Unecarrière internationale permet d’élargir ses horizons, de découvrir d’autres pays et cultures et de travailler avec des personnes du monde entier. Les postes de travail étant souvent situés dans des pays qui présentent un contexte difficile, il faut savoir faire preuve d’une certaine flexibilité en termes de qualité de vie et Durée de formation 2 ans Niveau terminal d'études bac + 5 Nature du diplôme diplôme national ou diplôme d'Etat Les masters Diplôme national de niveau bac + 5, le master se prépare en 4 semestres après une licence bac + 3 du même domaine. L'entrée en master est sélective. Certains masters se préparent en apprentissage. La formation comprend des enseignements théoriques et pratiques avec éventuellement un ou plusieurs stages, et/ou une initiation à la recherche en fonction du projet professionnel. Le diplôme national de master est un diplôme d'insertion professionnelle. Il permet aussi de poursuivre des études en doctorat bac + 8. Pour plus d'informations, rendez-vous sur Lire l'article sur le master Où se former ? Vous pouvez saisir un critère géographique facultatif * Désolé, nous n'avons pas réussi à vous géolocaliser. Réessayez ultèrieurement. ou Dans un rayon autour de 25 km 5 km 300 km 10 résultats 10 établissements Affiner ma sélection Aucun résultat trouvé pour ». Pour une réponse personnalisée, vous pouvez contacter un conseiller du service de l'Onisep Mon orientation en ligne Votre recherche ne comporte aucun résultat. Essayez en enlevant des filtres. À lire aussi Article Parcoursup la plateforme d’admission dans le supérieur Dossier Études supérieures et handicap Dossier L'alternance dans l'enseignement supérieur Article Après le bac les différentes poursuites d'études
Pasbesoin d’une multitude de diplômes pour travailler dans une organisation internationale ! Des programmes Jeunes sont financés par le ministère des Affaires étrangères et du Développement international (MAEDI) et gérés par la Délégation aux Fonctionnaires internationaux (DFI). Certains d'entre eux s'adressent à de tout jeunes
Après le bac, vous souhaitez vous former afin d’intégrer le monde des relations internationales et travailler dans des organisations non gouvernementales ou dans des entreprises multinationales ? Il existe de nombreuses formations qui préparent les étudiants pour évoluer dans les domaines de la diplomatie, de la conduite des affaires internationales, de la communication internationale et de la coopération au développement. Présentation des études en relations internationalesLes conditions pour intégrer une formation en relations internationalesLes débouchés professionnels des études en RI Présentation des études en relations internationales L’objectif des programmes de formation en relations internationales est de fournir aux étudiants une formation complète sur la gestion des problèmes de sécurité, les échanges internationaux et l’intégration régionale. Plusieurs écoles de renommée, tel que l’Institut d’études des relations internationales ILERI, proposent des programmes de formation allant du bac+3 au bac+5. Le cursus de cette école est composé d’un Bachelor en Relations Internationales et d’un Bac+5 qui se prépare en deux ans. Ces études visent à initier les étudiants à la recherche en leur apprenant à adopter une approche interdisciplinaire et à manipuler les méthodes qui servent à la production et à la diffusion du savoir et qui permettent de mieux comprendre la dynamique des échanges et des rapports internationaux. Si vous souhaitez avoir plus d’informations sur les programmes d’études proposés par l’ILERI, n’hésitez pas à consulter son site. Les conditions pour intégrer une formation en relations internationales Les conditions d’admission dans une école spécialisée en relations internationales varient en fonction des programmes de formation, de leur niveau et bien évidemment des établissements qui les dispensent. Mais, le plus souvent, l’admission se fait à trois étapes une étude de votre dossier de candidature l’école examine les notes obtenus par l’étudiant et les appréciations des enseignants lors de sa formation précédente, un test écrit qui porte sur la culture générale, les langues, le droit, la géopolitique… et un entretien de motivation devant l’équipe pédagogique de l’école. Les débouchés professionnels des études en RI Les étudiants diplômés d’une école de relations internationales peuvent prétendre à des postes très variés ils peuvent travailler dans des ministères tels que le Ministère de la Défense ou le Ministère des affaires étrangères, dans des collectivités ayant un rôle sur la scène internationale, dans les gouvernements étrangers dans les pays en voie de développement, ou encore dans des Organisations Non Gouvernementales ONG.
Dixmasters universitaires à forts débouchés. Les universités délivrent certains bac+5 assez pointus très appréciés des entreprises. L'entrée se fait souvent à bac+3 ou bac+4, parfois à bac+2, sur une sélection sévère. Mais pour ceux qui ont le profil adapté, c'est le ticket gagnant pour de beaux postes de cadres, dans des La France compte plusieurs milliers d’associations humanitaires et caritatives. Aide aux Sans Domicile Fixe, aux migrants, aux malades, soutien aux victimes de guerres et de catastrophes naturelles… Les champs de d’action ne manquent malheureusement pas. Si l’activité est en progression constante, le nombre d’emplois n’augmente pas pour autant faute de moyens, les organisme préfèrent faire appel aux bénévoles et aux volontaires. Ces derniers représentent 80% des effectifs du secteur. Même les grandes ONG françaises n’emploient qu’un nombre réduit de salariés Médecins du monde, par exemple, compte 24 salariés sur le terrain contre 430 personnes ayant le statut de volontaire. Devant le besoin accru de solidarité internationale, les ONG se sont multipliées et leur rôle n’a jamais été aussi primordial. Face à cette effervescence, le besoin de formation s’est avéré nécessaire. C’est ainsi qu’en France, les offres de formations aux métiers de l’humanitaire n’ont cessé de s’accroitre depuis une vingtaine d’années. Dispenser par les écoles de deuxième cycle ou les Universités, les jeunes étudiants souhaitant s’investir dans l’aide internationale peuvent désormais jouir d’une formation dite professionnalisante ». Mais cela est-il réellement le cas ? Ces formations sont-elles adaptées aux besoins des ONG ? En 2007, l’ONISEP déclarait dans sont étude lors du recrutement, c’est souvent l’expérience qui fait la différence’. Nous avons voulu savoir si cinq ans après c’était toujours le cas. Entre rêve académique et réalité professionnelle Il n’existe pas moins de trente cinq cursus formant aux métiers de l’humanitaire en Franceque ce soit par le biais des Universités, des Instituts ou des Ecoles. Les Ecoles préparent à des métiers spécifiques tels que logisticien ou coordinateur de mission. Les universités quant à elles, proposent deux types de cursus soit niveau bac+ 2, soit niveau bac+5 visant a donner des compétences aux étudiants pour les métiers d’administrateur ou de gestionnaire de projet. Les débouchés de ces cursus concernent aussi bien l’Etat et ses différents services publics, le secteur associatif, les ONG, les Fondations, les structures publiques, nationales et locales de la coopération internationale de la France, les agences européennes et internationales ainsi que celle de coopération de l’Union européenne. Tout ceci semble donc très attractif pour un étudiant plein de bonne volonté voulant œuvrer pour la bonne marche du monde ». Une question se pose néanmoins. Où vont les étudiants tout droit sortis de ces nouveaux cursus ? Les promesses faites à ces jeunes diplômés sont-elles en adéquation avec les réalités du monde professionnel ? Une étude réalisée montre deux éléments d’importance. Premièrement, les étudiants sortant de formation universitaire de type bac+5 ne trouvent pas, pour la grande majorité d’entre eux, d’emploi dans le secteur humanitaire. Deuxièmement, on observe qu’en fonction de la réputation du centre formateur, certains jeunes diplômés s’en sorte mieux que d’autres. En effet, l’étude du profil universitaire d’individus de 35 ans en moyenne et travaillant dans une ONG est sans équivoque. La majeure partie d’entre eux sort d’écoles de commerce, d’un Institut d’Etude Politiques IEP ou encore d’une formation médicale. Viennent ensuite les cursus de Droit et de Relations Internationales, et seulement après en dernière position les formations spécifiques consacrées å l’humanitaire, qu’elles soient de nature universitaires ou faites dans des Ecoles. Par ailleurs, on s’aperçoit que les personnes ayant effectuées ces formations humanitaires å l’université ont souvent cumulé cette formation avec d’autres cursus notamment du Droit dans 50% des cas. Autrement dit, suivre une formation humanitaire à l’université a valeur de complément quand elle est de niveau bac+5. C’est ce que confirme un témoignage d’une jeune étudiante de l’université de Paris I inscrite en Master professionnel Sciences Politiques Spécialité Coopération Internationales, Action humanitaires et Politiques de Développement. Elle confessait que, déjà munie d’un diplôme en Droit, cette formation avait pour but de parfaire son parcours universitaire. Place au désenchantement les formations universitaire à la dérive Nous avons découvert que les formations humanitaires ne sont pas efficace en terme d’employabilité alors qu’elles regroupent idéalement un apprentissage théorique et pratique. Dans le même temps, il s’avère que les parcours dit mixtes », ciblés » et professionnel de terrain présentent en chacun d’eux un type de parcours prometteur dans ce secteur. En effet, les formations mixtes’ dispensées dans les Ecoles de formation humanitaire fonctionnent très bien si on en croit les données chiffrées publiées sur leurs siteswebrespectif. Prenons l’exemple de Bioforce. Cet Institut se démarque en jouant la carte parcours mixte’ et répond, à travers la spécificité de son programme, à la question suivante comment concilier engagement humanitaire et nécessité d’acquérir un métier reconnu par le monde de l’entreprise ? Nous allons évoquer ici l’innovation Bioforce », et plus particulièrement de la formation intitulée Chargés des services généraux, option logistique humanitaire ». Durant cette formation, d’une durée de 3 ans, les élèves alternent entre cours et missions dans différentes ONG en partenariat avec Bioforce. A l’issue de la formation, les chiffres parlent deux étude des promotions 2004 à 2006 a montré que la proportion d’élèves partis en mission à la fin de leur formation était très élevée logisticien 80 %, administrateur 80 %, gestion de projet 91 %, technicien en Eau 92 %. Le taux de placement de ces derniers s’élevait globalement à 86%. De manière générale ce sont ces parcours-là qui fonctionnent bien lorsqu’ils sont proposés par les Ecoles. Mais pourquoi les parcours mixtes universitaire ne fonctionnent pas de la même manière alors que le même schéma de formation semble être adopté? La réponse se trouve peut-être dans le fait que la formation Bioforce dure trois fois plus longtemps que celle d’un Master 2. Une deuxième explication pourrait être celle selon laquelle les formations proposées dans les Ecoles ne sont pas complémentaires’ à d’autre cursus mais constituent bel et bien une formation à part entière. Par ailleurs, un autre avantage proposé par cet institut est à souligner, c’est celui de la double vocation’. Cette double vocation permettrait de facilité l’insertion professionnelle du fait d’avoir une double casquette et donc de posséder une capacité à se diversifier, chose qu’une année en Master 2 ne peut pas prétendre délivrer. Cela dit, cela n’explique pas les résultats d’une autre enquête traduisant le fait que sur 50 personnes travaillant dans une ONG, 70% d’entre eux étaient déjà partis en mission humanitaire avant de devenir salariés. Sachant que chaque élève poursuivant une formation humanitaire dans les universités que nous avons observé dans cette étude possède cette expérience de terrain, ils ne devraient pas, à priori, rencontrer de difficulté lors de recrutement dans le secteur concerné. Par ailleurs, il a été démontré, lors du recrutement professionnel, que l’expérience de terrain et la volonté de l’engagement étaient largement valorisés par rapport à un diplôme universitaire de type Master 2 humanitaire. Toutefois, à en croire les résultats de notre enquête sur le taux de placement dans une ONG des élèves sortant de formations humanitaires, une seule expérience ne serait pas considérée comme suffisante. En conséquence, les formations de type master 2, seraient considérées inadaptées en terme de formation et n’auraient donc pas lieu de perdurer telle qu’elles sont définies aujourd’hui. Si la majorité des personnes travaillant dans le secteur humanitaire ne dispose pas de formation universitaire, que ce soit via une Ecole ou une université, la question de la nécessite d’un diplôme dans ce domaine se pose avec acuité. Si les parcours ciblés sont une des clés de la réussite, il faut s’interroger sur la perrenité des formations académiques dans ce secteur, et la désillusion qui peut en résulter. La plus-value des formations ciblées Quant on parle de formation ciblée, cela concerne les métiers de type médecins et infirmiers. Environ 2000 volontaires français partent chaque année en mission à l’étranger et les profils médicaux sont encore les plus recherchés. Viennent ensuite les logisticiens, qui représentent par exemple un quart des départs chez Action contre la faim. Les associations recrutent également des experts, ingénieurs agronomes et hydrauliciens en particulier, capables d’apporter une expertise dans les missions de développement. Enfin, elles recherchent des généralistes école de commerce, IEP pour faire de la coordination sur le terrain, gérer les projets et encadrer les équipes. Ce sont donc bien des métiers précis que les ONG recherchent. En effet, si on prend l’exemple de MSF, elle présente une fiche de métiers dont elle a particulièrement besoin, ce qui cible la demande. Les métiers paramédicaux sont les plus demandés. Puis, les métiers purement médicaux tels que les médecins et spécialistes. Enfin, les non-médicaux comme les logisticiens, ingénieurs, gestionnaires approvisionnement, constructeurs etc. et les administrateurs ayant des diplômes supérieurs en Gestion, Sciences économiques, Comptabilité et Audit financier, gestionnaires de Ressources Humaines etc. Donc, on s’aperçoit que 67% des profils que MSF recherche sont des profils du domaine médical, chose paraissant normale pour une ONG se nommant Médecin Sans Frontières. Mais surtout, ce qu’il y a de frappant, c’est que les métiers recherchés par cette ONG, ne font pas partis des métiers que les cursus universitaires tendent à pourvoir. On observe donc un problème de coordination, voire d’adéquation, entre les besoins réels des ONG et ce que proposent les cursus académiques. L’humanitaire victime de son succès » 700 candidats sont venus de tous les horizons pour 80 places dans nos trois masters autour de ces thèmes », explique Marie-José Domestici-Met, d’Aix-Marseille-III. La demande grandissante provoquant un manque de place dans les formations préexistantes et la nécessité de formation demandée par les ONG elles même, ont poussé, à juste titre, la création de formation académique dans ce domaine. Cependant, la période où il y avait des débouchés concrets dans ce secteur est révolue à ce jour. Cela s’explique notamment par le manque de postes à pourvoir dans les ONG car si les ONG ont globalement augmenté leur nombre de salariés, s’est opéré dans le même temps un accroissement considérable du nombre de diplômes en la matière, provoquant un surplus de mal diplômés». Par ailleurs, l’Etat pourrait-il est partiellement responsable de ce phénomène? Olivier Benquet, responsable du recrutement à Action contre la Faim, explique On veut des professionnels.» Plutôt des professionnels de la logistique, de l’agronomie, de l’assainissement d’eau, de la sante – infirmières, médecins… L’idéal, c’est d’avoir appris un métier à travers une formation classique, et d’avoir reçu son baptême du feu sur le terrain comme volontaire ». Mais alors pourquoi a-t-on créé tant de cursus uniquement spécialisés dans l’humanitaire? S’il fallait des professionnels, il ne fallait pas pour autant créer un surplus de mal-diplômés’ dans ce secteur. Alors maintenant que faire ? Réinventons la formation humanitaire » Même si les résultats montrent que le taux d’employabilité de ces jeunes diplômes est quasi nul, il n’en reste pas moins nécessaire de ne pas abandonner l’idée de formations compétentes en la matière. De grandes responsabilités reposent sur les ONG et dans le secteur humanitaire en général. Si le besoin de personnes formées est réel, il faut alors créer des formations adaptées à ces besoins. C’est justement pour y répondre, qu’il est primordial de sauvegarder ces formations aux métiers de l’humanitaire dans les universités, Ecoles et Instituts. Cependant, une réinvention ou une re-masterisation » de la formation est nécessaire. La professionnalisation est un des buts de l’enseignement supérieur et les formations en master proposées doivent de manière effective servir à l’insertion dans la vie active. L’une des première chose à faire serait peut être d’établir un suivi des élèves diplômés afin de savoir exactement quel taux de placement il en ressort. Cela permettrait d’évaluer les formations qui sont compétentes et celles qui ont besoin de soutien ou encore celles qui n’ont pas lieu d’être. Il faut donc introduire une notion qualitative au sein du tout » qualitatif actuel. Par ailleurs, on remarque qu’au Royaume-Uni, les élèves ont la possibilité d’intégrer une sorte d’option humanitaire dans les cursus de type management’, marketing’ etc. , sans pour autant avoir le besoin de créer un Master ou une licence spécifique aux ONG. Il semblerait que cette solution serait plus adaptée et qu’il faudrait peut être accentuer cette démarche sur le sol français. Ces éventuelles solutions n’auraient pas pour vocation la résolution problème du trop-plein de candidat voulant se former pour ensuite s’engager dans l’humanitaire mais cela pourrait permettre de résoudre le problème de la formation illusoire qu’offre certain cursus en France. En conclusion, il n’existe pas de cursus miracle » pour pouvoir travailler dans une ONG. Le tableau général que nous avons dressé montre que la formation délivrée dans les Masters humanitaires ne répond pas forcément aux attentes des ONG et des structures du domaine de la solidarité. Cela interroge donc sur la nécessité de poursuivre ces formations sous leur forme actuelle. La plus-value de compétences professionnelles concrètes, comme l’expérience préalable – en tant que bénévole –avec des ONG humanitaires, semblent donc surpasser l’intérêt de formations universitaires généralistes, peu axées sur le terrain et l’acquisition d’un métier ». La prolifération récente de ces formations ne semblent donc bénéficier ni aux étudiants, ni aux ONG. Une remise à plat paraît donc nécessaire. Bio Derniers articles Marine Gaignard est étudiante à l’université de Sheffield, en Angleterre, où elle fait un Master en Gouvernance et politiques publiques, spécialité Union Européenne
Parceque les compétences acquises au cours des études sont transférables, les étudiants qui étudient les relations internationales vont plus loin pour travailler dans différents secteurs et carrières, notamment l’activisme, la sécurité nationale, le renseignement et l’analyse militaires, les frontières des affaires internationales, etc.
Adapter un jeu vidéo américain au public français, enseigner le chinois à des cadres expatriés, négocier avec des fournisseurs indiens, organiser des séjours à l’étranger… les débouchés offerts aux polyglottes sont nombreux et variés. De la traduction à l’enseignement en passant par le tourisme, le commerce ou la diplomatie découvrez, grâce à ce titre de la collection "Parcours", les métiers des langues et de l’international. Une enquête de terrainIntégrer la Commission européenne, c'est possible ? Y a-t-il des postes en interprétation de conférences ? Il faut réussir un concours pour y accéder ? Peut-on gagner sa vie en tant que chargé de mission humanitaire ? On doit passer par Science Po pour être fonctionnaire international ? Être bilingue, ça suffit pour devenir concierge d’hôtel ? Avoir fait des séjours linguistiques, c’est indispensable ? Celui qui fait le sous-titrage de film, c’est un traducteur ? On peut travailler dans l’import-export ou dans le tourisme sans avoir fait d’études de langues ? Quelle différence entre interprète de liaison et interprète judiciaire? Que fait un analyste ? Les guide conférenciers sont-ils salariés ? Comment sont-ils rémunérés ? Il faut un niveau bac+5 pour exercer comme professeur de langues ? C’est facile de partir à l’étranger pendant ses études ? Tout le monde peut profiter du programme Erasmus ? En quoi consiste le volontariat international en entreprise ?Pour répondre à toutes ces questions, pour une part transmises par les jeunes et leurs familles au service d'information personnalisé ou sur les salons étudiants, cet ouvrage s'appuie sur une enquête de terrain auprès d'experts, de responsables de formations, de professionnels en activité et de jeunes outils pour construire son projetEn ouverture de la publication, une planche illustrée propose de choisir un métier à partir de ses goûts avoir l’envie de voyager et aptitudes avoir le sens du contact.Ensuite, un reportage en images au siège de la Commission européenne à Bruxelles présente l’activité de professionnels engagés au service de l’Union trentaine de métiers sont ensuite passés en revue, réunis autour de 5 domaines commerce, enseignement, relations internationales, tourisme, traduction. Plus de la moitié des métiers sont présentés par des professionnels qui racontent leur quotidien, avec en regard les rubriques salaires, débuts et avoir répondu aux 5 questions à se poser avant de se lancer dans une formation, la partie études recense les diplômes comportant un volet important en langues et les cursus ouvrant à l’international BTS, parcours universitaires BUT, licences pro, licences, masters, formations spécialisées tourisme, traduction, relations internationales…, IEP et écoles commerce. En tenant compte des familles de métiers. Cinq jeunes diplômés reviennent sur les étapes clés de leur parcours d’ partie emploi présente les entreprises du secteur, les conditions de travail et les compétences attendues. Cinq professionnels reviennent sur leurs débuts comme fonctionnaire européen, interprète de conférence, dans l’humanitaire, dans le tourisme été en volontariat le guide pratique propose la liste des formations avec les établissements qui y préparent, les sites utiles pour compléter son enquête, ainsi que les ressources Onisep. Comment se procurer cette publication de l'Onisep ?Les métiers des langues et de l’international,en vente dans notre librairie en ligne
Lobjectif de l’UE 5 « Travailler dans les relations internationales » vise à fournir tout un ensemble de savoir-faire pratiques en vue d’une professionnalisation et d’une future entrée dans les carrières internationales. Contact. Sciences Po Strasbourg. 7, rue de l'Écarlate - CS20024 67082 STRASBOURG CEDEX 0368858400 Formulaire de contact. MASTER - Relations internationales Les relations internationales désignent les relations multiformes entretenues entre les individus, les organisations privées et les institutions publiques d’États distincts. Au niveau de la formation, les relations internationales sont une sous-spécialisation de la science politique. Les étudiants intéressés par cette discipline peuvent faire un master relation internationale à lyon. Très généraliste, ce cursus permet d’acquérir diverses compétences en sciences politiques et géopolitiques. Il prépare ainsi à un large panel de métiers. Découvrez notre tour d’horizon des métiers des relations internationales. Sommaire 1 Analyste2 Responsable relations internationales3 Conseiller stratégique4 Analyste géopolitique5 Journaliste6 Responsable communication internationale7 Manager humanitaire 1 Analyste Analyste de stratégie internationale, analyste en intelligence économique ou encore analyste politique européenne… Ces métiers, généralement accessibles après un master au moins, exigent une bonne capacité d’analyse des problématiques de différents ordres économique, politique, social, financier, etc.. Après avoir analysé la situation, il va mettre en place de recommandations pertinentes et proposer des solutions permettant aux décideurs et autres directeurs d’entreprise de réagir à ces problématiques, voire les anticiper. 2 Responsable relations internationales Diplomate, autonome et capable de s’adapter dans des contextes multiculturels, le responsable relations internationales est en mesure de motiver et fédérer ses équipes et les mobiliser autour d’objectifs communs. Sa maîtrise des contextes, des marchés internationaux et des règles de droit de la concurrence lui permettent d’adapter ses stratégies en fonction du pays ciblé. Il s’agit de ce fait d’une fonction stratégique et indispensable pour les entreprises qui souhaitent s’internationaliser. 3 Conseiller stratégique En indépendant ou au sein d’un cabinet de conseil, le conseiller stratégique, ou consultant en stratégie, met son expertise et ses connaissances au service des dirigeants de grandes entreprises ou des États. Il identifie les actions à même de permettre à ces derniers d’atteindre leurs objectifs stratégiques. Pour ce faire, il va analyser la situation actuelle, détecter les risques et formuler des préconisations adéquates. 4 Analyste géopolitique Spécialiste d’une zone géographique en particulier, il a une parfaite connaissance des différents problèmes d’ordre politique et sécuritaire la concernant. Son expertise et sa parfaite maîtrise des méthodes analytiques lui permettent de proposer des analyses détaillées de la situation dans cette zone géographique, de quoi aider les politiciens et les hommes d’affaires à avoir une vision plus claire et prendre des décisions pertinentes, que ce soit en matière d’investissement, de relations diplomatiques ou autres. 5 Journaliste Le journaliste spécialiste des relations internationales propose ses analyses en forme de billets, articles de presse, interventions sur les plateaux radio et télé, reportages, etc. En bon connaisseur des relations internationales, il peut se spécialiser dans une zone géographique donnée Moyen-Orient, Chine, Amérique du Nord… Il analyse les événements en les mettant en rapport avec d’autres faits survenant dans différentes régions du monde, pour obtenir une vision globale, neutre et objective. 6 Responsable communication internationale Le responsable communication internationale, ou chargé de communication internationale, met au point une stratégie de communication pour promouvoir son entreprise à l’international. Cette stratégie doit être adaptée aux spécificités des marchés ciblés et prendre en considération la dimension interculturelle, ainsi que les besoins et les attentes des consommateurs dans les pays concernés. Il a également pour mission de formuler des conseils et des préconisations à destination de la direction générale, visant à améliorer davantage la communication internationale. 7 Manager humanitaire Ce métier humanitaire consiste à déterminer les besoins des populations dans des contextes de crises humanitaires conflits armés, famine, catastrophes naturelles, etc.. Son objectif consiste à mobiliser les moyens et les outils nécessaires pour venir en aide aux populations sinistrées de la manière la plus efficace et la plus rapide qui soit. Il va ainsi chercher les financements nécessaires, superviser l’organisation des missions humanitaires, mettre en place un plan d’action, etc. Il va également constituer les équipes nécessaires pour mener les opérations sur le terrain. 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ChoisirErasmus+. Les étudiants peuvent séjourner à l’étranger, en Europe comme à l’international. Ils peuvent participer au programme Erasmus+, quel que soit la discipline, le cycle d’études ou le diplôme préparé. Ce séjour est reconnu pour obtenir le diplôme préparé en France.
Le Canada est l’un des pays les plus accueillants pour les étudiants étrangers ils sont chaque année près de 300 000 à suivre un cursus d’études supérieures dans un établissement canadien, parmi lesquels plus de 20 000 étudiants français. Selon une récente enquête du ministère de l’immigration du Canada, le nombre de Français qui font une demande de permis d’études augmente en moyenne de 8,9 % chaque année. Le pays compte 93 universités, dont plusieurs sont classées parmi les meilleures du monde. C’est notamment le cas des 5 meilleures universités du pays selon le classement du Times Higher Education l’université de Toronto, l’université de Colombie-Britannique Vancouver, l’université McGill Montréal, l’université McMaster Hamilton, en Ontario et l’université de Montréal. La plupart des étudiants français choisissent de s’inscrire dans l’une des 14 universités francophones du Québec. De fait, la Belle Province pratique une politique d’accueil particulièrement dynamique. Pourtant, il est parfaitement possible de faire des études en français dans d’autres provinces canadiennes tout en vivant dans un environnement anglophone. “Le Canada tient à maintenir la balance entre les deux langues et de nombreux établissements universitaires font des efforts en ce sens”, souligne Miguel Robichaud, premier secrétaire à l’ambassade du Canada à Paris. Comment présenter une demande d’admission ? Obtenir un permis d’études ? Quel est le montant des frais de scolarité pour les étudiants français ? Peut-on espérer décrocher une bourse ? Où se loger ? Comment obtenir un permis de travail ou rester au Canada après la fin de son cursus ? Voici les réponses et les conseils de Miguel Robichaud et de Jacques-Henri Gagnon, chargé des relations universitaires à l’ambassade du Canada à Paris, accompagnés de nombreux liens vers des articles consacrés aux études au Canada par Courrier Expat ainsi que par notre partenaire Le Monde Campus. Partir après le bac Présenter une demande d’admission. La première chose à faire, pour un étudiant désireux de préparer en trois ou quatre ans un baccalauréat canadien l’équivalent de la licence est de choisir le programme auquel il veut s’inscrire pour pouvoir présenter une demande d’admission auprès d’un établissement d’enseignement postsecondaire. La lettre d’admission délivrée par l’université est indispensable pour obtenir un permis d’études auprès des services de l’immigration. Le site EduCanada tient à jour un Répertoire des établissements d’enseignement au Canada. Le même site offre un outil de recherche sur les programmes d’études postsecondaires par profession visée et par province. Chaque université canadienne définit ses propres critères d’admissibilité. Il faut donc impérativement se renseigner auprès de chaque établissement. Il est recommandé de présenter sa demande d’admission bien à l’avance – idéalement, un an à l’avance. “Mais beaucoup d’universités restent relativement souples, précise Jacques-Henri Gagnon. Un étudiant qui présente un très bon dossier en juillet peut même être admis pour la rentrée d’automne.” Les sessions d’information du Centre culturel canadien. L’ambassade du Canada à Paris organise régulièrement des sessions d’information sur les études au Canada au Centre culturel canadien. “Il y a plus d’une centaine d’événements chaque année autour de ce thème, explique Jacques-Henri Gagnon. Le plus simple, pour un étudiant français qui veut s’inscrire dans une université canadienne, est de venir à l’un de ces événements. Les universités canadiennes se déplacent pour l’occasion. Les responsables des admissions sont là et il est tout à fait possible de repartir avec en poche sa lettre d’admission.” Le système québécois. Le système postsecondaire québécois présente une spécificité le passage par l’un des 48 collèges d’enseignement général et professionnel Cégep y est obligatoire, pour tous ceux qui ont fait leurs études secondaites au Québec, avant d’accéder à l’enseignement supérieur. Cette disposition ne concerne pas les étudiants français le bac est reconnu comme le iplôme donnant directement accès à l’université. Postuler en échange universitaire De nombreux programmes d’échange. Un étudiant qui a commencé ses études en France peut bénéficier des très nombreux accords d’échanges passés entre les universités françaises et les établissements canadiens, y compris les universités anglophones. Il convient de se renseigner directement auprès du service des relations internationales de son université. “De nombreuses ententes existent entre établissements. Les étudiants français ne connaissent pas toujours les opportunités qui leur sont offertes, et pas seulement au Québec”, regrette Jacques-Henri Gagnon. Parmi les programmes d’échanges les plus connus, le Bureau de coopération interuniversitaire ex-programme Crepuq a pour objectif de permettre aux étudiants français d’effectuer un semestre ou une année d’études au sein d’une université québécoise. Il est accessible à tout étudiant français qui a déjà effectué au moins une année d’études supérieures. Les avantages. “Partir dans le cadre d’un programme d’échange présente un double avantage d’une part, l’étudiant n’a pas à payer de frais de scolarité au Canada ; d’autre part, son université se charge souvent de la plupart des démarches administratives”, souligne Jacques-Henri Gagnon. Attention dans les universités anglophones, le TOEFL ou une attestation de niveau de langue sont souvent exigés. Cursus et pédagogie Le schéma des études postsecondaires au Canada présente certaines différences qu’il faut connaître avec celui des études supérieures en France. Le baccalauréat ou bachelor, qui équivaut à notre licence, se prépare généralement en quatre ans. Au Canada, on entre donc souvent en master en cinquième année d’études postsecondaires. C’est surtout au niveau de la pédagogie mise en œuvre que les différences sont le plus marquées apprentissage par problèmes, classe inversée et formation mixte sont en vogue dans un pays leader dans ces nouvelles méthodes d’apprentissage. “Il y a très peu de cours magistraux, explique Jacques-Henri Gagnon. On travaille en équipe, par atelier, et on utilise beaucoup Internet et les nouvelles technologies de communication. Mais les professeurs sont toujours accessibles pour leurs étudiants dans leur bureau aux heures ouvrables. Au niveau du contrôle des connaissances, les enseignants ont une grande marge de manœuvre. Il y a en principe deux sessions d’examens, en automne et en hiver. Mais le contrôle continu et la participation sont largement pris en compte. Il y a une grande proximité entre étudiants et enseignants. Tout vise à l’acquisition de compétences et le maximum est fait pour que le jeune devienne autonome.” Frais de scolarité et budget Les frais de scolarité sont plus élevés au Canada que dans les universités françaises, mais étudier au Canada reste beaucoup moins onéreux, pour un étudiant français, qu’étudier aux Etats-Unis ou au Royaume-Uni. Au Québec. Depuis la rentrée 2015, les frais d’inscription ont augmenté pour les étudiants français qui s’inscrivent en premier cycle dans une université québécoise ils paient désormais les mêmes droits que les Canadiens non québécois, soit un peu plus de 4 000 euros par an les autres étudiants étrangers paient beaucoup plus cher !. Beaucoup de cursus offerts par les universités québécoises n’en restent pas moins attrayants pour les étudiants français. Un exemple parmi d’autres le “Bachelor of commerce” de la prestigieuse faculté de Montréal, qui compte 17 % d’étudiants français. La fourchette des frais de scolarité. Selon Jacques-Henri Gagnon, les frais de scolarité pour un étudiant français peuvent courir, selon les universités, de 6 000 à 12 000 dollars canadiens environ de 4 000 à 8 000 euros. Mais là encore des ententes avantageuses du point de vue financier existent avec les universités françaises. C’est le cas à l’université d’Ottawa, qui pour attirer les francophones a décidé de baisser leurs frais de scolarité à 4 800 euros. Seule condition demandée par cet établissement de la capitale du Canada que les étudiants choisissent au moins trois cours enseignés en français neuf crédits par session. Coût de la vie. Il existe une différence importante au niveau du coût de la vie entre des métropoles telles que Toronto ou Montréal, relativement chères, et les villes moyennes. “Une étude de l’université du Nouveau-Brunswick montre que pour un étudiant français habitant en région il n’est pas plus coûteux de venir étudier dans cette province canadienne que de choisir d’étudier à Paris”, souligne Jacques-Henri Gagnon. De son côté, Emma Roussel, coordinatrice des journées Etudier au Québec, assure que l’année passée au Québec revient tout compris à 15 000 euros voyage, logement, inscription, vie quotidienne…, 20 000 euros à Montréal, soit “pas plus cher qu’une année d’études à Paris”. Obtenir un permis d’études Pas besoin de permis d’études pour un étudiant qui envisage de suivre un programme qui dure six mois ou moins. Dans les autres cas, le permis d’études, qui s’obtient auprès des services de l’immigration canadiens, est obligatoire. Pour déposer en ligne une demande de permis d’études, il faut avoir été admis dans un “établissement d’enseignement désigné” toutes les universités canadiennes figurent dans la liste et avoir reçu sa lettre d’acceptation. Les délais de traitement peuvent varier en fonction du nombre de demandes. Pour les jeunes Français, il est en principe de deux semaines. Le permis d’études est accompagné de l’AVE indispensable pour les citoyens français. Pour obtenir le permis d’études, l’étudiant doit prouver qu’il dispose d’assez d’argent pour couvrir les frais de sa première année de séjour au Canada, soit environ 10 000 dollars canadiens 6 600 euros. “Une attestation de ressources des parents, un extrait de compte en banque font l’affaire”, précise Miguel Robichaud. Pour étudier au Québec. La province du Québec a une exigence supplémentaire les étudiants étrangers qui souhaitent déposer une demande de permis d’études doivent auparavant obtenir un certificat d’acceptation du Québec CAQ auprès des Services d’immigration du Québec. “La procédure peut sembler complexe, elle est en réalité très libérale, souligne Miguel Robichaud. L’étudiant qui veut faire ses quatre années complètes au Canada se verra accorder un permis d’études valable pour la durée totale de son séjour au Canada pouvant aller jusqu’à cinq ans. Ce qui lui permettra de compléter son cursus ou même de changer d’orientation tout en restant au Canada.” Les bourses Les étudiants qui partent après le bac peuvent bénéficier de bourses octroyées par certains établissements canadiens. Certaines provinces, comme les provinces Atlantiques, l’Ontario, le Nouveau-Brunswick ont en outre pris des dispositions favorables aux étudiants francophones, y compris au niveau du premier cycle. Il faut s’informer directement auprès des universités. Pour ceux qui partent en échange. Il existe plusieurs types d’aides financements du conseil départemental, du conseil régional ou du Crous. Pour les plus avancés. Plusieurs programmes de bourses canadiens, axés sur la recherche, sont ouverts aux étudiants français dès la dernière année de la licence comme les bourses Mitacs et Campus France. D’autres comme les bourses d’études supérieures du Canada Vanier s’adressent aux étudiants français au niveau du doctorat. Trouver un logement “Nous conseillons aux étudiants étrangers de se loger sur le campus, en résidence étudiante, la première année, explique Jacques-Henri Gagnon. L’université où ils sont inscrits pourra leur venir en aide dans tous les aspects de leur vie. En revanche, à partir de la deuxième année passée au Canada, nous conseillons une colocation en ville, toujours dans le but de favoriser la meilleure intégration possible. Le système fonctionne très bien au Canada, il n’y a pas besoin de garants et il est très bon marché.” Ce choix est d’ailleurs celui de nombreux étudiants canadiens. Concernant la colocation, un reportage du quotidien La Presse atteste que jeunes Montréalais et étudiants expatriés vivent très bien l’expérience. “A Montréal ou à Toronto, d’anciens hôtels ont été transformés en résidences étudiantes. C’est un nouveau service qui recueille un certain succès”, complète Jacques-Henri Gagnon. De toutes les grandes villes canadiennes, Montréal est par ailleurs celle qui affiche les loyers les plus bas 760 dollars canadiens 520 euros pour un appartement de quatre pièces. A noter tous les campus canadiens sont dotés d’un bureau médical très bien équipé. Les jobs étudiants Travailler sur le campus. Il est possible pour un étudiant étranger de travailler sur le campus de son université sans permis de travail, à condition d’être titulaire d’un permis d’études en cours de validité. Seule obligation faire une demande de numéro d’assurance sociale NAS. Travailler hors campus. Un étudiant étranger titulaire d’un permis d’études peut travailler 20 heures par semaine hors campus sans avoir besoin d’un permis de travail. Le numéro d’assurance sociale est indispensable. “Le marché du travail est très souple, assure Miguel Robichaud. Une entreprise qui veut employer un étudiant étranger n’a aucune démarche spécifique à effectuer. Un étudiant francophone n’aura pas de difficulté à trouver un job d’étudiant. Attention, si vous êtes parti en touriste, ne comptez pas travailler au Canada. Le permis d’études est indispensable.” Travailler dans le cadre d’un stage. De nombreux collèges et universités canadiens proposent des programmes de stages en alternance pour ajouter au cursus une expérience en entreprise. Les étudiants étrangers souhaitant s’inscrire à un programme coopératif ou à un programme de stage doivent obligatoirement demander un permis de travail en plus du permis d’études. “C’est un malentendu fréquent avec les étudiants au Canada, un stage effectué en cours d’études est assimilé à un travail et un permis de travail est nécessaire”, souligne Miguel Robichaud. Les étudiants étrangers partis dans le cadre d’un programme d’échange ne sont en revanche pas autorisés à travailler durant leur séjour. A noter les conjoints d’étudiants titulaires d’un permis d’études ont le droit de travailler au Canada durant toute la durée du permis d’études accordé au titulaire. C’est l’une des raisons qui font qu’étudiants étrangers – y compris les étudiants français – sont de plus en plus nombreux à partir avec leur conjoint, témoigne Miguel Robichaud. Rester au Canada après ses études Le Canada cherche à retenir les étudiants étrangers qui ont fait au moins une partie de leurs études dans le pays. Il est possible d’obtenir un permis de travail postdiplôme et même de faire une demande de résidence permanente sans avoir à quitter le Canada. Le permis de travail postdiplôme. Sa durée de validité ne peut pas excéder celle du programme d’études suivi au terme de huit mois d’études, par exemple, un permis de travail sera accordé pour huit mois. Sa durée maximale est de trois ans. L’expérience acquise sera prise en compte en cas de demande de résidence permanente. Devenir résident permanent. Depuis novembre 2016, le programme Entrée Express, qui s’adresse aux étrangers désireux d’immigrer, est devenu plus favorable à ceux qui ont suivi des études au Canada chaque crédit d’études et chaque diplôme obtenu sont désormais reconnus et permettent d’acquérir des points supplémentaires. Pour finir, Rénald Gilbert, directeur du programme de l’immigration à l’ambassade du Canada à Paris, dresse le portrait-robot de l’immigrant français au Canada il est jeune, il a fait de bonnes études et il a déjà tissé des liens avec l’importance communauté française au Canada. Formation Bachelor en relations internationales et sciences politiques. Durée de formation : 2 ans. Niveau terminal d'études : bac + 2. La Suisse s’efforce de proposer des cadres dirigeants suisses pour occuper des positions stratégiques au sein des organisations internationales. Pour ce faire, le DFAE dispose de divers instruments, qui vont de la promotion de la relève jusqu’à des actions de lobbying ciblées et des campagnes électorales en faveur des candidats. Le travail au sein d’une organisation internationale est généralement très varié, passionnant et gratifiant. Une carrière internationale permet d’élargir ses horizons, de découvrir d’autres pays et cultures et de travailler avec des personnes du monde entier. Les postes de travail étant souvent situés dans des pays qui présentent un contexte difficile, il faut savoir faire preuve d’une certaine flexibilité en termes de qualité de vie et de sécurité et accepter une incertitude contractuelle les organisations internationales ne proposent souvent que des contrats temporaires et de courte durée. Sous le lien suivant, vous trouverez des portraits de Suisses et de Suissesses ayant occupé différents postes au sein des Nations Unies Pourquoi travailler pour l'ONU? Vidéo bref entretien sur les opportunités et les défis d'une carrière à l'ONU avec Mirjana Spoljaric, secrétaire générale adjointe et administratrice assistante au Programme des Nations Unies pour le développement PNUD. Your browser does not support the video tag. © DFAE Promotion de la relève La Suisse finance des postes de jeunes experts associés et de volontaires des Nations Unies, afin d’encourager les jeunes professionnels à intégrer les organisations internationales et assurer ainsi la relève. Pour en savoir plus, veuillez cliquer ici Candidats en recherche d'un premier emploi Programme des Jeunes volontaires des Nations Unies et stages à l'ONU Le DFAE invite une fois par an de jeunes universitaires et étudiants fraichement diplômés à participer à l’International Career Day ICD pour s’informer sur les activités et emplois proposés par des organisations internationales. Vous trouverez de plus amples renseignements sur le site suivant ICD 2022 Intégrer et faire carrière dans les organisations internationales La Suisse peut soutenir des candidatures individuelles à des postes de cadre dirigeant qui présentent un intérêt politique, en pratiquant un lobbying ciblé lors de la sélection finale. Pour pouvoir se prononcer sur un soutien éventuel, le DFAE a besoin du dossier de candidature complet avis de vacance du poste, lettre de candidature, curriculum vitae. Lorsqu’il s’agit de postes pourvus par élection, les autorités fédérales compétentes décident si une candidature officielle sera présentée au nom de la Suisse et quelle sera l’intensité de la campagne électorale. Vous trouverez sur la page ci-après une liste de ressortissants suisses occupant actuellement des postes de cadres dirigeants dans des organisations internationales La Suisse dans les organisations internationales Cinfo, le Centre d'information, de conseil et de formation pour les professions de la coopération internationale, fournit sur son site des informations complémentaires sur tous les types de carrière dans les organisations internationales et apporte son concours pour le processus de candidature. Sur mandat de la Confédération, cinfo offre aux candidates et candidats suisses des services gratuits dans le cadre du soutien apporté à la démarche de candidature. cinfo – Centre d'information, de conseil et de formation pour les professions de la coopération internationale Les personnes qui souhaitent mener une carrière dans une organisation internationale trouveront ci-dessous des liens vers les portails de recrutement qui donnent des informations sur les postes vacants et les processus de candidature Portail inspira pour les offres d’emploi du Secrétariat de l'ONU Fonds, programmes, institutions OSCE Seuls certains postes au sein de l'OSCE sont financés par la Suisse. Leur liste figure sur le site du Pool d'experts pour la promotion civile de la paix. Conseil de l'Europe OCDE Autres possibilités Le Pool d'experts suisse pour la promotion civile de la paix propose des postes dans des organisations internationales. Sur son site, vous trouverez également des postes à l'OSCE qui sont financés par la Suisse. Pool d’experts pour la promotion civile de la paix Le domaine de direction Aide humanitaire et le Corps suisse d'aide humanitaire CSA de la DDC soutiennent, par la mise à disposition de personnel, leurs organisations partenaires. Ce personnel est recruté par le pool du CSA. Coopération au développement et aide humanitaire Les droits de l'homme sont l'une des priorités de la politique extérieure suisse. Les procédures spéciales et les organes conventionnels des Nations Unies, qui garantissent et surveillent la mise en œuvre des conventions existantes relatives aux droits de l'homme, constituent deux mécanismes importants du Conseil des droits de l'homme de l'ONU pour la promotion et la protection des droits de l'homme. Pour les candidats et candidates possédant des compétences reconnues dans le domaine des droits de l'homme, il peut être intéressant de consulter les liens suivants Élection des membres des organes conventionnels Procédure de nomination pour les procédures spéciales Dernière mise à jour Lesformations pour arriver à travailler dans les ressources humaines. Au delà des formations type bachelor, il existe des diplômes de niveau Bac +2 qui donnent accès à ce secteur. BTS gestion PME (petite et moyenne entreprise), qui est dispensé dans des écoles spécialisées publiques ou privées, ou bien dans des lycées. Contenu Introduction 1. Quel est le rôle d’un responsable des relations internationales ? 2. Quelles sont les compétences d’un responsable des Relations Internationales RI ? 3. Quelles études faire pour travailler dans les relations internationales ? Bachelor en Relations Internationales Master en Relations Internationales Master en Business Administration MBA 4. Les débouchés d’une formation en Relations Internationales ? Conclusion Introduction Travailler dans les relations internationales, c’est exercer dans des entreprises qui opèrent sur la scène internationale et promouvoir leurs images auprès de leurs publics cibles. De l’entreprise au gouvernement, et en passant par différents domaines, les études internationales offrent la possibilité d’explorer des univers diversifiés dans un cadre professionnel. Cela vous tente-t-il ? Découvrons ensemble quelles sont les études à faire afin d’y parvenir. 1. Quel est le rôle d’un responsable des relations internationales ? Au sein d’une entreprise ou d’un organisme, un responsable des relations internationales intervient dans l’élaboration stratégique dans le domaine de la politique et de la coopération internationale. Sa mission consiste essentiellement à mettre en œuvre une méthode qui permet de promouvoir l’activité de l’organisme sur la scène internationale. Pour ce faire, il doit développer des relations avec des entités étrangères afin de préparer un terrain d’entente pour élaborer une politique de coopération à l’échelle internationale autour des problématiques communes. Un consultant en relations publiques est également chargé du plan de financement de l’entreprise pour l’atteinte de ses objectifs. Plus précisément, on peut compter parmi ses fonctions Analyse des partenaires nécessaires et disponibles dans les pays d’intérêt ; Instauration des relations avec les acteurs, les partenaires et toute autre partie dont la contribution peut jouer en la faveur des projets; Coordoniation du programme de concrétisation du projet ; Développement des relations avec les médias, les journalistes et les blogueurs du domaine ; Contrôle et évaluation de la réalisation des programmes ; Élaboration du reporting. 2. Quelles sont les compétences d’un responsable des Relations Internationales RI ? Une bonne communication et un relationnel fort sont les compétences qui priment. Représentant l’image de l’organisme dans lequel il exerce, un consultant en relations publiques doit avoir de solides connaissances dans le domaine de l’information et de la communication, et doit être à l’aise avec au minimum deux langues étrangères. Prêt à mener une vie mouvementée, le voyage doit faire partie de ses premiers intérêts. Doté d’un esprit imaginatif, tout en gardant les pieds sur terre, un consultant en relations publiques doit satisfaire les requis du projet tout en respectant le budget qui lui est alloué. Une forte autonomie ainsi qu’une capacité d’adaptation sont également de rigueur. 3. Quelles études faire pour travailler dans les relations internationales ? Une formation en relations internationales permet aux étudiants de maîtriser les théories de l’intégration régionale et des échanges internationaux. Elle passe par deux étapes essentielles, plus un MBA qui est destiné aux personnes souhaitant occuper des postes de haute responsabilité Bachelor en Relations Internationales C’est une formation diplômante de niveau bac+3 dont les frais sont estimés à environ 7500-8000 euros/année. Elle est accessible après la réussite à un concours avec épreuve écrite et entretien de motivation, et est principalement dédiée aux élèves de terminale qui de préférence doivent être issus d’un bac ES. Les étudiants disposant d’un BTS, DUT ou qui sont passés par des classes préparatoires économiques peuvent également accéder au bachelor en deuxième ou troisième année. Le bachelor en relations publiques permet d’acquérir des connaissances généralistes et pluridisciplinaires dans les champs juridiques, administratifs et économiques. Il propose un enseignement pluridisciplinaire au cours duquel différentes matières sont abordées, telles que les sciences politiques, la culture et histoire des peuples, la théorie des relations internationales, les relations extérieures et diplomaties, etc. Durant chaque année, un stage de 4 à 6 semaines est programmé pour mieux se familiariser avec le monde professionnel et décider par rapport à sa spécialisation future. Suite à ce diplôme, le marché de travail est désormais à vous à travers divers métiers pouvant être exercés dans des ONG ou dans des entreprises, mais si vous préférez attarder votre insertion professionnelle, vous pouvez opter pour un master en relations internationales. Master en Relations Internationales Ce diplôme bac +5 donne aux étudiants les clés de compréhension théoriques et méthodologiques pour aborder les problématiques internationales. Il vise à développer les compétences dans l’observation, l’utilisation d’outils d’analyse et la recherche des espaces internationaux. À l’instar du bachelor, le master en relations internationales offre un programme tout aussi fructueux et maintes matières y sont abordées. En fin de cette formation échelonnée sur deux années, un stage d’études est obligatoire afin de rédiger son mémoire et obtenir son diplôme. Les conditions d’entrée au master varient d’un établissement à un autre. Mais celle-ci commence généralement par le dépôt du CV, de la lettre de motivation, des notes obtenues durant le parcours, etc. Suite à cette étape, un entretien de motivation vous attend, et durant lequel vous devez défendre votre candidature en montrant votre motivation. Certains établissements peuvent exiger le passage de certaines épreuves écrites. Ce master n’est pas seulement accessible via un bachelor, mais aussi après une licence en droit, en sciences politiques, en économie ou en histoire. Master en Business Administration MBA C’est une formation qui concerne majoritairement les étudiants ou les cadres souhaitant accéder à des postes de haute responsabilité. D’origine américaine, le MBA Master of Business Administration est une formation prestigieuse, mais très coûteuse 55 000 euros/ année pour faire un MBA à HEC par exemple. Les frais peuvent tout de même être pris en charge par l’entreprise si la formation est effectuée en alternance suite à un contrat de professionnalisation avec l’étudiant. C’est une formation de haut niveau en gestion et management, accessible après un bac+4 ou un bac+5, et qui accueille des étudiants issus de différents horizons. Il permet essentiellement de Acquérir une fonction managériale solide ; Booster sa carrière ; Élargir son réseau de contacts ; Améliorer son salaire ; Effectuer une formation diplômate très reconnue… Les titulaires d’un bac+4 ou d’un bac+5 peuvent postuler à un MBA. Toutefois, une personne ayant un bac+2 ou un bac+3 peut également postuler dans le cas où elle a occupé de nombreux postes encadrés, et donc ayant une belle expérience professionnelle. L’admission s’effectue en déposant un dossier de candidature donnant une visibilité claire du parcours académique et professionnel du candidat. Chargé de projet en ONG ou en organisation internationale ; Expert juridique dans les cabinets de conseil et les instituts de recherche ; Enseignant-chercheur ; Expert en charge de la conduite des projets publics, de l’administration des services ou de la communication politique et institutionnelle ; Analyste politique européenne ; Expert lobbying et affaires publiques… Conclusion Jouant l’interface entre l’entreprise et son environnement externe, un responsable des relations internationales doit mettre en œuvre des stratégies de relations publiques adéquates et offrir des conseils et recommandations dans ce sens pour atteindre les objectifs de l’entreprise. Cet univers complexe attire généralement les étudiants qui ont un fort en communication, un sens de relationnel impeccable, et qui sont aptes à aimer et à comprendre la culture et le mode de vie d’étrangers. Si vous êtes armés de toutes ces qualités, les études internationales sont donc faites pour vous. Aidepersonnalisée au logement (APL) Vous avez prévu de partir étudier à l’étranger et souhaitez conserver votre logement le temps de votre séjour à l’extérieur du pays. Sachez que vous pouvez conserver votre APL si la durée de votre séjour est inférieure à 4 mois. Au-delà de 4 mois, les aides sont suspendues. Contactez-nous pour en savoir plus sur nos programmes Vous souhaitez nous rejoindre ? Est-ce que le commerce international est un secteur qui rémunère bien ? Il existe différents niveaux de spécialisation dans le domaine du commerce international. Les salaires varient donc en fonction du niveau d’étude, ainsi que de l’expérience sur le terrain. Une chose est certaine, s’engager dans une école de commerce promet une rémunération intéressante sur le long terme, dans plusieurs secteurs d’activité. En début de carrière, le commerce international ne paie pas forcément plus que d’autres métiers du commerce, et nécessite plus de compétences. Mais les perspectives d’évolutions nombreuses promettent une évolution salariale importante, allant jusqu’à de très hauts salaires pour les plus confirmés. La fourchette de salaire est donc très large, allant de 2500 euros brut mensuel pour un débutant, jusqu’à 7000 euros brut par mois pour un directeur de réseau confirmé. Le salaire moyen dans le secteur du commerce international, en France, est environ de 27000 euros brut par an, soit 13,85 euros de l’heure pour un débutant. On peut y ajouter, en plus, des primes de résultat. Ce salaire se situe sur fourchette large, allant de 22800 euros brut pour les débutants, jusqu’à 57000 euros brut pour les plus expérimentés. Tout savoir sur le métier de vendeur import / vendeur export En quoi consiste le métier de vendeur import / vendeur export ? Une multitude de grandes entreprises, mais aussi des PME, font appel aux compétences d’un vendeur import/export . Son rôle est multiple et ses taches nombreuses Favoriser le développement de l’entreprise via ses ventes , Gestion logistique des flux d’importation et d’exportation. Effectuer des études de marchéAnalyser les besoins divers de l’entreprise et négocier les contrats. Assurer la coordination de son équipe, ainsi que l’encadrement des autres branches de l’entreprise Distribution, transport, Marketing, achats…. Le vendeur import / Export doit avoir un grand sens de l’autonomie. Il doit faire preuve de stratégie et de diplomatie. Une grande connaissance juridique lui sera demandé, ainsi qu’une maîtrise parfaite de plusieurs langues étrangères. Vendeur import / vendeur export quel est le salaire d’un junior ? Le salaire évolue tout au long de la carrière et des début de parcours, un vendeur Junior peut viser un salaire brut d’environ 2500 euros brut par mois. Son taux horaire net se situera entre 17 et 21 euros environ. Il sera possible d’augmenter son revenu grâce aux primes sur objectifs, fixées par l’employeur. Vendeur import / vendeur export quel est le salaire d’un confirmé / sénior ? Les perspectives d’évolution sont grandes. Après plusieurs années d’ancienneté, l’expérience de la vente permet d’ accéder à des postes de responsable, plus rémunérateurs. Ainsi, le salaire médian d’un commercial sénior se situe aux environs 60000 euros brut par an. Le professionnel disposera alors d’un taux horaire brut supérieur à 32 euros. Quelles sont les études pour devenir vendeur import / vendeur export ? Il existe de nombreux diplômes pour exercer la profession de vendeur import /export. Après 2 ans d’études, le BTS commerce international, le BTS MCO et le BTS NDRC constituent des formations idéales pour accéder à la profession de responsable import/export. En école et à l’ Université, on trouve de nombreux cursus pour se perfectionner dans le domaine. Licence et Masters en commerce, vente, économie. Tout dépendra de l’orientation de son parcours. On peut citer en exemple les Master Marketing Vente, Master Commerce International, Master Economie de l’entreprise et des marchés… Quelles sont les évolutions de carrière pour un vendeur import / vendeur export ? L’évolution possible dépendra de l’expérience du salarié et de la taille de l’entreprise. Pour les plus grandes d’entre elles, un responsable import export pourra aspirer à devenir directeur international. Globalement, l’expérience de la vente export permet d’accéder à un poste de responsable de zone export, de directeur export, voire de direction de filiale à l’etranger. Il s’agira dans la plupart des cas de postes d’encadrement d’équipe de commerciaux. Quels sont les métiers privilégiés dans le commerce international en début de carrière ? Assistant Import/Export pour un débutant, à l’issue d’un bac professionnel, le métier d’assistant import /export est accessible. Il s’occupe des démarches administratives et logistiques à l’international. Il gère le transit des commandes, de la livraison jusqu’au paiement. D’autres éléments annexes viendront s’y greffer. Relation client, négociation des ventes, organisation du transport, facturation, douanes… Responsable des achats Il est à l’initiative du cahier des charges qu’il élabore en partenariat avec les fournisseurs. Il est chargé de la négociation et conclut les achats de biens au prix le plus intéressant. Il veille au respect de la qualité des produits ainsi que leur délai de livraison. Attaché commercial Sa mission consiste à augmenter le chiffre d’affaires de l’entreprise. Il est chargé de mettre en avant les offres commerciales. Il s’occupe de la prospection, la signature des contrats et du développement du portefeuille de sa clientèle. Assistant chef de produit En assistant le chef de produit, il participe à l’élaboration et la mise en rayon de biens, conformément au cahier des charges technique. Il est à l’origine des campagnes promotionnelles ainsi que d’ études de marché des futurs produits commercialisés à l’international. Quels sont les métiers dans le commerce international qui payent le mieux ? Comme dans tous secteurs, on trouve une grande disparité de salaires selon la branche. Trois domaines sortent particulièrement du lot. Responsable import-Export Il est à l’origine des mouvements d’importation et d’exportation dont l’entreprise a besoin. Il gère les stocks, la coordination des équipes, analyse le cahier des charges, négocie les contrats… Même si la rémunération dépend de différents facteurs Taille de l’entreprise, niveau d’études… Un responsable confirmé touche environ 45000 euros brut par an. Responsable des ventes Export Il encadre une équipe de commerciaux, en constant déplacement à l’etranger. Il étudie les stratégies concurrentes, réalise des études de marché, entretient la fidélisation avec ses clients par la prospection, négocie et investit dans les réseaux de distribution. Sa rémunération brute est d’environ 52000 euros brut par an. Ingénieur technico-commercial Il est à la fois commercial, connaît à ce titre parfaitement les biens qu’il vend et sait négocier en conséquence. Mais il se distingue par une double casquette, celle d’être démonstrateur, assistant technique, prospecteur. Il est également chargé des études de marché. Un ingénieur qualifié peut gagner jusqu’à 38000 euros brut. EN SAVOIR PLUS Ecole de commerce international guide, carrière, matièresGuide complet des études en commerce international Licence commerce international débouchés, prix, programmeTout savoir sur le bachelor commerce international guide, tarif, programme Tout savoir sur le master en commerce international programme, prix, débouchésQu’est-ce qu’un BUT commerce international TC ? Quels sont les métiers du commerce international ? Quels sont les débouchés du commerce international ? Trouver un stage en commerce international annonces, conseils Trouver une alternance en commerce international annonces, conseils Un guide pratique du droit du commerce international Définition commerce international enjeux, flux, tendances Mis à jour le 19 mai 2022

Étudieren Australie. L’Australie fait partie des grands favoris pour les étudiants souhaitant poursuivre des études à l’étranger puisque le pays, grâce à sa grande flexibilité dans

Rouages indispensables au bon fonctionnement des entreprises, les métiers de la gestion se révèlent peu sensibles aux crises économiques. Toutefois, pour intégrer l’une des nombreuses professions de ce domaine, les candidats doivent se démarquer à travers leurs compétences et leurs qualités professionnelles ainsi que personnelles. Les métiers de la gestion Au cœur du fonctionnement d’une entreprise, la gestion constitue hier comme aujourd’hui un secteur dynamique et porteur pour les jeunes diplômés. En effet, les études dans ce secteur ouvrent les portes à de nombreux débouchés professionnels. Pouvant être recrutés aussi bien par les grands cabinets que par les entreprises après seulement quelques années d’expérience, les jeunes diplômés bénéficient de belles perspectives de carrière et d’évolutions de salaire. Parmi les métiers accessibles, l’on retrouve celui d’auditeur financier, dont le travail consiste à examiner tous les comptes et la gestion de l’entreprise, et celui de manager financier optimisant les performances financières de la structure. Ceux qui désirent travailler dans la gestion peuvent aussi s’orienter vers une carrière de responsable comptable assurant la comptabilité générale de l’entreprise ou de contrôleur de gestion contrôlant, mesurant et analysant les performances des activités de la société. D’autres métiers peuvent être exercés dans ce domaine, notamment responsable du contrôle de gestion, trésorier d’entreprise, expert en gestion de patrimoine ou encore gestionnaire des capitaux. Les compétences et qualités requises pour travailler dans la gestion Pour se démarquer et attirer l’attention des recruteurs, une large palette de compétences est nécessaire pour travailler dans la gestion et assurer la bonne réalisation des missions liées à chaque métier. En termes de connaissances techniques, les candidats doivent entre autres maîtriser la gestion financière, le fonctionnement des marchés financiers ou encore la comptabilité générale. Une bonne maîtrise des outils informatiques et de l’anglais est aussi nécessaire dans cette branche d’activités. Peu importe la profession, travailler dans la gestion demande également diverses qualités comme une grande capacité de communication, de conseil et de négociation. Les candidats doivent aussi faire preuve d’autonomie, de rigueur et d’intégrité. En outre, avoir une personnalité curieuse et ouverte d’esprit est nécessaire dans ce domaine. Le BTS Comptabilité gestion de l’ESG Finance Pour travailler dans le domaine de la gestion, les bacheliers peuvent commencer leurs études par le BTS comptabilité gestion anciennement appelé BTS CGO proposé au sein de l’ESG Finance. En effet, cette formation se déroulant sur deux ans offre les bases nécessaires du point de vue technique et organisationnel dans le domaine comptable. L’obtention de ce diplôme d’État permet aux étudiants d’intégrer directement le marché du travail ou d’approfondir davantage leurs connaissances à travers l’un des mastères de l’établissement.
Bonjour je suis actuellement en première S, et mon but final serait de faire des études dans les statistiques. J'aimerais savoir quel est le meilleur parcours à part la prépa pour accéder à
La première étape à franchir lorsque vous décidez de vous lancer dans l’événementiel est le choix de l’école. Cela déterminera le cursus précis qui vous permettra de vous spécialiser. Prenez donc le temps de bien réfléchir à la carrière que vous souhaitez mener. Soyez prêt parce qu’intégrer le milieu requiert des qualités personnelles, mais aussi des compétences techniques et des connaissances. Les exigences sont nombreuses, d’où la nécessité de suivre une formation et décrocher un diplôme. Trouvez les meilleures prestataires événementiels Déchargez vous de toute la partie recherche pour l’organisation de votre événement. Nos équipes s'occupent de comparer, d’analyser puis de vous proposer les meilleures prestations directement et sans frais. Pour travailler dans l’événementiel, il est nécessaire de présenter certaines qualités. La concurrence est rude dans ce domaine et pour se faire une place il est indispensable de se former pour acquérir des compétences professionnelles. De multiples options s’offrent à vous. Dans tous les cas, choisissez celui qui correspond le mieux à vos objectifs et à vos projets. Voici donc les meilleures études et formations pour travailler dans l’événementiel, à vous de choisir votre école ! Choisir une école en événementiel de niveau Bac+2Les écoles et formations à l’événementiel de niveau bac+3Une école en événementiel de niveau bac+5 pour le maximum de compétencesLes écoles et formations en ligne Choisir une école en événementiel de niveau Bac+2 Si vous optez pour des études courtes, il est possible d’accéder aux métiers de l’événementiel par le biais de BTS et de DUT. Parmi les meilleurs tremplins de niveau Bac+2, on compte notamment le BTS Tourisme, le DUT Information et Communication, ou le BTS Communication. De nombreux établissements proposent ces formations avec une spécialité dans l’événementiel. Cependant, ces diplômes de niveau Bac+2 ne suffisent généralement plus à trouver du travail dans l’événementiel. Pour cause, elles sont trop focalisées sur l’aspect communication du métier et pas assez sur les aspects opérationnels. Il est donc nécessaire de se tourner vers une licence professionnelle de niveau bac+3, ou même vers une formation de niveau bac+5. Trouvez les meilleures prestataires événementiels Déchargez vous de toute la partie recherche pour l’organisation de votre événement. Nos équipes s'occupent de comparer, d’analyser puis de vous proposer les meilleures prestations directement et sans frais. Les écoles et formations à l’événementiel de niveau bac+3 Pour une formation universitaire à l’événementiel de niveau bac+3, il est possible d’opter pour une licence ou une licence professionnelle management de l’événementiel, ou métiers de la communication avec spécialité dans l’événementiel. Vous pouvez aussi vous tourner vers un Bachelor dans une école. En France, on compte plus de 42 Bachelors dans l’événementiel. Choisissez celui qui correspond à vos ambitions. Parmi les meilleurs, on compte le Bachelor Chef de Projet événementiel de l’ISEFAC. Ce Bachelor se décline en 6 modules spécialisés événementiel sportif associatif, caritatif et humanitaire luxury Event événementiel de la Mode wedding et Event Planning tourisme d’affaire et hôtellerie événementiel culturel, artistique et spectacles Vous pourrez donc choisir le domaine d’activité qui vous passionne. De son côté, l’Events Management School délivre un cursus Bac+3 agrémenté de missions professionnelles. Idéal pour se confronter à la réalité du métier sur le terrain. Cette école profite en plus de l’expérience et du réseau du groupe IGS, fondé en 1975, dont elle fait partie. L’Efficom du groupe Sciences-U, située à Montrouge, propose quant à elle un Bachelor Communication option RP – Evenementiel. En Suisse, L’Institut de Hautes Etudes Glion propose depuis 2001 son » Bachelor Degree en Management Evénementiel, Sport et Loisirs . En troisième année, les étudiants peuvent choisir parmi quatre spécialités Le Bachelor en Management Evénementiel, Sport et Loisirs, Bachelor en Management Evénementiel International, Bachelor en Management Sportif International ou le Bachelor en Management du Marketing et de la Communication pour l’événementiel, les sports et les loisirs Une école en événementiel de niveau bac+5 pour le maximum de compétences Pour une formation de niveau bac+5 aux métiers de l’événementiel, il est possible d’opter pour un Master universitaire. En France, on compte 24 Masters Evénementiel. Il est aussi possible de se tourner vers un Master d’un autre domaine avec spécialisation Evénementiel. L’UPEM propose un Master Tourisme TACE Tourisme d’affaires, Congrès et Événementiel. Cette formation est accessible après avoir validé une L3 ou équivalent dans les domaines de l’éco gestion, LEA ou SHS et autres. Le département Science de l’information et de la communication de l’Université Grenoble 3 propose quant à lui un Master Communication événementielle. L’accent est donc mis sur l’aspect communication du métier. A l’Université d’Angers, il est possible de s’inscrire au Master Hôtellerie-restauration événement. Ici, l’événementiel est donc inextricablement lié au domaine de l’hôtellerie et de la restauration. Du côté de l’Université Nice Sophia Antipolis, c’est un Master 2 pro “ Événementiel, Médiation et Ingénierie de la Culture “ EMIC qui vous est proposé. Les étudiants intéressés avant tout par l’événementiel culturel pourront donc se diriger vers le sud de la France. Outre les formations universitaires, il est bien entendu possible de se tourner vers une école spécialisée dans l’événementiel ou une école de commerce / communication / marketing / management proposant une spécialisation dans l’événementiel. L’une des meilleures écoles spécialisées dans l’événementiel est l’EPH Ecole de communication, tourisme et événementiel de Paris. Celle-ci propose deux formations d’excellence aux métiers de l’événementiel Chargé de projets événementiels, et International Event Tourism Management “. De son côté, l’école de commerce et de marketing ISTEC propose une spécialisation “ Marketing et management événementiel “ en cinquième année. Une formation qui vous permettra d’acquérir les compétences nécessaires à la création et à la réalisation d’un événement sportif, culturel, ou au profit d’une entreprise. De même, l’ESC La Rochelle délivre un MSc Tourism Management Evénementiel / Hospitality / Destinations. L’EMI Strasbourg propose également un M2 Marketing et gestion d’événements. Les écoles et formations en ligne L’avancée de la technologie numérique propose désormais plusieurs manières de suivre des cours en ligne. Qu’il s’agisse de simples formations ou de cursus académique, vous pouvez intégrer une école d’événementiel depuis chez vous. D’ailleurs, l’EIC Events Industry Council vient de lancer sa formation dédiée à l’événementiel en ligne au début de cette année 2020. Grâce à cette opportunité, tous ceux qui le souhaitent peuvent devenir des professionnels certifiés du secteur. Accès aux webinaires, cours spécialisés, sujets d’actualités et d’autres éléments sont mis à disposition pour ce faire. Soulignons que la plateforme est accessible à tous, partout dans le monde. L’Ecole Française des Créateurs et Décorateurs d’événements propose également plusieurs formations à distance. Vous avez le choix entre trois modules wedding planner, pour ceux qui souhaitent se spécialiser dans l’organisation des mariages. Le volet wedding designer se consacre à l’apprentissage du métier de décorateur événementiel. La troisième possibilité englobe le MICE Meeting, Incentive, Conventions, Exhibition. Votre événement arrive à grand pas ? Faites appel à notre équipe de spécialistes qui se chargera de trouver les prestataires qu’il vous faut dans les plus bref délais. Un événement inoubliable en un temps record !
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