Adapter un jeu vidéo américain au public français, enseigner le chinois à des cadres expatriés, négocier avec des fournisseurs indiens, organiser des séjours à l’étranger… les débouchés offerts aux polyglottes sont nombreux et variés. De la traduction à l’enseignement en passant par le tourisme, le commerce ou la diplomatie découvrez, grâce à ce titre de la collection "Parcours", les métiers des langues et de l’international. Une enquête de terrainIntégrer la Commission européenne, c'est possible ? Y a-t-il des postes en interprétation de conférences ? Il faut réussir un concours pour y accéder ? Peut-on gagner sa vie en tant que chargé de mission humanitaire ? On doit passer par Science Po pour être fonctionnaire international ? Être bilingue, ça suffit pour devenir concierge d’hôtel ? Avoir fait des séjours linguistiques, c’est indispensable ? Celui qui fait le sous-titrage de film, c’est un traducteur ? On peut travailler dans l’import-export ou dans le tourisme sans avoir fait d’études de langues ? Quelle différence entre interprète de liaison et interprète judiciaire? Que fait un analyste ? Les guide conférenciers sont-ils salariés ? Comment sont-ils rémunérés ? Il faut un niveau bac+5 pour exercer comme professeur de langues ? C’est facile de partir à l’étranger pendant ses études ? Tout le monde peut profiter du programme Erasmus ? En quoi consiste le volontariat international en entreprise ?Pour répondre à toutes ces questions, pour une part transmises par les jeunes et leurs familles au service d'information personnalisé ou sur les salons étudiants, cet ouvrage s'appuie sur une enquête de terrain auprès d'experts, de responsables de formations, de professionnels en activité et de jeunes outils pour construire son projetEn ouverture de la publication, une planche illustrée propose de choisir un métier à partir de ses goûts avoir l’envie de voyager et aptitudes avoir le sens du contact.Ensuite, un reportage en images au siège de la Commission européenne à Bruxelles présente l’activité de professionnels engagés au service de l’Union trentaine de métiers sont ensuite passés en revue, réunis autour de 5 domaines commerce, enseignement, relations internationales, tourisme, traduction. Plus de la moitié des métiers sont présentés par des professionnels qui racontent leur quotidien, avec en regard les rubriques salaires, débuts et avoir répondu aux 5 questions à se poser avant de se lancer dans une formation, la partie études recense les diplômes comportant un volet important en langues et les cursus ouvrant à l’international BTS, parcours universitaires BUT, licences pro, licences, masters, formations spécialisées tourisme, traduction, relations internationales…, IEP et écoles commerce. En tenant compte des familles de métiers. Cinq jeunes diplômés reviennent sur les étapes clés de leur parcours d’ partie emploi présente les entreprises du secteur, les conditions de travail et les compétences attendues. Cinq professionnels reviennent sur leurs débuts comme fonctionnaire européen, interprète de conférence, dans l’humanitaire, dans le tourisme été en volontariat le guide pratique propose la liste des formations avec les établissements qui y préparent, les sites utiles pour compléter son enquête, ainsi que les ressources Onisep. Comment se procurer cette publication de l'Onisep ?Les métiers des langues et de l’international,en vente dans notre librairie en ligneLobjectif de l’UE 5 « Travailler dans les relations internationales » vise à fournir tout un ensemble de savoir-faire pratiques en vue d’une professionnalisation et d’une future entrée dans les carrières internationales. Contact. Sciences Po Strasbourg. 7, rue de l'Écarlate - CS20024 67082 STRASBOURG CEDEX 0368858400 Formulaire de contact. MASTER - Relations internationales Les relations internationales désignent les relations multiformes entretenues entre les individus, les organisations privées et les institutions publiques d’États distincts. Au niveau de la formation, les relations internationales sont une sous-spécialisation de la science politique. Les étudiants intéressés par cette discipline peuvent faire un master relation internationale à lyon. Très généraliste, ce cursus permet d’acquérir diverses compétences en sciences politiques et géopolitiques. Il prépare ainsi à un large panel de métiers. Découvrez notre tour d’horizon des métiers des relations internationales. Sommaire 1 Analyste2 Responsable relations internationales3 Conseiller stratégique4 Analyste géopolitique5 Journaliste6 Responsable communication internationale7 Manager humanitaire 1 Analyste Analyste de stratégie internationale, analyste en intelligence économique ou encore analyste politique européenne… Ces métiers, généralement accessibles après un master au moins, exigent une bonne capacité d’analyse des problématiques de différents ordres économique, politique, social, financier, etc.. Après avoir analysé la situation, il va mettre en place de recommandations pertinentes et proposer des solutions permettant aux décideurs et autres directeurs d’entreprise de réagir à ces problématiques, voire les anticiper. 2 Responsable relations internationales Diplomate, autonome et capable de s’adapter dans des contextes multiculturels, le responsable relations internationales est en mesure de motiver et fédérer ses équipes et les mobiliser autour d’objectifs communs. Sa maîtrise des contextes, des marchés internationaux et des règles de droit de la concurrence lui permettent d’adapter ses stratégies en fonction du pays ciblé. Il s’agit de ce fait d’une fonction stratégique et indispensable pour les entreprises qui souhaitent s’internationaliser. 3 Conseiller stratégique En indépendant ou au sein d’un cabinet de conseil, le conseiller stratégique, ou consultant en stratégie, met son expertise et ses connaissances au service des dirigeants de grandes entreprises ou des États. Il identifie les actions à même de permettre à ces derniers d’atteindre leurs objectifs stratégiques. Pour ce faire, il va analyser la situation actuelle, détecter les risques et formuler des préconisations adéquates. 4 Analyste géopolitique Spécialiste d’une zone géographique en particulier, il a une parfaite connaissance des différents problèmes d’ordre politique et sécuritaire la concernant. Son expertise et sa parfaite maîtrise des méthodes analytiques lui permettent de proposer des analyses détaillées de la situation dans cette zone géographique, de quoi aider les politiciens et les hommes d’affaires à avoir une vision plus claire et prendre des décisions pertinentes, que ce soit en matière d’investissement, de relations diplomatiques ou autres. 5 Journaliste Le journaliste spécialiste des relations internationales propose ses analyses en forme de billets, articles de presse, interventions sur les plateaux radio et télé, reportages, etc. En bon connaisseur des relations internationales, il peut se spécialiser dans une zone géographique donnée Moyen-Orient, Chine, Amérique du Nord… Il analyse les événements en les mettant en rapport avec d’autres faits survenant dans différentes régions du monde, pour obtenir une vision globale, neutre et objective. 6 Responsable communication internationale Le responsable communication internationale, ou chargé de communication internationale, met au point une stratégie de communication pour promouvoir son entreprise à l’international. Cette stratégie doit être adaptée aux spécificités des marchés ciblés et prendre en considération la dimension interculturelle, ainsi que les besoins et les attentes des consommateurs dans les pays concernés. Il a également pour mission de formuler des conseils et des préconisations à destination de la direction générale, visant à améliorer davantage la communication internationale. 7 Manager humanitaire Ce métier humanitaire consiste à déterminer les besoins des populations dans des contextes de crises humanitaires conflits armés, famine, catastrophes naturelles, etc.. Son objectif consiste à mobiliser les moyens et les outils nécessaires pour venir en aide aux populations sinistrées de la manière la plus efficace et la plus rapide qui soit. Il va ainsi chercher les financements nécessaires, superviser l’organisation des missions humanitaires, mettre en place un plan d’action, etc. Il va également constituer les équipes nécessaires pour mener les opérations sur le terrain. A lire également Comment travailler dans l’humanitaire ?
ChoisirErasmus+. Les étudiants peuvent séjourner à l’étranger, en Europe comme à l’international. Ils peuvent participer au programme Erasmus+, quel que soit la discipline, le cycle d’études ou le diplôme préparé. Ce séjour est reconnu pour obtenir le diplôme préparé en France.
Le Canada est l’un des pays les plus accueillants pour les étudiants étrangers ils sont chaque année près de 300 000 à suivre un cursus d’études supérieures dans un établissement canadien, parmi lesquels plus de 20 000 étudiants français. Selon une récente enquête du ministère de l’immigration du Canada, le nombre de Français qui font une demande de permis d’études augmente en moyenne de 8,9 % chaque année. Le pays compte 93 universités, dont plusieurs sont classées parmi les meilleures du monde. C’est notamment le cas des 5 meilleures universités du pays selon le classement du Times Higher Education l’université de Toronto, l’université de Colombie-Britannique Vancouver, l’université McGill Montréal, l’université McMaster Hamilton, en Ontario et l’université de Montréal. La plupart des étudiants français choisissent de s’inscrire dans l’une des 14 universités francophones du Québec. De fait, la Belle Province pratique une politique d’accueil particulièrement dynamique. Pourtant, il est parfaitement possible de faire des études en français dans d’autres provinces canadiennes tout en vivant dans un environnement anglophone. “Le Canada tient à maintenir la balance entre les deux langues et de nombreux établissements universitaires font des efforts en ce sens”, souligne Miguel Robichaud, premier secrétaire à l’ambassade du Canada à Paris. Comment présenter une demande d’admission ? Obtenir un permis d’études ? Quel est le montant des frais de scolarité pour les étudiants français ? Peut-on espérer décrocher une bourse ? Où se loger ? Comment obtenir un permis de travail ou rester au Canada après la fin de son cursus ? Voici les réponses et les conseils de Miguel Robichaud et de Jacques-Henri Gagnon, chargé des relations universitaires à l’ambassade du Canada à Paris, accompagnés de nombreux liens vers des articles consacrés aux études au Canada par Courrier Expat ainsi que par notre partenaire Le Monde Campus. Partir après le bac Présenter une demande d’admission. La première chose à faire, pour un étudiant désireux de préparer en trois ou quatre ans un baccalauréat canadien l’équivalent de la licence est de choisir le programme auquel il veut s’inscrire pour pouvoir présenter une demande d’admission auprès d’un établissement d’enseignement postsecondaire. La lettre d’admission délivrée par l’université est indispensable pour obtenir un permis d’études auprès des services de l’immigration. Le site EduCanada tient à jour un Répertoire des établissements d’enseignement au Canada. Le même site offre un outil de recherche sur les programmes d’études postsecondaires par profession visée et par province. Chaque université canadienne définit ses propres critères d’admissibilité. Il faut donc impérativement se renseigner auprès de chaque établissement. Il est recommandé de présenter sa demande d’admission bien à l’avance – idéalement, un an à l’avance. “Mais beaucoup d’universités restent relativement souples, précise Jacques-Henri Gagnon. Un étudiant qui présente un très bon dossier en juillet peut même être admis pour la rentrée d’automne.” Les sessions d’information du Centre culturel canadien. L’ambassade du Canada à Paris organise régulièrement des sessions d’information sur les études au Canada au Centre culturel canadien. “Il y a plus d’une centaine d’événements chaque année autour de ce thème, explique Jacques-Henri Gagnon. Le plus simple, pour un étudiant français qui veut s’inscrire dans une université canadienne, est de venir à l’un de ces événements. Les universités canadiennes se déplacent pour l’occasion. Les responsables des admissions sont là et il est tout à fait possible de repartir avec en poche sa lettre d’admission.” Le système québécois. Le système postsecondaire québécois présente une spécificité le passage par l’un des 48 collèges d’enseignement général et professionnel Cégep y est obligatoire, pour tous ceux qui ont fait leurs études secondaites au Québec, avant d’accéder à l’enseignement supérieur. Cette disposition ne concerne pas les étudiants français le bac est reconnu comme le iplôme donnant directement accès à l’université. Postuler en échange universitaire De nombreux programmes d’échange. Un étudiant qui a commencé ses études en France peut bénéficier des très nombreux accords d’échanges passés entre les universités françaises et les établissements canadiens, y compris les universités anglophones. Il convient de se renseigner directement auprès du service des relations internationales de son université. “De nombreuses ententes existent entre établissements. Les étudiants français ne connaissent pas toujours les opportunités qui leur sont offertes, et pas seulement au Québec”, regrette Jacques-Henri Gagnon. Parmi les programmes d’échanges les plus connus, le Bureau de coopération interuniversitaire ex-programme Crepuq a pour objectif de permettre aux étudiants français d’effectuer un semestre ou une année d’études au sein d’une université québécoise. Il est accessible à tout étudiant français qui a déjà effectué au moins une année d’études supérieures. Les avantages. “Partir dans le cadre d’un programme d’échange présente un double avantage d’une part, l’étudiant n’a pas à payer de frais de scolarité au Canada ; d’autre part, son université se charge souvent de la plupart des démarches administratives”, souligne Jacques-Henri Gagnon. Attention dans les universités anglophones, le TOEFL ou une attestation de niveau de langue sont souvent exigés. Cursus et pédagogie Le schéma des études postsecondaires au Canada présente certaines différences qu’il faut connaître avec celui des études supérieures en France. Le baccalauréat ou bachelor, qui équivaut à notre licence, se prépare généralement en quatre ans. Au Canada, on entre donc souvent en master en cinquième année d’études postsecondaires. C’est surtout au niveau de la pédagogie mise en œuvre que les différences sont le plus marquées apprentissage par problèmes, classe inversée et formation mixte sont en vogue dans un pays leader dans ces nouvelles méthodes d’apprentissage. “Il y a très peu de cours magistraux, explique Jacques-Henri Gagnon. On travaille en équipe, par atelier, et on utilise beaucoup Internet et les nouvelles technologies de communication. Mais les professeurs sont toujours accessibles pour leurs étudiants dans leur bureau aux heures ouvrables. Au niveau du contrôle des connaissances, les enseignants ont une grande marge de manœuvre. Il y a en principe deux sessions d’examens, en automne et en hiver. Mais le contrôle continu et la participation sont largement pris en compte. Il y a une grande proximité entre étudiants et enseignants. Tout vise à l’acquisition de compétences et le maximum est fait pour que le jeune devienne autonome.” Frais de scolarité et budget Les frais de scolarité sont plus élevés au Canada que dans les universités françaises, mais étudier au Canada reste beaucoup moins onéreux, pour un étudiant français, qu’étudier aux Etats-Unis ou au Royaume-Uni. Au Québec. Depuis la rentrée 2015, les frais d’inscription ont augmenté pour les étudiants français qui s’inscrivent en premier cycle dans une université québécoise ils paient désormais les mêmes droits que les Canadiens non québécois, soit un peu plus de 4 000 euros par an les autres étudiants étrangers paient beaucoup plus cher !. Beaucoup de cursus offerts par les universités québécoises n’en restent pas moins attrayants pour les étudiants français. Un exemple parmi d’autres le “Bachelor of commerce” de la prestigieuse faculté de Montréal, qui compte 17 % d’étudiants français. La fourchette des frais de scolarité. Selon Jacques-Henri Gagnon, les frais de scolarité pour un étudiant français peuvent courir, selon les universités, de 6 000 à 12 000 dollars canadiens environ de 4 000 à 8 000 euros. Mais là encore des ententes avantageuses du point de vue financier existent avec les universités françaises. C’est le cas à l’université d’Ottawa, qui pour attirer les francophones a décidé de baisser leurs frais de scolarité à 4 800 euros. Seule condition demandée par cet établissement de la capitale du Canada que les étudiants choisissent au moins trois cours enseignés en français neuf crédits par session. Coût de la vie. Il existe une différence importante au niveau du coût de la vie entre des métropoles telles que Toronto ou Montréal, relativement chères, et les villes moyennes. “Une étude de l’université du Nouveau-Brunswick montre que pour un étudiant français habitant en région il n’est pas plus coûteux de venir étudier dans cette province canadienne que de choisir d’étudier à Paris”, souligne Jacques-Henri Gagnon. De son côté, Emma Roussel, coordinatrice des journées Etudier au Québec, assure que l’année passée au Québec revient tout compris à 15 000 euros voyage, logement, inscription, vie quotidienne…, 20 000 euros à Montréal, soit “pas plus cher qu’une année d’études à Paris”. Obtenir un permis d’études Pas besoin de permis d’études pour un étudiant qui envisage de suivre un programme qui dure six mois ou moins. Dans les autres cas, le permis d’études, qui s’obtient auprès des services de l’immigration canadiens, est obligatoire. Pour déposer en ligne une demande de permis d’études, il faut avoir été admis dans un “établissement d’enseignement désigné” toutes les universités canadiennes figurent dans la liste et avoir reçu sa lettre d’acceptation. Les délais de traitement peuvent varier en fonction du nombre de demandes. Pour les jeunes Français, il est en principe de deux semaines. Le permis d’études est accompagné de l’AVE indispensable pour les citoyens français. Pour obtenir le permis d’études, l’étudiant doit prouver qu’il dispose d’assez d’argent pour couvrir les frais de sa première année de séjour au Canada, soit environ 10 000 dollars canadiens 6 600 euros. “Une attestation de ressources des parents, un extrait de compte en banque font l’affaire”, précise Miguel Robichaud. Pour étudier au Québec. La province du Québec a une exigence supplémentaire les étudiants étrangers qui souhaitent déposer une demande de permis d’études doivent auparavant obtenir un certificat d’acceptation du Québec CAQ auprès des Services d’immigration du Québec. “La procédure peut sembler complexe, elle est en réalité très libérale, souligne Miguel Robichaud. L’étudiant qui veut faire ses quatre années complètes au Canada se verra accorder un permis d’études valable pour la durée totale de son séjour au Canada pouvant aller jusqu’à cinq ans. Ce qui lui permettra de compléter son cursus ou même de changer d’orientation tout en restant au Canada.” Les bourses Les étudiants qui partent après le bac peuvent bénéficier de bourses octroyées par certains établissements canadiens. Certaines provinces, comme les provinces Atlantiques, l’Ontario, le Nouveau-Brunswick ont en outre pris des dispositions favorables aux étudiants francophones, y compris au niveau du premier cycle. Il faut s’informer directement auprès des universités. Pour ceux qui partent en échange. Il existe plusieurs types d’aides financements du conseil départemental, du conseil régional ou du Crous. Pour les plus avancés. Plusieurs programmes de bourses canadiens, axés sur la recherche, sont ouverts aux étudiants français dès la dernière année de la licence comme les bourses Mitacs et Campus France. D’autres comme les bourses d’études supérieures du Canada Vanier s’adressent aux étudiants français au niveau du doctorat. Trouver un logement “Nous conseillons aux étudiants étrangers de se loger sur le campus, en résidence étudiante, la première année, explique Jacques-Henri Gagnon. L’université où ils sont inscrits pourra leur venir en aide dans tous les aspects de leur vie. En revanche, à partir de la deuxième année passée au Canada, nous conseillons une colocation en ville, toujours dans le but de favoriser la meilleure intégration possible. Le système fonctionne très bien au Canada, il n’y a pas besoin de garants et il est très bon marché.” Ce choix est d’ailleurs celui de nombreux étudiants canadiens. Concernant la colocation, un reportage du quotidien La Presse atteste que jeunes Montréalais et étudiants expatriés vivent très bien l’expérience. “A Montréal ou à Toronto, d’anciens hôtels ont été transformés en résidences étudiantes. C’est un nouveau service qui recueille un certain succès”, complète Jacques-Henri Gagnon. De toutes les grandes villes canadiennes, Montréal est par ailleurs celle qui affiche les loyers les plus bas 760 dollars canadiens 520 euros pour un appartement de quatre pièces. A noter tous les campus canadiens sont dotés d’un bureau médical très bien équipé. Les jobs étudiants Travailler sur le campus. Il est possible pour un étudiant étranger de travailler sur le campus de son université sans permis de travail, à condition d’être titulaire d’un permis d’études en cours de validité. Seule obligation faire une demande de numéro d’assurance sociale NAS. Travailler hors campus. Un étudiant étranger titulaire d’un permis d’études peut travailler 20 heures par semaine hors campus sans avoir besoin d’un permis de travail. Le numéro d’assurance sociale est indispensable. “Le marché du travail est très souple, assure Miguel Robichaud. Une entreprise qui veut employer un étudiant étranger n’a aucune démarche spécifique à effectuer. Un étudiant francophone n’aura pas de difficulté à trouver un job d’étudiant. Attention, si vous êtes parti en touriste, ne comptez pas travailler au Canada. Le permis d’études est indispensable.” Travailler dans le cadre d’un stage. De nombreux collèges et universités canadiens proposent des programmes de stages en alternance pour ajouter au cursus une expérience en entreprise. Les étudiants étrangers souhaitant s’inscrire à un programme coopératif ou à un programme de stage doivent obligatoirement demander un permis de travail en plus du permis d’études. “C’est un malentendu fréquent avec les étudiants au Canada, un stage effectué en cours d’études est assimilé à un travail et un permis de travail est nécessaire”, souligne Miguel Robichaud. Les étudiants étrangers partis dans le cadre d’un programme d’échange ne sont en revanche pas autorisés à travailler durant leur séjour. A noter les conjoints d’étudiants titulaires d’un permis d’études ont le droit de travailler au Canada durant toute la durée du permis d’études accordé au titulaire. C’est l’une des raisons qui font qu’étudiants étrangers – y compris les étudiants français – sont de plus en plus nombreux à partir avec leur conjoint, témoigne Miguel Robichaud. Rester au Canada après ses études Le Canada cherche à retenir les étudiants étrangers qui ont fait au moins une partie de leurs études dans le pays. Il est possible d’obtenir un permis de travail postdiplôme et même de faire une demande de résidence permanente sans avoir à quitter le Canada. Le permis de travail postdiplôme. Sa durée de validité ne peut pas excéder celle du programme d’études suivi au terme de huit mois d’études, par exemple, un permis de travail sera accordé pour huit mois. Sa durée maximale est de trois ans. L’expérience acquise sera prise en compte en cas de demande de résidence permanente. Devenir résident permanent. Depuis novembre 2016, le programme Entrée Express, qui s’adresse aux étrangers désireux d’immigrer, est devenu plus favorable à ceux qui ont suivi des études au Canada chaque crédit d’études et chaque diplôme obtenu sont désormais reconnus et permettent d’acquérir des points supplémentaires. Pour finir, Rénald Gilbert, directeur du programme de l’immigration à l’ambassade du Canada à Paris, dresse le portrait-robot de l’immigrant français au Canada il est jeune, il a fait de bonnes études et il a déjà tissé des liens avec l’importance communauté française au Canada.
Formation Bachelor en relations internationales et sciences politiques. Durée de formation : 2 ans. Niveau terminal d'études : bac + 2.
La Suisse s’efforce de proposer des cadres dirigeants suisses pour occuper des positions stratégiques au sein des organisations internationales. Pour ce faire, le DFAE dispose de divers instruments, qui vont de la promotion de la relève jusqu’à des actions de lobbying ciblées et des campagnes électorales en faveur des candidats. Le travail au sein d’une organisation internationale est généralement très varié, passionnant et gratifiant. Une carrière internationale permet d’élargir ses horizons, de découvrir d’autres pays et cultures et de travailler avec des personnes du monde entier. Les postes de travail étant souvent situés dans des pays qui présentent un contexte difficile, il faut savoir faire preuve d’une certaine flexibilité en termes de qualité de vie et de sécurité et accepter une incertitude contractuelle les organisations internationales ne proposent souvent que des contrats temporaires et de courte durée. Sous le lien suivant, vous trouverez des portraits de Suisses et de Suissesses ayant occupé différents postes au sein des Nations Unies Pourquoi travailler pour l'ONU? Vidéo bref entretien sur les opportunités et les défis d'une carrière à l'ONU avec Mirjana Spoljaric, secrétaire générale adjointe et administratrice assistante au Programme des Nations Unies pour le développement PNUD. Your browser does not support the video tag. © DFAE Promotion de la relève La Suisse finance des postes de jeunes experts associés et de volontaires des Nations Unies, afin d’encourager les jeunes professionnels à intégrer les organisations internationales et assurer ainsi la relève. Pour en savoir plus, veuillez cliquer ici Candidats en recherche d'un premier emploi Programme des Jeunes volontaires des Nations Unies et stages à l'ONU Le DFAE invite une fois par an de jeunes universitaires et étudiants fraichement diplômés à participer à l’International Career Day ICD pour s’informer sur les activités et emplois proposés par des organisations internationales. Vous trouverez de plus amples renseignements sur le site suivant ICD 2022 Intégrer et faire carrière dans les organisations internationales La Suisse peut soutenir des candidatures individuelles à des postes de cadre dirigeant qui présentent un intérêt politique, en pratiquant un lobbying ciblé lors de la sélection finale. Pour pouvoir se prononcer sur un soutien éventuel, le DFAE a besoin du dossier de candidature complet avis de vacance du poste, lettre de candidature, curriculum vitae. Lorsqu’il s’agit de postes pourvus par élection, les autorités fédérales compétentes décident si une candidature officielle sera présentée au nom de la Suisse et quelle sera l’intensité de la campagne électorale. Vous trouverez sur la page ci-après une liste de ressortissants suisses occupant actuellement des postes de cadres dirigeants dans des organisations internationales La Suisse dans les organisations internationales Cinfo, le Centre d'information, de conseil et de formation pour les professions de la coopération internationale, fournit sur son site des informations complémentaires sur tous les types de carrière dans les organisations internationales et apporte son concours pour le processus de candidature. Sur mandat de la Confédération, cinfo offre aux candidates et candidats suisses des services gratuits dans le cadre du soutien apporté à la démarche de candidature. cinfo – Centre d'information, de conseil et de formation pour les professions de la coopération internationale Les personnes qui souhaitent mener une carrière dans une organisation internationale trouveront ci-dessous des liens vers les portails de recrutement qui donnent des informations sur les postes vacants et les processus de candidature Portail inspira pour les offres d’emploi du Secrétariat de l'ONU Fonds, programmes, institutions OSCE Seuls certains postes au sein de l'OSCE sont financés par la Suisse. Leur liste figure sur le site du Pool d'experts pour la promotion civile de la paix. Conseil de l'Europe OCDE Autres possibilités Le Pool d'experts suisse pour la promotion civile de la paix propose des postes dans des organisations internationales. Sur son site, vous trouverez également des postes à l'OSCE qui sont financés par la Suisse. Pool d’experts pour la promotion civile de la paix Le domaine de direction Aide humanitaire et le Corps suisse d'aide humanitaire CSA de la DDC soutiennent, par la mise à disposition de personnel, leurs organisations partenaires. Ce personnel est recruté par le pool du CSA. Coopération au développement et aide humanitaire Les droits de l'homme sont l'une des priorités de la politique extérieure suisse. Les procédures spéciales et les organes conventionnels des Nations Unies, qui garantissent et surveillent la mise en œuvre des conventions existantes relatives aux droits de l'homme, constituent deux mécanismes importants du Conseil des droits de l'homme de l'ONU pour la promotion et la protection des droits de l'homme. Pour les candidats et candidates possédant des compétences reconnues dans le domaine des droits de l'homme, il peut être intéressant de consulter les liens suivants Élection des membres des organes conventionnels Procédure de nomination pour les procédures spéciales Dernière mise à jour
Lesformations pour arriver à travailler dans les ressources humaines. Au delà des formations type bachelor, il existe des diplômes de niveau Bac +2 qui donnent accès à ce secteur. BTS gestion PME (petite et moyenne entreprise), qui est dispensé dans des écoles spécialisées publiques ou privées, ou bien dans des lycées.
Contenu Introduction 1. Quel est le rôle d’un responsable des relations internationales ? 2. Quelles sont les compétences d’un responsable des Relations Internationales RI ? 3. Quelles études faire pour travailler dans les relations internationales ? Bachelor en Relations Internationales Master en Relations Internationales Master en Business Administration MBA 4. Les débouchés d’une formation en Relations Internationales ? Conclusion Introduction Travailler dans les relations internationales, c’est exercer dans des entreprises qui opèrent sur la scène internationale et promouvoir leurs images auprès de leurs publics cibles. De l’entreprise au gouvernement, et en passant par différents domaines, les études internationales offrent la possibilité d’explorer des univers diversifiés dans un cadre professionnel. Cela vous tente-t-il ? Découvrons ensemble quelles sont les études à faire afin d’y parvenir. 1. Quel est le rôle d’un responsable des relations internationales ? Au sein d’une entreprise ou d’un organisme, un responsable des relations internationales intervient dans l’élaboration stratégique dans le domaine de la politique et de la coopération internationale. Sa mission consiste essentiellement à mettre en œuvre une méthode qui permet de promouvoir l’activité de l’organisme sur la scène internationale. Pour ce faire, il doit développer des relations avec des entités étrangères afin de préparer un terrain d’entente pour élaborer une politique de coopération à l’échelle internationale autour des problématiques communes. Un consultant en relations publiques est également chargé du plan de financement de l’entreprise pour l’atteinte de ses objectifs. Plus précisément, on peut compter parmi ses fonctions Analyse des partenaires nécessaires et disponibles dans les pays d’intérêt ; Instauration des relations avec les acteurs, les partenaires et toute autre partie dont la contribution peut jouer en la faveur des projets; Coordoniation du programme de concrétisation du projet ; Développement des relations avec les médias, les journalistes et les blogueurs du domaine ; Contrôle et évaluation de la réalisation des programmes ; Élaboration du reporting. 2. Quelles sont les compétences d’un responsable des Relations Internationales RI ? Une bonne communication et un relationnel fort sont les compétences qui priment. Représentant l’image de l’organisme dans lequel il exerce, un consultant en relations publiques doit avoir de solides connaissances dans le domaine de l’information et de la communication, et doit être à l’aise avec au minimum deux langues étrangères. Prêt à mener une vie mouvementée, le voyage doit faire partie de ses premiers intérêts. Doté d’un esprit imaginatif, tout en gardant les pieds sur terre, un consultant en relations publiques doit satisfaire les requis du projet tout en respectant le budget qui lui est alloué. Une forte autonomie ainsi qu’une capacité d’adaptation sont également de rigueur. 3. Quelles études faire pour travailler dans les relations internationales ? Une formation en relations internationales permet aux étudiants de maîtriser les théories de l’intégration régionale et des échanges internationaux. Elle passe par deux étapes essentielles, plus un MBA qui est destiné aux personnes souhaitant occuper des postes de haute responsabilité Bachelor en Relations Internationales C’est une formation diplômante de niveau bac+3 dont les frais sont estimés à environ 7500-8000 euros/année. Elle est accessible après la réussite à un concours avec épreuve écrite et entretien de motivation, et est principalement dédiée aux élèves de terminale qui de préférence doivent être issus d’un bac ES. Les étudiants disposant d’un BTS, DUT ou qui sont passés par des classes préparatoires économiques peuvent également accéder au bachelor en deuxième ou troisième année. Le bachelor en relations publiques permet d’acquérir des connaissances généralistes et pluridisciplinaires dans les champs juridiques, administratifs et économiques. Il propose un enseignement pluridisciplinaire au cours duquel différentes matières sont abordées, telles que les sciences politiques, la culture et histoire des peuples, la théorie des relations internationales, les relations extérieures et diplomaties, etc. Durant chaque année, un stage de 4 à 6 semaines est programmé pour mieux se familiariser avec le monde professionnel et décider par rapport à sa spécialisation future. Suite à ce diplôme, le marché de travail est désormais à vous à travers divers métiers pouvant être exercés dans des ONG ou dans des entreprises, mais si vous préférez attarder votre insertion professionnelle, vous pouvez opter pour un master en relations internationales. Master en Relations Internationales Ce diplôme bac +5 donne aux étudiants les clés de compréhension théoriques et méthodologiques pour aborder les problématiques internationales. Il vise à développer les compétences dans l’observation, l’utilisation d’outils d’analyse et la recherche des espaces internationaux. À l’instar du bachelor, le master en relations internationales offre un programme tout aussi fructueux et maintes matières y sont abordées. En fin de cette formation échelonnée sur deux années, un stage d’études est obligatoire afin de rédiger son mémoire et obtenir son diplôme. Les conditions d’entrée au master varient d’un établissement à un autre. Mais celle-ci commence généralement par le dépôt du CV, de la lettre de motivation, des notes obtenues durant le parcours, etc. Suite à cette étape, un entretien de motivation vous attend, et durant lequel vous devez défendre votre candidature en montrant votre motivation. Certains établissements peuvent exiger le passage de certaines épreuves écrites. Ce master n’est pas seulement accessible via un bachelor, mais aussi après une licence en droit, en sciences politiques, en économie ou en histoire. Master en Business Administration MBA C’est une formation qui concerne majoritairement les étudiants ou les cadres souhaitant accéder à des postes de haute responsabilité. D’origine américaine, le MBA Master of Business Administration est une formation prestigieuse, mais très coûteuse 55 000 euros/ année pour faire un MBA à HEC par exemple. Les frais peuvent tout de même être pris en charge par l’entreprise si la formation est effectuée en alternance suite à un contrat de professionnalisation avec l’étudiant. C’est une formation de haut niveau en gestion et management, accessible après un bac+4 ou un bac+5, et qui accueille des étudiants issus de différents horizons. Il permet essentiellement de Acquérir une fonction managériale solide ; Booster sa carrière ; Élargir son réseau de contacts ; Améliorer son salaire ; Effectuer une formation diplômate très reconnue… Les titulaires d’un bac+4 ou d’un bac+5 peuvent postuler à un MBA. Toutefois, une personne ayant un bac+2 ou un bac+3 peut également postuler dans le cas où elle a occupé de nombreux postes encadrés, et donc ayant une belle expérience professionnelle. L’admission s’effectue en déposant un dossier de candidature donnant une visibilité claire du parcours académique et professionnel du candidat. Chargé de projet en ONG ou en organisation internationale ; Expert juridique dans les cabinets de conseil et les instituts de recherche ; Enseignant-chercheur ; Expert en charge de la conduite des projets publics, de l’administration des services ou de la communication politique et institutionnelle ; Analyste politique européenne ; Expert lobbying et affaires publiques… Conclusion Jouant l’interface entre l’entreprise et son environnement externe, un responsable des relations internationales doit mettre en œuvre des stratégies de relations publiques adéquates et offrir des conseils et recommandations dans ce sens pour atteindre les objectifs de l’entreprise. Cet univers complexe attire généralement les étudiants qui ont un fort en communication, un sens de relationnel impeccable, et qui sont aptes à aimer et à comprendre la culture et le mode de vie d’étrangers. Si vous êtes armés de toutes ces qualités, les études internationales sont donc faites pour vous.
Aidepersonnalisée au logement (APL) Vous avez prévu de partir étudier à l’étranger et souhaitez conserver votre logement le temps de votre séjour à l’extérieur du pays. Sachez que vous pouvez conserver votre APL si la durée de votre séjour est inférieure à 4 mois. Au-delà de 4 mois, les aides sont suspendues.
Contactez-nous pour en savoir plus sur nos programmes Vous souhaitez nous rejoindre ? Est-ce que le commerce international est un secteur qui rémunère bien ? Il existe différents niveaux de spécialisation dans le domaine du commerce international. Les salaires varient donc en fonction du niveau d’étude, ainsi que de l’expérience sur le terrain. Une chose est certaine, s’engager dans une école de commerce promet une rémunération intéressante sur le long terme, dans plusieurs secteurs d’activité. En début de carrière, le commerce international ne paie pas forcément plus que d’autres métiers du commerce, et nécessite plus de compétences. Mais les perspectives d’évolutions nombreuses promettent une évolution salariale importante, allant jusqu’à de très hauts salaires pour les plus confirmés. La fourchette de salaire est donc très large, allant de 2500 euros brut mensuel pour un débutant, jusqu’à 7000 euros brut par mois pour un directeur de réseau confirmé. Le salaire moyen dans le secteur du commerce international, en France, est environ de 27000 euros brut par an, soit 13,85 euros de l’heure pour un débutant. On peut y ajouter, en plus, des primes de résultat. Ce salaire se situe sur fourchette large, allant de 22800 euros brut pour les débutants, jusqu’à 57000 euros brut pour les plus expérimentés. Tout savoir sur le métier de vendeur import / vendeur export En quoi consiste le métier de vendeur import / vendeur export ? Une multitude de grandes entreprises, mais aussi des PME, font appel aux compétences d’un vendeur import/export . Son rôle est multiple et ses taches nombreuses Favoriser le développement de l’entreprise via ses ventes , Gestion logistique des flux d’importation et d’exportation. Effectuer des études de marchéAnalyser les besoins divers de l’entreprise et négocier les contrats. Assurer la coordination de son équipe, ainsi que l’encadrement des autres branches de l’entreprise Distribution, transport, Marketing, achats…. Le vendeur import / Export doit avoir un grand sens de l’autonomie. Il doit faire preuve de stratégie et de diplomatie. Une grande connaissance juridique lui sera demandé, ainsi qu’une maîtrise parfaite de plusieurs langues étrangères. Vendeur import / vendeur export quel est le salaire d’un junior ? Le salaire évolue tout au long de la carrière et des début de parcours, un vendeur Junior peut viser un salaire brut d’environ 2500 euros brut par mois. Son taux horaire net se situera entre 17 et 21 euros environ. Il sera possible d’augmenter son revenu grâce aux primes sur objectifs, fixées par l’employeur. Vendeur import / vendeur export quel est le salaire d’un confirmé / sénior ? Les perspectives d’évolution sont grandes. Après plusieurs années d’ancienneté, l’expérience de la vente permet d’ accéder à des postes de responsable, plus rémunérateurs. Ainsi, le salaire médian d’un commercial sénior se situe aux environs 60000 euros brut par an. Le professionnel disposera alors d’un taux horaire brut supérieur à 32 euros. Quelles sont les études pour devenir vendeur import / vendeur export ? Il existe de nombreux diplômes pour exercer la profession de vendeur import /export. Après 2 ans d’études, le BTS commerce international, le BTS MCO et le BTS NDRC constituent des formations idéales pour accéder à la profession de responsable import/export. En école et à l’ Université, on trouve de nombreux cursus pour se perfectionner dans le domaine. Licence et Masters en commerce, vente, économie. Tout dépendra de l’orientation de son parcours. On peut citer en exemple les Master Marketing Vente, Master Commerce International, Master Economie de l’entreprise et des marchés… Quelles sont les évolutions de carrière pour un vendeur import / vendeur export ? L’évolution possible dépendra de l’expérience du salarié et de la taille de l’entreprise. Pour les plus grandes d’entre elles, un responsable import export pourra aspirer à devenir directeur international. Globalement, l’expérience de la vente export permet d’accéder à un poste de responsable de zone export, de directeur export, voire de direction de filiale à l’etranger. Il s’agira dans la plupart des cas de postes d’encadrement d’équipe de commerciaux. Quels sont les métiers privilégiés dans le commerce international en début de carrière ? Assistant Import/Export pour un débutant, à l’issue d’un bac professionnel, le métier d’assistant import /export est accessible. Il s’occupe des démarches administratives et logistiques à l’international. Il gère le transit des commandes, de la livraison jusqu’au paiement. D’autres éléments annexes viendront s’y greffer. Relation client, négociation des ventes, organisation du transport, facturation, douanes… Responsable des achats Il est à l’initiative du cahier des charges qu’il élabore en partenariat avec les fournisseurs. Il est chargé de la négociation et conclut les achats de biens au prix le plus intéressant. Il veille au respect de la qualité des produits ainsi que leur délai de livraison. Attaché commercial Sa mission consiste à augmenter le chiffre d’affaires de l’entreprise. Il est chargé de mettre en avant les offres commerciales. Il s’occupe de la prospection, la signature des contrats et du développement du portefeuille de sa clientèle. Assistant chef de produit En assistant le chef de produit, il participe à l’élaboration et la mise en rayon de biens, conformément au cahier des charges technique. Il est à l’origine des campagnes promotionnelles ainsi que d’ études de marché des futurs produits commercialisés à l’international. Quels sont les métiers dans le commerce international qui payent le mieux ? Comme dans tous secteurs, on trouve une grande disparité de salaires selon la branche. Trois domaines sortent particulièrement du lot. Responsable import-Export Il est à l’origine des mouvements d’importation et d’exportation dont l’entreprise a besoin. Il gère les stocks, la coordination des équipes, analyse le cahier des charges, négocie les contrats… Même si la rémunération dépend de différents facteurs Taille de l’entreprise, niveau d’études… Un responsable confirmé touche environ 45000 euros brut par an. Responsable des ventes Export Il encadre une équipe de commerciaux, en constant déplacement à l’etranger. Il étudie les stratégies concurrentes, réalise des études de marché, entretient la fidélisation avec ses clients par la prospection, négocie et investit dans les réseaux de distribution. Sa rémunération brute est d’environ 52000 euros brut par an. Ingénieur technico-commercial Il est à la fois commercial, connaît à ce titre parfaitement les biens qu’il vend et sait négocier en conséquence. Mais il se distingue par une double casquette, celle d’être démonstrateur, assistant technique, prospecteur. Il est également chargé des études de marché. Un ingénieur qualifié peut gagner jusqu’à 38000 euros brut. EN SAVOIR PLUS Ecole de commerce international guide, carrière, matièresGuide complet des études en commerce international Licence commerce international débouchés, prix, programmeTout savoir sur le bachelor commerce international guide, tarif, programme Tout savoir sur le master en commerce international programme, prix, débouchésQu’est-ce qu’un BUT commerce international TC ? Quels sont les métiers du commerce international ? Quels sont les débouchés du commerce international ? Trouver un stage en commerce international annonces, conseils Trouver une alternance en commerce international annonces, conseils Un guide pratique du droit du commerce international Définition commerce international enjeux, flux, tendances Mis à jour le 19 mai 2022
Étudieren Australie. L’Australie fait partie des grands favoris pour les étudiants souhaitant poursuivre des études à l’étranger puisque le pays, grâce à sa grande flexibilité dans
Rouages indispensables au bon fonctionnement des entreprises, les mĂ©tiers de la gestion se rĂ©vèlent peu sensibles aux crises Ă©conomiques. Toutefois, pour intĂ©grer l’une des nombreuses professions de ce domaine, les candidats doivent se dĂ©marquer Ă travers leurs compĂ©tences et leurs qualitĂ©s professionnelles ainsi que personnelles. Les mĂ©tiers de la gestion Au cĹ“ur du fonctionnement d’une entreprise, la gestion constitue hier comme aujourd’hui un secteur dynamique et porteur pour les jeunes diplĂ´mĂ©s. En effet, les Ă©tudes dans ce secteur ouvrent les portes Ă de nombreux dĂ©bouchĂ©s professionnels. Pouvant ĂŞtre recrutĂ©s aussi bien par les grands cabinets que par les entreprises après seulement quelques annĂ©es d’expĂ©rience, les jeunes diplĂ´mĂ©s bĂ©nĂ©ficient de belles perspectives de carrière et d’évolutions de salaire. Parmi les mĂ©tiers accessibles, l’on retrouve celui d’auditeur financier, dont le travail consiste Ă examiner tous les comptes et la gestion de l’entreprise, et celui de manager financier optimisant les performances financières de la structure. Ceux qui dĂ©sirent travailler dans la gestion peuvent aussi s’orienter vers une carrière de responsable comptable assurant la comptabilitĂ© gĂ©nĂ©rale de l’entreprise ou de contrĂ´leur de gestion contrĂ´lant, mesurant et analysant les performances des activitĂ©s de la sociĂ©tĂ©. D’autres mĂ©tiers peuvent ĂŞtre exercĂ©s dans ce domaine, notamment responsable du contrĂ´le de gestion, trĂ©sorier d’entreprise, expert en gestion de patrimoine ou encore gestionnaire des capitaux. Les compĂ©tences et qualitĂ©s requises pour travailler dans la gestion Pour se dĂ©marquer et attirer l’attention des recruteurs, une large palette de compĂ©tences est nĂ©cessaire pour travailler dans la gestion et assurer la bonne rĂ©alisation des missions liĂ©es Ă chaque mĂ©tier. En termes de connaissances techniques, les candidats doivent entre autres maĂ®triser la gestion financière, le fonctionnement des marchĂ©s financiers ou encore la comptabilitĂ© gĂ©nĂ©rale. Une bonne maĂ®trise des outils informatiques et de l’anglais est aussi nĂ©cessaire dans cette branche d’activitĂ©s. Peu importe la profession, travailler dans la gestion demande Ă©galement diverses qualitĂ©s comme une grande capacitĂ© de communication, de conseil et de nĂ©gociation. Les candidats doivent aussi faire preuve d’autonomie, de rigueur et d’intĂ©gritĂ©. En outre, avoir une personnalitĂ© curieuse et ouverte d’esprit est nĂ©cessaire dans ce domaine. Le BTS ComptabilitĂ© gestion de l’ESG Finance Pour travailler dans le domaine de la gestion, les bacheliers peuvent commencer leurs Ă©tudes par le BTS comptabilitĂ© gestion anciennement appelĂ© BTS CGO proposĂ© au sein de l’ESG Finance. En effet, cette formation se dĂ©roulant sur deux ans offre les bases nĂ©cessaires du point de vue technique et organisationnel dans le domaine comptable. L’obtention de ce diplĂ´me d’État permet aux Ă©tudiants d’intĂ©grer directement le marchĂ© du travail ou d’approfondir davantage leurs connaissances Ă travers l’un des mastères de l’établissement.Bonjour je suis actuellement en première S, et mon but final serait de faire des Ă©tudes dans les statistiques. J'aimerais savoir quel est le meilleur parcours Ă part la prĂ©pa pour accĂ©der Ă