuit Européenne des Initiée par la commission européenne et coordonnée par Le Mans Université, cet évènement s’est déroulé dans plus de 300 villes... [Le Mans] Guide des activités 21 septembre 2021 Grand Ouest, Mayenne, Sarthe C’est la rentrée et voici notre guide d’activité de ce début d’année scolaire. On a préparé une multitude d’actions et d’activités pour cette rentrée. Des formulaires d’inscription seront ouverts au fur et à mesure. On a déjà ouvert les... 2 septembre 2021 Grand Ouest, Mayenne, Sarthe Ces actions n’auraient pu être mené sans l’aide de nos partenaires suivants Antenne Le... Le Mans, Sarthe/Mayenne. Que faisons-nous cet été ? 24 juin 2021 Grand Ouest, Mayenne, SartheVous vous demandez où et quand nous retrouver cet été ? Les SCIENCES EN BAS DE CHEZ TOI SBCT Qui dit été, dit sciences en bas de chez toi. On sera présent cet été tous les après-midis dans la majorité des quartiers de la ville du Mans et son agglomération. Pendant... REPORTE – Formation d’animateurs•trices à Laval – Juin 2021 ! 9 juin 2021 Grand Ouest, Mayenne, Sarthe——– Reporté dates à venir —— Tu as envie de défendre les valeurs des Petits débrouillards ? De participer au développement de l’esprit critique, à la réalisation de projets scientifiques avec tous les publics ? Rejoins...
Lensemble des Conseillers départementaux était réunis à l'Abbaye Royale de l'Epau le vendredi 19 octobre dans le cadre de la Décision Modificative n°1, séance plénière consacrée aux ajustements et modifications budgétaires relatives aux prévisions faites lors du Budget Primitif.
L'abbaye bénédictine de Marmoutier a été fondée en 372 par saint Martin. Au IXe siècle, elle fut ravagée par les Normands. Sa restauration débuta en 860. Le portail de la Crosse XIIIe siècle présente une porte en arc brisé à cinq voussures surmontée d'une galerie de défense. La tour des cloches 1070 est l'un des édifices qui échappa à la démolition du XIXe siècle. Ce clocher était surmonté d'une flèche de pierre XIIe siècle qui s'effondra en 1591. Cette flèche fut reconstruite en 1608 et, enfin, détruite par la foudre au XVIIIe siècle. Son enceinte rectangulaire du XIVe siècle a conservé quelques tours circulaires. Ce dessin représente l'abbaye de Marmoutier au XVIIe siècle. Sur le plateau dominant Marmoutier, dans la rue des Vignes, cette tour, appelée la tour du Hibou, a été construite entre 1330 et 1350 par Simon Le May. Mesurant environ 10 mètres de haut et 4,60 mètres de diamètre, elle représentait l'extrémité Nord-Ouest de l'enceinte entourant le lieu appelé Rougemont où se trouvaient le logis abbatial et les vignes de l'abbaye. Un arrêté du 29 septembre 1793 autorisa l'installation d'un télégraphe Chappe à son sommet. Elle fut momentanément appelée la tour du Télégraphe. L'église Saint-Symphorien, construite au XIIe siècle carré du transept et abside à trois pans, a été agrandie au XVe siècle nef de quatre travées et collatéraux et restaurée en 1869 et 1980. L'église primitive de 549 fut détruite en 858, reconstruite, elle a été encore ravagée en 903. Son portail Renaissance a été réalisé entre 1526 et 1531. Il comprend deux portes en bois possédant des panneaux sculptés qui représentent, à gauche, le martyre de saint Symphorien photo du haut et, à droite, saint Jérôme dans sa grotte, accompagné de son lion photo du bas. Son entourage est aussi sculpté dans la pierre. L'orgue de tribune de cette église a été commandé en 1885 au facteur Nantais Louis Debierre. L'ancien instrument, œuvre de Joseph Lapeyrère et Louis Bonn, avait été détruit par un incendie. Ce vitrail est signé par L. Lobin Tours, 1869. Deux autres verrières sont des réalisations de Florence 1902. Dans la rue Saint-Gatien, l'église Sainte-Radegonde, semi-troglodytique, bâtie au XIIe siècle chœur, abside, clocher, fut agrandie au XVIe siècle nef et restaurée au XIXe. Cette église a remplacé la chapelle Saint-Ouen Xe siècle. De l'édifice du XIIe siècle, il ne subsiste que le chœur voûté d'un berceau en plein cintre et l'abside semi-circulaire voûtée en cul-de-four. Quatre fenêtres les éclairent dont deux refaites. A l'extérieur, la corniche est ornée d'un damier et soutenue par une ligne de modillons sculptés. Au Nord du chœur, se trouve une chapelle souterraine. La nef a été refaite au XVIe siècle et restaurée au XIXe et couverte, alors, par deux travées de voûtes de brique. Le clocher est une tour carrée, épaulée par des contreforts plats. L'étage du beffroi, ouvert, à l'Est et à l'Ouest, par des fenêtres géminées en arc légèrement brisé, est couvert par un toit en bâtière. La partie troglodytique IIIe siècle de cette église est constituée par une grotte dans laquelle vivait et officiait saint Gatien, le premier évêque de Tours. Un bénitier en marbre blanc, de 1522, provient de l'abbaye de Marmoutier. Au 26 rue Saint-Gatien, deux plaques sculptées XVIe siècle, représentant des salamandres, se trouvent sur la façade de la même construction. Il s'agit de la salamandre héraldique, avec une langue et une queue terminées par un dard, posée sur des tisons. François Ier avait pris la salamandre comme emblème de ses ardeurs amoureuses avec la devise Nutrisco et extingo je l'entretiens et je l'éteins qui devait figurée, mais devenue illisible, sur ces plaques. La Grande-Bretèche abrite la communauté des sœurs dominicaines de la Présentation de Tours. La chapelle a été bâtie de 1853 à 1856. L'ancien Grand Séminaire renferme une communauté de pères capucins. Sa chapelle est visible depuis le rue Losserand. Avenue André-Maginot, l'église du Christ-Roi a été construite de 1926 pose de la première pierre le 18 avril à 1934 bénédiction et inauguration le 28 octobre selon les plans des architectes Motte-Poëlle et style jésuite, son ossature est en béton armé selon le système François Hennebique, poteau-poutre-plancher, qui permet de libérer beaucoup d'espace. Le béton est masqué par des moellons et des pierres de taille, sauf sur les deux fins clochers. Cette église possède un orgue. Proche de l'église du Christ-Roi, rue Pinguet-Guindon, le manoir privé de Pilorget a été construit en 1768 par Pierre Meusnier, architecte de l'hôtel Lefebvre de Montifray et du palais du commerce. Le rez-de-chaussée et l'étage présentent quatre fenêtres symétriques auxquelles correspondent quatre lucarnes. L'entrée centrale est surmontée d'un fronton triangulaire percé d'un oculus. A l'intérieur, on remarque un escalier avec des boiseries et une rampe en fer forgé. Des boiseries classées décorent le salon et la salle à manger. En 1781, ce manoir appartenait à Pierre Thenon, procureur au bailliage de Tours. Au XXe siècle, il devenait la propriété de la famille Motte qui a donné le terrain pour la construction de l'église. Au 8 rue de la Pierre, un couvent de Capucins a été créé en 1899. Transformé en hôpital pour aveugles de guerre lors de la Première Guerre mondiale, le couvent fut a nouveau occupé par les Capucins en 1925. La chapelle, achevée en 1931, est l’œuvre des architectes Auguste et Gustave Perret. Le couvent a été abandonné et vendu en chapelle présente de fins piliers cannelés et une voûte surbaissée en béton. Un lanterneau laisse passer une lumière bleutée dans la nef. Le chœur possède une peinture de Suzanne Masse vers 1950 représentant un miracle de saint François. La chapelle Notre-Dame de l'Europe primitivement appelée la chapelle du Mortier, rue du Maine, a été bâtie en 1972-1973. La première messe s'est déroulée le 29 avril au 53-57 rue de la Chapelle, la chapelle Saint-Martin a été inaugurée le 26 novembre 2017. Ses plans ont été dessinés par l'architecte Jean-Marie Duthilleul. La chapelle et la sacristie ont une surface de 200 m². La nef unique, en forme de mandorle, est surmontée par une charpente en bois couverte par des bardeaux en châtaigner de la Sarthe. Le clocher, de 20 mètres de haut, abrite trois cloches nommées Marie-François 68 kg, Martin-Bruno 98 kg et Barthélémy-Pierre-Xavier 141 kg. En face de cette chapelle, un logis privé à haut pignon XVIIe siècle, appelé le Clos Saint-Libert était, jadis, nommé le Clos Ribert. La construction joignant le logis à la tour carrée est récente. Au 64 rue Losserand, l'Hôtellerie Saint-Catherine date du XVe siècle. Son poteau cornier droit porte une statuette en bois représentant sainte Catherine d'Alexandrie protégée par un dais et appuyée sur la roue de son supplice. A l'arrière de l'auberge, rue Rochemardon, la façade de cette auberge présente des galeries en charpente superposées et une tourelle d'escalier. Aux 61-63 rue Losserand, cette maison à colombage a été édifiée au XVe siècle. Un peu plus loin à gauche de la photo, au n° 65, un logis semble être de la même époque ou du XVIe siècle. Au 2 rue du Cheval-Blanc, on remarque un logis du XVe siècle. Au 20 rue du Nouveau-Calvaire, cette maison en pierre à pans de bois et brique date du XVe siècle. Au 10 rue du Vieux-Calvaire, cette maison du XVIe siècle, en partie modernisée, présente un étage en encorbellement construit en colombage. Au 42 rue du Vieux-Calvaire, l'ancien couvent des Calvairiennes a été bâti au XVIIe siècle. Le 23 août 1635, par lettres patentes, ces religieuses furent autorisées à s'établir à Saint-Symphorien. Des bâtiments conventuels, il reste un logis principal élevé d'un étage et d'un comble avec lucarnes surmontées d'un fronton. Une aile en retour d'équerre se trouve à gauche de la cour. Au 8 rue du Pas-Notre-Dame, l'auberge de l'Oye XVIIe siècle servait aussi de relais de poste situé sur l'ancienne route de Normandie. Sa façade présente une sculpture représentant une oie. Au XVIIIe siècle, il y existait une chapelle domestique. Située entre le pont Wilson ou pont de pierre et l'avenue de La Tranchée, la place Choiseul propose encore quatre pavillons de l'octroi du XVIIIe siècle. Au 35 du quai Paul Bert, la Manufacture de Tissage des Trois Tours établissement Georges Le Manach était l'un des rares vestiges des soieries de Tours. Elle fut fondée en 1829 dans un ancien relais de poste du XVIIIe siècle. L'industrie de la soie tourangelle a été créée en 1470 sous l'impulsion de Louis XI et connue son apogée au XVIe siècle. Le château de La Croix-Montoire a été construit au XIXe siècle, selon les plans de l'architecte Jacquemin, pour la famille Petit de Vauzelles. Le paysagiste Eugène Bühler avait dessiné le parc. Il a remplacé une ancienne closerie. Cet édifice a été transformé en sanatorium en 1923. Au 45 avenue de la Tranchée, le château de Bellevue XIXe siècle a aussi remplacé une ancienne château de Beauséjour fin du XVIIe siècle est composé d'un corps de logis principal situé entre deux pavillons, aux angles à chaînages à refends. Les murs de l'étage sont en pierres de taille sur un rez-de-chaussée en moellons. Les ouvertures, à encadrements en pierre, sont disposées symétriquement avec des linteaux légèrement incurvés et des huisseries à petits carreaux. Des garde-corps en fer forgé remplacent les allèges à l'étage. Les toits d'ardoise à faible pente sont à deux égouts sur la partie centrale, à quatre versants sur les ailes. Ils couvrent un grenier perdu, sans aucune lucarne, où l'on peut accéder par une trappe. Sous une fenêtre du pavillon Est, une porte donne accès à une cave voûtée, presque carrée, d'environ 4 mètres de côté. A l'est de cet édifice une première construction a été ajoutée vers 1890, avec comble à lucarnes de pierre à fronton triangulaire. Une seconde est venue s'y accoler vers 1920 avec pignon aigu dominant l'ensemble. La chapelle est un petit bâtiment rectangulaire sous une toiture à quatre pans. La porte s'ouvre dans le mur Sud, totalement surmonté par un fronton triangulaire. La voûte en plâtre forme un tronc de pyramide reposant sur une corniche moulurée. La paroi Nord est occupée par un retable avec deux pilastres dorique soutenant un tympan triangulaire. Il y avait deux fenêtres latérales mais celle de l'Est a été murée. Au 71 rue de la Presle, Le Grand-Vaudour a été construit au XVIIe siècle sur des terres appartenant, jadis, à l'abbaye de Marmoutier. A la fin du XIXe siècle, un industriel, M. Besson, reprend en main cette exploitation agricole et modifie les bâtiments. Au 128 rue de la Presle, cette demeure privée, la Closerie La Mare, date des XVIIe et XVIIIe siècles. Elle est construite en pierre et en colombage. Au 46 rue Maurice-de-Tastes, la façade du Vieux-Logis XVIIIe siècle présente, au rez-de-chaussée, une entrée entourée par deux fenêtres et, à l'étage, trois fenêtres. Ses combles sont éclairés par deux lucarnes à fronton encadrant un œil-de-bœuf. A l'origine, cette demeure devait être, sans doute, la closerie du fief de Montsoudun. Au 49 rue Maurice-de-Tastes, le château privé du Grand-Montsoudun a été bâti sur un oppidum romain au XVIIIe siècle vers 1715 puis modifié au XIXe siècle. Il a eu plusieurs propriétaires parmi lesquels François Rolland et Émile Pilain constructeurs de voitures puis, en 1923, le comte Guth de Gerlicz qui avaient de nombreuses connaissances parmi les artistes du spectacle. Le manoir de Sapaillé est composé de deux bâtiments. Le logis à gauche a été reconstruit au XVe siècle sur des fondations du XIIIe siècle. Il possède une charpente en carène de navire. La grange à droite renferme une charpente du XVIe siècle. Sapaillé était un fief relevant de Tours. En 1020, il a été donné à l'abbaye de Marmoutier par Geoffroy de Châteaudun.. Place du Président-Coty, le monument aux morts de Saint-Symphorien commune rattachée à Tours en 1964 a été sculpté par François Sicard. Jadis, cet ouvrage se trouvait sur la place de la Tranchée, il a été déplacé en 1965. Le cimetière Lasalle le plus vaste de Tours, ouvert en 1856, renferme des sépultures remarquables comme celle de l'architecte Victor Laloux 1850-1937. Conçue par Laloux lui-même, elle a été sculptée par Henri Varenne. La tombe de l'aviateur Victor Lasalle, mort à Bir-Al-Amar, en Libye, le 15 décembre 1929, a été réalisée par Georges Delpérier. Cette tombe est celle du cheminot François Boileau décédé lors d'un accident de chemins de fer à Dissay-sous-Courcillon, dans la Sarthe, le 30 mars 1878. La locomotive PO730 qu'il conduisait fut précipitée, avec les wagons du convoi, dans le Loir en crue suite à la destruction d'une arche d'un pont. C'est cet accident que le sculpteur Coussin a représenté. La grange dîmeresse XVe siècle du Colombier, dit aussi Le Grand-Colombier, possède, à l'ouest, une porte qui s'ouvre sous un pigeonnier à colombage. A côté, se trouve un autre pigeonnier, carré celui-là. Un pigeonnier carré est présent à Tours Nord, dans la rue du Maine. Près de la place du Président-Coty, le petit et sympathique jardin Colbert-La Source procure un moment de quiétude à l'ombre de ses arbres et arbustes. Dans la rue de la Source, on peut découvrir cet ancien puits. A voir Le manoir des Rochettes début du XVIIIe siècle.Le manoir de Colombier ou Grand-Colombier date de la fin du XVIIIe siècle. Lieux-dits Beauregard, Beau-Séjour, Beau-Site, Beau-Verger, Belmont, Carcassonne, Châtenay, Chausson, Clos-Saint-Libert, Europe, Île-Aucard, La Chambrerie, La Chevalerie, La Croix-Montoire, La Croix-Pasquier, La Grande-Bretèche, La Grande-Île-Aucard, La Mare, La Martinière, La Milletière, La Petite-Arche, La Plauderie, La Presle, La Tranchée, Le Champ-Chardon, Le Colombier, Le Grand-Montsoudun, Le Grand-Vaudour, Le Mai-Fleuri, Le Mortier, Le Pas-Notre-Dame, Le Petit-Châtenay, Le Petit-Montsoudun, Les Bordiers, Les Douets, Les Rochettes, Les Tourettes, Marmoutier, Monconseil, Pilorget, Rougemont, Sapaillet, Saint-Symphorien, Sainte-Radegonde Aufil des textes. Discours de J.P. Marat du jeudi 8 novembre 1792. En réponse aux accusations d’agitateur. 31 mai. « On m’accuse d’être un agitateur, un perturbateur du repos public. Vaines clameurs, répétées par des citoyens crédules, d’après les ennemis de la révolution. Madame Roland insultée par le Père Duchesne. Date d'édition 1971 Anciens ou d'occasion Couverture rigide A propos de cet article Paris, Jacques Delmas & Cie, 1971; in-4 226 x 300 mm, 152 pp., reliure d'éditeur pleine toile, coloris blanc, dos lisse, sous jaquette illustrée. Introduction du duc de La Force. Textes duc de La Force, chanoine Baret, comte d'Hebray et Cordonnier. Très nombreuses illustrations en noir et blanc et quelques-unes en couleurs. Très bon état. N° de réf. du vendeur H2383 Poser une question au libraire Détails bibliographiques Titre Églises et abbayes de la Sarthe. Date d'édition 1971 Reliure Hardcover Etat de la jaquette Dust Jacket Included Description de la librairie CRÉÉE EN 1996, LA LIBRAIRIE ALPHABETS VIENT D'EMMÉNAGER DANS SES NOUVEAUX LOCAUX EN PLEIN COEUR DE NANCY, ELLE PROPOSE ÉDITIONS ANCIENNES ET BIBLIOPHILIE, BEAUX-ARTS, LITTÉRATURE, SCIENCES HUMAINES, HISTOIRE ET RÉGIONALISME. 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Soirées Concerts Expos Spectacles Salons Bonnes Adresses Rechercher Quand ? Sortez ! - Journées du Patrimoine 2022 DATE Dimanche 16 septembre 2018 LIEU Archives départementales de la sarthe Le Mans 72000 ATTENTION événement terminé ! Evénement proposé via OpenAgendaVisite des coulisses » des Archives parcours commentés dans les locaux non accessibles au public et présentation de documents exceptionnels Visite des coulisses »des Archives parcours commentés dans les locaux non accessibles au public et présentation de documents exceptionnels. Une sélection des nouvelles acquisitions sera présentée à tous. [Source Ministère de la Culture] Archives départementales de la sarthe - En savoir plus sur le lieu plus d'informations sur le site Internet des Archives départementales de la Sarthe Journées Européennes du Patrimoine 2018 Thèmes Archives Adresse Archives départementales de la sarthe; 9, rue Christian Pineau, Le Mans, 72100 Evénement proposé dans le cadre des Journées du Patrimoine 2018 Source Ministère de la Culture et de la Communication / Plus d'idées sorties pour les Journées Européennes du Patrimoine 2022 Le Programme des Journées du Patrimoine à Le Mans 72000Le Programme des Journées du Patrimoine - Sarthe 72Le Programme des Journées du Patrimoine à Nantes et sa région Pays de la LoireLe programme par thème Premières ouvertures, Ouvertures exceptionnelles, Sur réservation, Enfants / famille, Lieux de pouvoir Contact ? Url Quand ? Horaires Visites commentées des coulisses des Archives départementales de la Sarthe - Journées du Patrimoine 2018 Dimanche 16 septembre 2018 Quoi ? Visites commentées des coulisses des Archives départementales de la Sarthe - Journées du Patrimoine 2018 c'est quel genre d'événement ?Divers - Sortez ! Divers Archives départementales de la sarthe / Sortez ! Archives départementales de la sarthe / Divers Le Mans 72000 / Sortez ! Le Mans 72000 Adresse Où ? Archives départementales de la sarthe 9, rue Christian Pineau, 72100 Le Mans72000 Evénement annoncé par LE PARISIEN ETUDIANT le mardi 21 août 2018 Modifier votre annonce d'événement Signaler un abus / une erreur Autres Sortez ! le même jour Du 15 au 16 septembre 2018 Espace Saint-Fiacre, un projet phare pour le... Sortez ! L’Espace Saint-Fiacre se compose de deux bâtiments dont une halle polyvalente de 3500 m2 et une salle festive de 900... Parc Saint-Fiacre - Château-Gontier 53200 Du 15 au 16 septembre 2018 Visite de la rotonde ferroviaire de Montabon Château... Sortez ! Ancien de dépôt de Château du Loir 72500 Inscrite au titre des monuments historiques en 2010 Construite en... 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Fondé au XIIe s, et reconstruit au XVe s, le prieuré qui dépendait de l'abbaye de la Couture du Mans... Prieure saint-symphorien en saosnois - Marolles-les-Braults 72260 Du 14 au 16 septembre 2018 Journées du ¨Patrimoine au Château du Lude -... Sortez ! Cette année, le Lude se met à l'heure de la Renaissance, avec les animations proposées par l'association... Château du lude - Le Lude 72800 Du 15 au 16 septembre 2018 La Maison de la Pêche - Maison de la Pêche -... Sortez ! Visite du Musée "Maison de la Pêche" à La Turballe La visite de l'exposition du musée, vous... Maison de la Pêche - La Turballe 44420 Du 15 au 16 septembre 2018 Moulin de Kerbroué - Journées du Patrimoine 2018 Sortez ! Visite du Moulin de Kerbroué Anciennement appelé 'moulin de Maincrom' la pierre courbe, nom de la... Moulin de kerbroue - La Turballe 44420 Du 15 au 16 septembre 2018 Oeuvre éphémère et participative - Journées du... Sortez ! L'équipe de la Maison du Potier vous invite à sa table. 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Les monastères apparaissent alors comme des pôles de stabilité et des organisations économiques innovantes dans une société instable et pauvre. Leur fonction sociale, chanter la louange de Dieu opus Dei en latin, est perçue comme vitale par la communauté des fidèles. Ermites et cénobites des origines Les premiers siècles de la chrétienté voient la multiplication en Égypte des ermites du mot grec eremos qui désigne le désert ou anachorètes du grec ana, à l'écart, et khorein, se retirer. Ils auraient été jusqu'à cinq cent mille ! Leur modèle est saint Antoine, considéré de façon un peu abusive comme le Père des moines d'Occident et d'Orient ». Un contemporain moins prestigieux, saint Pacôme, inaugure en 315 la vie communautaire ou cénobitique du mot grec keinobios qui désigne ceux qui vivent ensemble et s'oppose à anachorète en haute Égypte, où il rassemble jusqu'à 1 300 moines. Le monastère est ceint d'une clôture qui le protège des pillards. Il vit en autarcie et se suffit à lui-même avec une organisation calquée sur les villae romaines grandes exploitations agricoles. Le monachisme pénètre à la même époque en Occident, où saint Martin fonde un premier monastère à Ligugé, près de Tours, vers 363. Mais il y a encore beaucoup d'ermites qui hantent les clairières et des moines gyrovagues » qui errent deçà delà en quête d'un maître spirituel qui les satisfasse. Le premier qui va réunir les suffrages est saint Benoît de Nursie, fondateur de l'abbaye du Mont-Cassin, entre Rome et Naples. La révolution bénédictine Saint Benoît écrit une règle inspirée de ses prédécesseurs mais qui s'en distingue par le souci de l'équilibre. Loin de toute extravagance, il prône une discipline saine fondée sur la prière et le travail manuel orare et laborare et garantie par une stricte obéissance à l'abbé, lequel est élu à vie. Il précise qu'à la mort de l'abbé, les moines se réunissent en chapitre pour choisir celui qui est le mieux apte à lui succéder. Il précise seulement qu'il doit être choisi par la part la plus saine des moines sanior pars en latin. Il n'est pas encore d'élection au sens que nous lui connaissons, les premières communautés étant trop restreintes pour s'y prêter. On peut plutôt parler de cooptation comme cela se fait au sein du Conseil européen des chefs d'État pour désigner le futur président de la Commission... C'est seulement au XIIIe siècle qu'émergera l'élection sur le principe un homme/une voix, avec désignation du nouvel abbé à la majorité maior pars. Ainsi peut-on porter au crédit des moines bénédictins l'invention de la démocratie élective, ou plutôt sa redécouverte après qu'elle fut tombée en déshérence suite à la ruine d'Athènes et de la Grèce antique. Saint Benoît bouscule aussi les préjugés sociaux en exigeant des moines qu'ils se suffisent à eux-mêmes par le travail, lequel est ordinairement le lot des esclaves et des femmes dans les sociétés antiques. Ainsi les moines vont-ils à leur corps défendant valoriser le travail et en particulier le travail manuel, pour le plus grand bénéfice de tous. Sa règle s'impose grâce au soutien actif de Charlemagne et de son fils Louis le Pieux. La société féodale d'Europe occidentale se structure très vite autour des monastères bénédictins, généralement fondés à l'initiative d'un riche et puissant seigneur. Il n'y a pas de famille aristocratique qui n'aspire à placer au moins l'un de ses rejetons dans un monastère de bonne réputation pour qu'il s'instruise et assure le salut commun par ses prières. Ces enfants confiés aux monastères sont désignés sous le nom d'oblats du latin oblatus, offert ». La règle bénédictine a été au départ conçue pour les hommes mais les femmes ne tardent pas à réclamer des aménagements pour elles-mêmes. Peu à peu, elles obtiendront le droit de se consacrer elles aussi à l'opus Dei, comme à l'abbaye de Fontevraud. Les moines au travail Stables et plutôt bien organisés, les monastères vivent en autarcie, grâce au travail des moines mais aussi des paysans et des serfs qui vivent sur leurs terres. Ils exploitent la terre et disposent de tous les ateliers artisanaux nécessaires aux besoins de la communauté. Ils contribuent ainsi à la mise en valeur du territoire, précédemment mis à mal par les invasions et la disparition des institutions romaines. Par leur puissance économique, ils dominent de manière écrasante la société féodale dès l'époque carolingienne. Par leur activité intellectuelle, ils contribuent aussi à la résurrection de la culture antique et de la culture tout court. Pour prier Dieu comme il convient, les abbés et les moines ont le souci en effet de revenir aux sources et pour cela de se plonger dans la lecture des ouvrages antiques. Ainsi redécouvrent-ils le latin, passablement oublié aux temps mérovingiens, jusqu'à créer un latin médiéval qui va devenir pour de longs siècles la langue de communication de l'Europe lettrée. C'est dans les monastères que se maintient un semblant d'instruction. L'école de l'abbaye de Fontenelle aujourd'hui Saint-Wandrille de Fontenelle, en Normandie aurait ainsi compté jusqu'à 300 élèves. Mais les livres demeurent rares et l'on n'en dénombre jamais plus de 500 dans les bibliothèques monastiques. Aussi les monastères, à l'époque carolingienne, se dotent-ils d'un scriptorium où les moines les plus aptes recopient assidûment les manuscrits, dans des conditions physiques très éprouvantes. La révolution clunisienne Le tournant survient au début du Xe siècle avec la création d'un monastère à Cluny, dans une lande proche de Mâcon, à l'initiative du duc d'Aquitaine. Sans que nul s'en doute, il va devenir très vite le coeur et l'âme d'une réforme en profondeur de l'Église et de la société féodale, grâce à son privilège de ne plus dépendre du seigneur ou de l'évêque du lieu mais seulement du pape qui siège à Rome. Ainsi va-t-il moraliser le clergé mais aussi contenir les pulsions guerrières des féodaux et les orienter vers le service de la veuve et l'orphelin ». Cluny, très vite saturée par l'afflux de vocations, implante dans toute l'Europe des abbayes-filles » dont l'abbé demeure sous l'autorité de celui de Cluny. Après l'An Mil, on compte ainsi un total de 1450 communautés clunisiennes monastères et prieurés rassemblant dix mille moines, non compris bien sûr le personnel laïc et les oblats. Mais la congrégation clunisienne porte aussi la plus grande attention à la liturgie. Les offices gagnent en somptuosité à travers les chants dits grégoriens » et la décoration des églises selon le style dit roman ». Au XIIe siècle montent cependant de toutes parts des critiques à l'égard des clunisiens auxquels on reproche leur relâchement, leur goût croissant du luxe, leur tendance à délaisser le travail au profit des offices, bref, leur prise de distance avec la règle bénédictine. Deux siècles après la fondation de Cluny, ces critiques vont susciter la création d'une congrégation rivale, l'ordre de Cîteaux. La réforme cistercienne Les cisterciens, avec plus de succès que les autres, restaurent la règle bénédictine dans sa pureté originelle en rendant toute sa place à l'humilité, à la pauvreté et au travail, y compris le travail agricole. Ils réduisent la décoration des églises et la liturgie à l'essentiel la contemplation de Dieu... en y ajoutant toutefois la dévotion à la Vierge. Leur rayonnement va être plus rapide et plus étendu que celui de Cluny, plus bref également. Cela grâce au charisme exceptionnel de saint Bernard de Clairvaux. Cîteaux et ses quatre filles », toutes bourguignonnes à l'exception de Clairvaux la champenoise, étendent partout leurs ramifications. À la différence des clunisiens, les cisterciens veulent se suffire à eux-mêmes et ne faire appel ni à des serfs ni à la dîme, impôt d'Église auquel sont assujettis les paysans. Aussi confient-ils les travaux des champs et des ateliers à des frères convers ou converts du latin conversus, converti. Issus le plus souvent de la paysannerie, ils sont tonsurés comme les moines mais portent la barbe et surtout ne participent pas à la liturgie. Ils ont seulement le devoir d'assister à la messe dominicale. La liturgie est le domaine réservé des moines de choeur, généralement issus de la petite ou moyenne noblesse comme saint Bernard. C'est aux moines de choeur aussi que revient la copie de manuscrits. D'autre part, quand cela est nécessaire, les convers qui dirigent les granges », autrement dit les exploitations agricoles, peuvent faire à des travailleurs extérieurs, quitte à leur verser une rémunération fixe et régulière. C'est la naissance du salariat moderne. Innovateurs, organisés et diligents, les cisterciens vont magistralement valoriser les ressources de la terre partout en Occident, qu'il s'agisse d'irriguer, drainer, défricher, exploiter le sous-sol... Ils améliorent par croisement les espèces animales et végétales, développent le labour profond et l'assolement triennal, enfin font reculer la jachère. Mort et renaissance Mais dès le XIIIe siècle, avec le développement des villes et de l'économie marchande, les monastères de tous ordres vont se marginaliser irrésistiblement. Ainsi vont-ils dès le début du XIIIe siècle renoncer totalement à la copie de manuscrits, celle-ci étant reprise par des ateliers laïcs. Plus grave, ils vont être concurrencées par les ordres mendiants, tels les dominicains et les franciscains, qui fuient les solitudes » et parcourent les villes, au plus près des fidèles. Les ravages de la guerre de Cent Ans XIVe siècle puis la Réforme et la sécularisation des monastères par les princes luthériens d'Allemagne XVIe siècle vont accélérer le déclin des ordres monastiques... Publié ou mis à jour le 2020-02-05 155956 Ledébat d'orientations budgétaires 2016 se tient aujourd'hui, lundi 18 janvier, pour le Conseil départemental de la Sarthe. Cette séance publique, tenue à l'Abbaye de l'Epau, a pour but d'échanger entre conseillers départementaux sur ce que sera l'action pour l'année 201 6.. A cet effet, le Groupe a présenté 17 propositions fortes pour les Sarthois.
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Communefrançaise, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire. sur eau ou sur neige. A sa patte sur la route ou sur la face. Il vaut mieux bâtir sur lui que sur du sable C'est plus sûr que le sel sur la queue. Sur les planches, le pire n'y est pas toujours sûr (4 mots. Il étudie les langues sur le fond et non
0 0 votes appréciez-vous ce message ? Article pouvant être lu en 2 minutes hors éléments audio ou vidéoPATRIMOINE RELIGIEUX – ABBAYE – COMMÉMORATION Visite dans l’abbaye de Solesmes à Sablé-sur-Sarthe Sarthe qui célèbre cette année le 1000è anniversaire de sa fondation Lire L’abbaye de Solesmes veut ouvrir les visiteurs à sa prière – La Croix 25 avril 2010 Sur les bords de la Sarthe, ce haut lieu de la spiritualité bénédictine célèbre jusqu’au 12 octobre l’année jubilaire de son millénaire Sourire lumineux et voix paisible, Dom Philippe Dupont ne craint pas le paradoxe De ce millième anniversaire de l’abbaye de Solesmes, nous espérons qu’il nous aide à relire l’histoire de notre communauté et à retrouver les valeurs qui fondent notre vie monastique. Qu’il nous permette d’affirmer davantage encore notre spécificité au quotidien, car c’est bien cela que les gens attendent de nous que nous soyons des moines ! » Pourtant, le père abbé de Solesmes n’ignore pas que les festivités liées au millénaire risquent de susciter un afflux de visiteurs au bord de la Sarthe, à deux pas de Sablé, le fief du premier ministre François Fillon, très attaché lui aussi à l’abbaye Saint-Pierre. D’ailleurs, le conseil général de la Sarthe a bien compris les retombées économiques et touristiques qu’il pouvait escompter du tourisme religieux, qui a attiré 500 000 personnes en 2009. Les pouvoirs publics départementaux soutiennent la promotion de l’anniversaire de Solesmes en espérant doubler la fréquentation de l’abbaye. L’an dernier, 58 000 visiteurs s’y sont rendus, au cœur d’un circuit qui compte aussi la cathédrale Saint-Julien du Mans 283 613 visiteurs, le sanctuaire Notre-Dame du Chêne 70 000 et l’abbaye de l’Épau 15 000. Lire la suite Lire aussi Solesmes célèbre en 2010 le millénaire de sa fondation Cluny 2010 Vosges Une abbaye en cours de restauration [googleMap name= »Abbaye de Solesmes » description= »abbaye de Solesmes »]1, Place Dom Guéranger 72300 SOLESMES[/googleMap] Ces articles devraient également vous intéresser 512 visites sur cette page - compteur installé sur le site le 22 juillet 2014 1 visites aujourd'hui 0 0 votes appréciez-vous ce message ? Navigation de l’article
Abbayede Sénanque et ses lavandes Abbaye de Vaux de Cernay en vallée de Chevreuse Abbaye de Paimpont en Bretagne Abbaye de Saint Martin en Picardie Abbaye de Saint Georges en Normandie Abbaye de Thoronet dans le Var Abbaye de Tamié dans le massif des Bauges Abbaye de Chatelier – Île de Ré Abbaye de Longpont près de Soissons Abbayes d’hier et d’aujourd’hui
Notre abbaye L’histoire de l’abbaye Sainte Anne de KergonanLes bâtiments de l’abbayeLes projets de rénovationNotre congrégation le fondateur et toutes les abbayes fondéesEn bref Ordre monastique de saint Benoît Fondation en 1897 Abbaye mère Saint-Pierre de Solesmes Nombre de moines aujourd'hui 21L'histoire de l'abbaye Sainte-Anne de KergonanEn 1897, dix moines bénédictins venus de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes sous la conduite de dom Paulin Joumier 1854-1917 s’établissent à Kergonan sur la paroisse de Plouharnel, à proximité de Carnac dans le Morbihan. Une maison de prière, de style néoroman, se fonde ainsi sur le granit breton, et sa louange liturgique s’accorde à la houle de l’océan tout quelques grandes étapes qui ont marquées l’histoire du monastère En 1901, la loi sur les associations exclut les communautés religieuses et les moines trouvent refuge en Belgique. Les bâtiments de l’abbaye, confisqués par l’État, sont mis en vente, mais des amis fidèles les rachètent et les mettent à la disposition d’une école de jeunes 1914, la communauté de Sainte-Anne de Kergonan devient Abbaye autonome et dom Joseph Marsille est alors élu premier Abbé de Kergonan. En 1920, il conduit les moines pour rentrer d’exil et la communauté se réinstalle dans les bâtiments de monastère, proche du mur de l’Atlantique », est réquisitionné en 1942 par les forces d’occupation. Les moines trouvent alors refuge à la Chartreuse d’Auray 56, puis la communauté s’installe en 1943 au château des Nétumières près de Vitré 35. En 1946, les moines rentrent de ce second exil et retrouvent des bâtiments à restaurer suite aux dommages de la 1968, le troisième abbé de Kergonan, dom Marcel Blazy lance le chantier de l’église abbatiale, qui est consacrée en 1975 par Mgr Pierre-Auguste Boussard 1917-1997, alors évêque de Laurent de Trogoff 1967 - Actuellement Prieur administrateur de l’abbayeLe dimanche 26 août 2018, le TRP abbé de Solesmes est venu nommer et installer au nom du Saint-Siège le TRP Dom Laurent de Trogoff, désigné par le décret romain du 11 août précédent, comme Supérieur de l’abbaye pour deux années suite à la démission du père abbé dom Philippe Piron. Né à Vannes en 1967, il a suivi sa scolarité à Carnac puis Vannes. Il entre à 22 ans au monastère, fait profession simple le 1 novembre 1991 puis profession solennelle le 7 octobre 1995. Il est ordonné prêtre le 16 avril 2001 par Mgr Pierre Raffin, évêque de Metz. Lui sont confiés à l’abbaye des secteurs relatifs à la technique, l’informatique et l’enseignement. Il s’intéresse aux langues sémitiques et à l’exégèse rabbinique. En 2017 il obtient un master en théologie dans lequel il étudie le premier père chrétien de langue arabe Théodore Abu Qurrah IXe siècle. Il commence en novembre 2017 un doctorat poursuivant ainsi son travail de Philippe Piron 1953 - Cinquième abbé de KergonanDom Philippe Piron est né à Nantes en 1953. Après des études de commerce, il travaille pendant six ans comme inspecteur dans une compagnie d’assurance. Il entre à Kergonan en 1984. Il fait profession simple le 8 septembre 1986 et profession solennelle le 15 août 1989. Il est ordonné prêtre le 21 août 1993 par Mgr Émile Marcus, évêque de Nantes. Il reçoit des responsabilités dans les domaines de l’économat, de l’infirmerie et du chant. En 1996, il est nommé prieur claustral, charge qu’il a exercée jusqu’à son élection abbatiale, le 24 novembre 2001. Il reçoit la bénédiction abbatiale des mains de Mgr Robert Le Gall le 2 février 2002. Sa devise abbatiale, Dilatato corde » — d’un cœur dilaté — est une expression empruntée au Prologue de la Règle de saint Benoît. Il a été Président de la Conférence monastique de France de 2004 à 2007. Il a présenté sa démission en tant qu’abbé de Kergonan au père abbé de Solesmes, qui l’a acceptée le 17 mars 2018. Dom Robert Le Gall 1946 - Quatrième abbé de KergonanDom Robert Le Gall est né à Saint-Hilaire du Harcouët 50 en 1946. Après son baccalauréat, il commence des études en Lettres supérieures puis entre à l’abbaye où il a fait son noviciat. Il prononce ses premiers voeux monastiques en décembre 1965 et commence des études de philosophie à l’abbaye, avant de poursuivre ses études théologiques à l’abbaye de Solesmes, puis à l’Université de Fribourg en Suisse. Dom Robert Le Gall est ordonné prêtre le 24 août 1974. En 1983, il est élu quatrième abbé de Kergonan. En 2001, il est nommé évêque de Mende 48 puis archevêque de Toulouse en 2006. Mgr Robert Le Gall a publié de nombreux articles et livres sur la liturgie et la spiritualité biblique. Il a aussi écrit un livre de dialogues avec un lama tibétain. Il est président de la Commission épiscopale pour la liturgie et la pastorale sacramentelle. À Rome, il est membre de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des Marcel Blazy 1902-1994Troisième abbé de KergonanDom Marcel Blazy naît à Mauzac en Dordogne en mai 1902. Il passe son enfance à Périgueux, puis entre à Polytechnique en 1921. À la sortie de l’école, il choisit l’artillerie. Il sera pendant trois ans lieutenant au Maroc. En 1930, il entre à l’abbaye de Solesmes et y reçoit la formation classique. De 1938 à 1940, il participe à la fondation du monastère de Las Condes à Santiago du Chili. Rappelé en France pour la guerre, il rejoint Solesmes à l’armistice de juin 1940. Il y sera hôtelier puis professeur de philosophie. Quand dom Demazure démissionne, l’abbé de Solesmes le nomme Prieur administrateur de Kergonan en juin 1962. Un an plus tard, il est élu abbé et reçoit la bénédiction abbatiale à Sainte-Anne d’Auray le 22 août 1963. Il va conduire la communauté pendant vingt années. Il opère l’adaptation liturgique de l’après-concile adoption du missel de Paul VI et de la concélébration, tout en conservant la langue latine et le chant grégorien. Aussi, il mène le chantier de construction de l’église abbatiale, qui sera consacrée le 4 octobre 1975. En mai 1983, il donne sa démission et a la joie de voir son Prieur, dom Robert Le Gall, lui succéder. Il vivra encore douze années paisibles et sereines au monastère. Il s’endort dans le Seigneur le 18 décembre 1994, après quelques mois de Henri Demazure 1882-1974Deuxième abbé de KergonanDom Henri Demazure est né dans les Vosges en 1882 dans une famille de maîtres de forges alliés à l’aristocratie locale. Après des études à Sciences Po, il semble avoir géré sa fortune personnelle, contribuant peut-être à la fondation d’une affaire commerciale en Roumanie. Puis il fit la grande guerre. Il rentre au monastère de Kergonan, tout juste revenu d’exil, au printemps 1921. A la fin de ses études, il est nommé adjoint du cellérier. À la mort de dom Marsille, en 1933, il est élu abbé. Il reçoit la bénédiction abbatiale le 15 janvier 1934. Il conduira la communauté à travers les aléas de la seconde guerre mondiale et de ses exils successifs de la Chartreuse d’Auray et des Nétumières. Il démissionne en 1962. Il passe alors quelques années à l’abbaye de Clervaux au Luxembourg, puis rentre à Kergonan où il sera rappelé à Dieu en Joseph Marsille 1852-1933Né dans une famille de Lorient Bretagne, Joseph Marsille devint prêtre dans le diocèse de Vannes en 1879, avant d’entrer à l’abbaye St Pierre de Solesmes la même année. il prononça ses vœux simples le 8 mai 1881, dans les mains de dom Couturier, deuxième abbé de Solesmes, puis ses vœux solennels le 8 mai 1884. Dès 1881, il secondait le maître des novices comme zélateur. Il vint à Kergonan parmi les fondateurs en 1897. De 1901 à 1906, il accompagna nos sœurs de St Michel dans leur exil en Angleterre, avant de nous rejoindre en notre exil en Belgique. Le 2 mai 1908, il fut élu prieur conventuel de notre monastère, puis élu abbé le 26 juillet 1914, quand celui-ci devint une abbaye. Il travailla efficacement pour protéger nos bâtiments pendant notre exil, et eut la joie de ramener la communauté à Kergonan en 1920. Il fut abbé jusqu’à sa mort, le 20 novembre bâtiments de l'abbaye Sainte-Anne de KergonanLes projets de rénovationLa bibliothèque point vert Les besoins sont estimés à 4 000 m linéaires de rayonnage pour 120 000 volumes. Avec les nécessaires annexes, cela représente environ 1 000 m². Première estimation 1 220 000 €. Hôtellerie Saint-Placide point jaune Cette tranche de travaux permet de réaliser pour les hôtes 8 chambres supplémentaires, une bibliothèque, une salle de réunion, un oratoire et avec en plus le bureau, le parloir et la cellule du Père Hôtelier. Première estimation 1 200 000 €. Maison d’accueil Kerjo point rouge Cette maison d’accueil pour les personnes sans domicile fixe comportera 3 chambres et une pièce commune, soit environ 100 m². Notre congrégationPortrait réalisé par Claude-Ferdinand Gaillard 1834–1887, publié en 1878. Dom Prosper Guéranger 1805-1875​Fondateur de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes et de notre congrégationIl naît à Sablé-sur-Sarthe le 4 avril 1805, étudie au Collège d’Angers puis entre au Séminaire du Mans. Il s’y lie d’amitié avec l’abbé Bouvier, futur évêque du Mans, commence la découverte des Pères de l’Église, s’intéresse au mennaisianisme. Tout jeune prêtre, il est choisi par son évêque comme secrétaire particulier et nommé Chanoine. Cette charge lui laisse du temps pour poursuivre de vastes lectures notamment en histoire de l’Église, liturgie, droit canonique. Hostile au jansénisme et au gallicanisme de l’ancien régime, il est favorable à une influence plus directe de Rome sur la vie de l’Église en France. De retour au Mans après avoir échappé à la révolution de juillet 1830, il devient aumônier de la Visitation. Il découvre alors la liturgie romaine qu’il commence à célébrer. Une grâce divine particulière l’initie au mystère de l’Immaculée Conception. Il prépare le projet d’une restauration de l’ordre bénédictin en France dont il attend un renouveau du culte liturgique et des études ecclésiastiques dans l’esprit ultramontain. L’ancien prieuré mauriste de Solesmes 72 est racheté en 1833 et dom Guéranger s’y installe avec quelques confrères. Très vite les vocations arrivent. En 1837, il est nommé par Rome supérieur de la nouvelle Congrégation bénédictine de France, héritière des anciennes congrégations de Cluny, de Saint-Maur et des Saints Vanne et Hydulphe. Solesmes est érigé au rang d’abbaye. Dom Guéranger en est le premier abbé. Il en fera un centre de vie spirituelle et liturgique. Sous son impulsion, les travaux de redécouverte du chant grégorien sont lancés. Plusieurs maisons monastiques sont fondées en France — Ligugé, Marseille, Acey, Paris. Une maison de moniales est établie à Solesmes l’abbaye Sainte-Cécile, dont il confie la direction à sa fille spirituelle, Madame Cécile Bruyère. Des contacts avec les pays étrangers — Angleterre, Allemagne, Belgique, Suisse — portent au loin dans le monde bénédictin l’influence de Solesmes. Dom Guéranger étudie les sources de la liturgie et, sous son influence ardente, et parfois combative, tous les diocèses de France abandonnent les liturgies gallicanes de l’époque moderne pour revenir à l’unique missel romain. Il donne accès à la saveur spirituelle de la liturgie dans son œuvre principale L’Année Liturgique, véritable initiation à la vie chrétienne et mystique à partir de la liturgie. Théologien cultivé et profond, dom Guéranger produit des œuvres importantes un mémoire sur l’Immaculée Conception prépare la proclamation de ce dogme par Pie IX en 1854 ; un traité sur la Monarchie pontificale accompagne les débats du concile du Vatican. Dom Guéranger meurt à Solesmes le 30 janvier monastères de notre congrégation​Saint-Pierre de Solesmes SartheSainte-Anne de Kergonan MorbihanFontgombault Indre Ligugé VienneGanagobie Haute-ProvenceSaint-Wandrille Seine-MaritimeSaint-Paul de Wisques Pas-de-CalaisSainte-Marie ParisDonezan AriègeTriors DrômeRandol Puy-de-DômeClervaux LuxembourgVaals Pays-BasPalendriai LituanieSilos EspagneValle de los Caídos EspagneLeyre EspagneMadrid EspagneQuarr AngleterreSaint-Benoît-du-Lac QuébecClear Creek USAMont-des-Oliviers MartiniqueKeur Moussa SénégalSéguéya GuinéeSainte-Cécile de Solesmes SartheSaint-Michel de Kergonan MorbihanNotre-Dame de Wisques Pas-de-CalaisSainte-Marie des Anges MartiniqueSaint-Jean-Baptiste de Keur Guilaye SénégalSainte-Cécile de Ryde AngleterreSainte-Marie des Deux-Montagnes CanadaCoeur Immaculé de Marie de Westfield USASous l’impulsion de Dom Guéranger, les moines de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes sont partis fonder d’autres monastères. À la suite des lois anticléricales de la fin du 19ème siècle, les communautés monastiques françaises furent amenées à fonder à l’étranger. Pour cette raison, notre congrégation a pris le nom de Congrégation de Solesmes. Elle compte aujourd’hui 24 monastères de moines, et 8 monastères de moniales, réparties en Europe, en Afrique, en Amérique du Nord et aux Antilles. Découvrez aussi
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